8e Session du ParLEMent de Saint-Roman-Les-Flots

C'est n'importe quoi ! Les agences lancent des appels d'offres et toutes les entreprises de la LEM sont concernées, si votre pays fait de la préférence nationale dans son agence alors il y a un problème et cela me conforte de me tirer d'ici.

Il n'y a surtout pas eu de marché auxquels les entreprises pryannes pouvaient prétendre. Ne cherchez pas, Prya n'a pas à financer les infrastructures des autres nations indéfiniment et sans avoir une assurance de retour. L'an passé mon ambition était pourtant raisonnable.
Sur un investissement de 30'000 palmyrs, je comptais sur un retour de 15'000, le reste je considérais ça comme de l'investissement de bonne foi à l'étranger. Mais même la moitié de la somme n'est pas réunie.

Et vous ne répondez pas sur le fond du problème. Les agences débordent de pognon et on continue de demander des sommes extravagantes aux Etats !

Il faut imposer qu'à chaque fin de trimestre les sommes non allouées soient renvoyés dans le pot commun pour le prochain budget et adapter les cotisations en les réduisant. J'invite les parLEmentaires intéressés par ce fonctionnement à se rapprocher de moi pour l'écriture d'un texte régissant le budget de la LEM. Je ne me décarcasserais pas si je vois que je suis le seul à être intéressé par le sujet du contrôle des finances. Je veux former un groupe de travail d'au moins 5 parLEMentaires sur ce sujet.

Le sommet des chefs d'Etat n'a rien donné, et la pseudo gauchiste Peyranne ne voit aucun intérêt au contrôle d'un budget, c'est grave car c'est l'argent de nos citoyens que nous gaspillons à laisser dormir !

william grayfall a écrit:C'est n'importe quoi ! Les agences lancent des appels d'offres et toutes les entreprises de la LEM sont concernées, si votre pays fait de la préférence nationale dans son agence alors il y a un problème et cela me conforte de me tirer d'ici.

Rachel Peyranne : Monsieur Grayfall, pardonnez-moi, mais j'avoue que j'ai du mal à vous suivre.

Vous n'appréciez pas le fait que l'APELEM va peut-être recevoir 30,000 M$ et c'est votre droit. Mais dans le même temps, vous dites que sur une subvention de 30,000 P§, vous auriez espéré un retour de 15,000 P§. Mais pourquoi ne pas les avoir demandés à l'époque, dans ce cas ?

Et au passage, le fait que l'APELEM ait demandé 30,000 M$ ne signifie absolument pas que cet argent va être dépensé à Mézénas. Il n'y a aucune préférence nationale dans le choix de cette agence. Le problème se situe ailleurs, Monsieur Chartrin s'est suffisamment expliqué là-dessus (je l'ai eu au téléphone récemment) et je vous recommande de mieux vous renseigner.

Cela étant dit, vous avez tout à fait le droit de rédiger un texte concernant le budget de la LEM. Ce sera une recommandation qui sera discutée lors du prochain sommet trimestriel de la LEM.

Pour le reste, pour ce qui est des mots que vous avez employés pour me désigner, je vais faire comme si je n'avais rien entendu. Mais je m'attendais à l'emploi d'un autre vocabulaire de votre part.

Nous ne parlons pas de la même chose je le crains. Prya verse 30'000 palmyrs à la LEM. En tant que président j'espèrais que nos entreprises perçoivent via les appels d'offres au moins 15'000 palmyrs de retombée via les appels d'offres des différenets. Une retombée "normale" et peu ambitieuse.
Je ne parle pas de l'ASLEM ! Ni des agences. mais de retombée directe sur nos entreprises.

L'Etat pryan verse des cotisations il est en droit d'espérer que les entreprises pryannes bénéficient des marchés des différentes agences. Même si l'ASLEM avait demandé un budget, celui ci aurait lancé des appels d'offres qui n'aurait pas forcément été attribué aux pryans d'ailleurs !

Or ne soyez pas naïve, la LEM garde plus de pognon qu'elle n'en dépense il suffit de lire les chiffres vu que les agences ne dépensent rien. Difficile dans ces conditions d'avoir des retombées sur nos entreprises. Je trouve regrettable que nous ne preniez pas en considération ce problème et pire que vous accusiez sans cesse Prya de ne pas verser sa cotisation. Oui c'est vrai, mais nous avons des raisons que vous refusez d'entendre, la ligue ne peux continuer dans cette direction.

D'autant qu'à Prya nous sommes de plus en plus nombreux à le voir et je crois qu'un statut similaire à celui d'Edoran qui participe à certaines agences serait préférable pour Prya. De cette manière vous ne seriez plus embêté par ces sales pryans qui ne paient jamais.

J'ajoute, tant mieux que l'APELEM touche des fonds, je n'ai rien contre ça c'est comme ça que cela fonctionne, mais si l'APELEM favorise les entreprises de Mézènas c'est un autre problème. Vous m'assurez le contraire, alors tant mieux je vous fait confiance.

Madame la présidente, comme vous avez pu le voir dans l'exposé de l'ASLEM de M. Merzek, les demandes de budgets ont été nombreux, mais les financements n'ont été versés que récemment. Et en plus, il y a encore un retard de versement.

Rachell Peyranne : En effet, nous nous sommes mal compris. Et vous avez raison sur le fait que la LEM garde plus d'argent qu'elle n'en dépense, mais ça n'est pas la responsabilité de la LEM mais uniquement des agences et des représentants qui y siègent.

Il appartient aux agences de mettre en place des projets qui nécessitent des investissements en matériel, l'aspect économique de la LEM repose uniquement sur elles. Ces projets sont normalement suivis d'appels d'offres. Et plus il y a de projets, plus il y a d'appels d'offres et donc, plus il y aura des retombées sur les entreprises du micromonde et parmi elles, celles de Prya. Si tout le monde comprenait cela, les choses iraient bien mieux !

La léthargie dans laquelle sont plongées les agences, le fait que peu de projets sortent des discussions qui s'y déroulent, la faible quantité des retombées économiques pour nos entreprises ont justement été discutés lors du dernier sommet trimestriel et vous en trouverez mention dans le dernier communiqué de la LEM. Espérons que cela sera suivi d'effets.

Vous trouvez regrettable que nous ne prenions pas en considération ce problème et pire que nous accusions sans cesse Prya de ne pas verser sa cotisation. Mais oh, ici ce n'est que le ParLEMent, vous savez ! C'est lors des sommets trimestriels qu'il faut parler de ces choses, pas maintenant !


Bien, nous sommes justement en train de voir quels sont les projets des agences et leurs besoins. Toutes les agences devraient prendre la parole en même temps, mais elles ne le font pas. Et après, il y aura d'autres Grayfall qui viendront se plaindre...

Julio marmonna à son voisin. La preuve qu'il y a trop d'agences.

Justement c'est le parLEMent comme vous dites et je propose une solution vu que les chefs d'Etat sont incapables de statuer à chaque sommet. Ma solution L'argent qui dort qui n'a pas été dépensé doit être rendu à la ligue. On demande moins d'argent aux Etats, seulement si c'est nécessaire. C'est net, clair concret et précis. Et il y a une possibilité de redonner un poil de confiance aux gens comme moi qui n'ont pas envie de se faire pomper leur pognon pour le voir dormir.  La ligue ne doit avoir en caisse, uniquement ce dont elle a besoin.

D'ailleurs vous savez quoi je ne vais pas attendre que cinq pantouflards se réveille.

Grayfall pris une feuille et gratta quelques lignes puis la lu à haute voix. Voici ma proposition :

A chaque fin de trimestre les agences reverseront à la Ligue les sommes restantes du trimestre. Les agences qui ne transmettront pas les reliquats ne pourront pas formuler une demande de budget. Lors de l'établissement des cotisations, les chefs d'Etat devront prendre en considération les sommes restantes et réduire en conséquence le montant des cotisations. La LEM ne devra jamais posséder plus que les sommes requises par les agences. Les trop perçus seront remis aux Etats en proportion des cotisations versés.

Et ne soyez pas méprisante, la ligue tourne mal, je propose une solution, contrairement à vous je ne me contente pas de laisser une situation moisir pour voir les pays filer.

william grayfall a écrit:Et ne soyez pas méprisante, la ligue tourne mal, je propose une solution, contrairement à vous je ne me contente pas de laisser une situation moisir pour voir les pays filer.

Rachel Peyranne : Monsieur Grayfall, je ne suis nullement méprisante. Et si vous le permettez, je vous rappelle ce que j'ai dit il y a 1 heure et demie (je me cite moi-même) : "Cela étant dit, vous avez tout à fait le droit de rédiger un texte concernant le budget de la LEM. Ce sera une recommandation qui sera discutée lors du prochain sommet trimestriel de la LEM." Je suis donc tout à fait d'accord avec votre démarche. Ce n'est pas très intelligent de taper sur ceux qui sont d'accord avec vous, vous ne trouvez pas ?

Mais nous avons décidé il y a quelques jours que les recommandations seraient discutées après le budget, donc Monsieur Grayfall, je vous suggère de nous proposer ce texte un peu plus tard.

On poursuit les discussions sur le budget. Je laisse aux agences jusqu'au 26 février pour me faire part de leurs besoins. Après ça, on vote.

Pourtant ce texte concerne le budget. C'est fort regrettable.
L'argent continuera de dormir un trimestre de plus. Et l'argent pryan aussi vu que notre nouveau président versera surement la cotisation du trimestre.

Grayfall attendit patiemment que les agences d'expriment.
La dernière fois le budget était passé de peu, il espérait ce coup ci qu'il serait refusé pour rediscuter en priorité du fonctionnement des budgets et des cotisations.

Sebastien Hito, Ancien Président du ParLEMent, toujours parLEMentaire mais aussi Président de l'ASPALEM pris la parole.

- "Madame la Présidente, monsieur Grayfall a raison, sa recommandation concernant les agences elle pourrait même se transformer en véritable règlement qui devra s'appliquer aux Agences de façon obligatoire comme cela est prévu.
A ce titre, je vous annonce que l'ASPALEM qui dispose déja d'un gros budget ne demandera pas de subvention pendant ce trimestre."

Hito qui ne demandait pas de subvention, il devait avoir un plan derrière la tete.

- "En tant que Président je m'efforcerais de permettre à mon agence de dépenser son budget et s'il reste encore beaucoup d'argent à la fin du trimestre, l'agence le rendra au ParLEMent !"

Hito voulait visiblement se rapprocher des pryans afin surement d'obtenir leur vote dans le cadre de la prochaine élection de la Présidence du ParLEMent.
Certains memes estimaient que le francovar voulait que les pryans votent sa motion de censure contre la présidente Peyranne, il fallait avoir 6 ParLEMentaires pour cela il n'en avait que 2 pour l'instant. 

william grayfall a écrit:Pourtant ce texte concerne le budget. C'est fort regrettable.L'argent continuera de dormir un trimestre de plus. Et l'argent pryan aussi vu que notre nouveau président versera surement la cotisation du trimestre.

Archimède Parmentier a écrit:Sebastien Hito, Ancien Président du ParLEMent, toujours parLEMentaire mais aussi Président de l'ASPALEM pris la parole.

- "Madame la Présidente, monsieur Grayfall a raison, sa recommandation concernant les agences elle pourrait même se transformer en véritable règlement qui devra s'appliquer aux Agences de façon obligatoire comme cela est prévu.

Rachel était à deux doigts de s'arracher les cheveux. Mais elle n'allait pas se laisser abattre et répliqua.


Rachel Peyranne : Monsieur Hito, si vous aviez suivi les discussions de ces dernières heures, vous vous seriez aperçu que je suis somme toute assez d'accord avec la plupart des idées émises par Monsieur Grayfall ! Il a voulu proposer de nouvelles choses concernant le financement de la LEM et le budget et je ne l'en ai pas dissuadé, bien au contraire !

Mais ce que vous semblez avoir oublié, c'est que ce texte proposé par Monsieur Grayfall est une recommandation, qui sera adressée au Conseil de la Ligue pour que ce dernier se penche dessus. Et vous voudriez qu'on attende sa décision avant de voter le budget ?

Je l'ai déjà dit, les compétences du ParLEMent ne dépendent pas de moi et je suis tenue, en tant que Présidente, de le faire fonctionner dans les limites qui sont les siennes. Le ParLEMent ne légifère pas, il ne fixe pas des lois pour le fonctionnement de la LEM ! Il se contente de donner sa position sur un sujet précis et il émet des recommandations au Conseil de la Ligue et c'est lui seul qui décide !

Alors que nous parlions de ce texte avant ou après le budget ne changera strictement rien !

Grayfall fit un signe de tête d'approbaiton à Hito. Ce troufion s'était rempli les poches lors de sa présidence. Mais s'il accomplissait ce qu'il disait alors une alliance de circonstance serait possible. Avec un type pareil à la présidence, Grayfall se dit même qu'il pourrait mettre en place un salaire pour les parLEMentaires. S'en mettre pleins les fouilles sur le dos de la LEM était une perspective satisfaisante. Il valait mieux que le pognon du mammouth soit dans sa poche qu'à pieuter.



-Monsieur Hito à raison, même si on ne peut rien imposer, les agences pourraient s'accorder sur le fait de rendre les sommes non dépensées avant d'en redemander. Ca ne coute pas cher madame Peyranne un accord de principe en attendant que la recommandation soit validé. Et le parLEMent pourrait refuser de verser des sommes aux agences qui débordent de pognons. C'est de notre autorité de voter le budget. Et nous pouvons orienter le budget.

Alors sortez vous les doigts, l'immobilisme ca suffit !

Julio de Fortia : Mais comme il l'a déjà été dit, il faudrait que les budgets soient versés dans les temps et avec des devises diverses. Car par exemple, l'ASLEM va devoir verser les primes aux équipes qui ont participé à la Coupe de l'ASLEM en rouble Valdysque. Autrement dit, toutes les équipes de l'ASLEM vont devoir ouvrir un compte dans cette monnaie.

Et pourquoi ne pas transformer ces roubles en palmyrs ? Que l'ASLEM achète une babiole pleins pots à Prya avec son compte en rouble. Cela transformera cette devise en palmyrs. Je fais fausse route ?

Antony Bastino :

- "Oui une solution simple serait que Prya échange des devises contre les roubles en question. Sachant que selon moi Prya pourra payer sa cotisation à la LEM avec ces memes roubles selon moi. "

Cette session du ParLEMent commençait à tourner au vinaigre et Rachel se demandait ce qui lui avait pris le jour où elle avait ambitionné de devenir Présidente de l'assemblée.

Grayfall se montrait à chaque intervention de plus en plus irrespectueux à son égard (il venait de lui demander il y a peu de se sortir les doigts et on devine d'où), Merzek voulait verser aux équipes de football des subventions aux roubles valdisks et Hito préparait une motion de censure contre elle, alors que le trimestre se terminait dans environ 5 semaines.

"C'est pas ces gugusses qui vont me pourrir mon mandat, je suis la Présidente, merde !"


Rachel Peyranne : Mesdames et messieurs, nous devons poursuivre le vote du budget. Je n'ai pas envie d'entrer dans les mémoires comme étant la Présidente du ParLEMent qui n'aura pas réussi à faire voter un budget.

Nous avons entendu la demande de l'APELEM, puis celle de l'AELEM. A présent, je demande à l'ACLEM de nous dire si elle a besoin d'un quelconque financement. Ces trois agences sont basées dans des micronations qui ont versé leur contribution ce trimestre. Elles seront donc les seules à bénéficier d'un financement ce trimestre.

Puis nous voterons. Et ensuite, nous passerons à tout autre sujet que vous voudrez évoquer et je crois que ce sera le bon moment pour faire état de tous les griefs que vous avez à l'égard de la LEM.

Je donne donc la parole à la personne qui s'exprime pour l'ACLEM.

La Francovie vient de verser sa subvention comme prévu.


Anthony Bastino :

- "Pour ma part je considère que les agences ne sont pas dépendantes des subventions de leur pays hote. En effet en sanctionnant l'ASLEM vous sanctionnez certes Prya mais aussi toutes les autres nations."

Bastino était cependant un pro-LEM constructif et souhaitait défendre la présidente.

- "Cependant j'ai conscience qu'il faut avancer sur ce sujet ainsi je ferais part de mon désir de modification de votre proposition par amendement quand vous aurez fait votre proposition du budget à l'issus des débats."

Archimède Parmentier a écrit:La Francovie vient de verser sa subvention comme prévu.

Anthony Bastino : Pour ma part je considère que les agences ne sont pas dépendantes des subventions de leur pays hote.

Rachel Peyranne : Et moi, pour ma part, je ne fais qu'appliquer l'article 7 du règlement interne du ParLEMent.

Spoiler:

Rachel Peyranne : Nous pouvons donc enchainer. Et à l'avenir, Monsieur Bastino, vous me demanderez l'autorisation d'intervenir avant de prendre la parole. Pour l'heure, je viens de la donner au représentant de l'ACLEM.


"Et pan, dans tes dents !", pensa la Mézène.

Rachel Peyranne : Cela étant dit, la Francovie venant de verser sa contribution et puisque le représentant de l'ACLEM ne se montre pas, je donne la parole au représentant de l'ASPALEM.

Monsieur Hito, vous avez toute mon attention.

Anthony Bastino :

- "Pardonnez moi madame la Présidente je me permet de vous signaler que vous avez très mal compris l'article 7.
L'article précise bien d'ailleurs que ce sont les nations qui sont concernées et qu'elles ne pourront pas recevoir d'argent via par exemple les agences c'est à dire que si une agence lance un appel d'offre elle ne doit pas le donner à ce pays qui n'a pas payé la subvention. L'ASPALEM n'appartient pas à la Francovie et l'ACLEM n'appartient pas au Skotinos etc... Vous pouvez (à juste titre) décider de ne pas subventionner des pays qui ne paye pas les cotisations ce qui est loin d'etre choquant et d'ailleurs il faudrait le dire aux agences mais vous ne pouvez pas sanctionner les agences en question.
Vous devez verser de l'argent à l'ASLEM en lui disant qu'elle ne doit pas verser cet argent à Prya éventuellement (quitte à ce que vous controliez derrière puisque la présidence est pryanne). 

C'est très important de comprendre cela et c'est logique et on le comprend bien dans l'article. Les Agences ne sont pas des entités des Etats, ce sont des entités de la LEM. Personnellement je n'apprécierais pas du tout que l'on sanctionne toute une agence pour le défaut de paiement d'un pays ce serait totalement contraire à la Charte et à l'esprit de la LEM.

Cependant encore une fois je peux comprendre votre raisonnement et je proposerais cela par amendement mais il fallait que je clarifie votre mauvaise interprétation de l'article 7."

Sebastien Hito :

- "Cette présidente est incompétente, elle ne comprends pas les articles et en plus elle veut que je lui redise ce que je viens de dire il y a une heure.
L'ASPALEM ne demande pas de subvention."

"Cet article 7 a été très mal rédigé", songea la Présidente. "Sans doute l'oeuvre d'un Krasslandais, avec un cerveau tout ramolli par le smog."


Rachel Peyranne : J'avoue que votre explication m'a été très utile, Monsieur Bastino. Cela dit, je ne vous avais pas donné la parole, mais bon, merci quand même.

Bon, alors du coup, si le représentant d'une agence passe par là, quelle qu'elle soit, surtout qu'il n'hésite pas !

Monsieur Merzek, par exemple, tout à l'heure on ne pouvait plus vous arrêter, à présent on ne vous entend plus !

Sebastien Hito :

- "Il attend votre démission."

Rachel Peyranne : Il risque d'attendre longtemps.

David Omberg ne put s'empêcher d'ajouter à l'attention des parlementaires.

David Omberg : Je tenais juste à vous citer, Madame la Présidente, qui confirme ce que je dis, à savoir l'inutilité de ce ParLEMent :

Rachel Peyranne a écrit:Il se contente de donner sa position sur un sujet précis et il émet des recommandations au Conseil de la Ligue et c'est lui seul qui décide !

Bref, on fait venir les patrons d'agence devant les chefs d'Etat, puis ici...Ce sont des doublons inefficaces. Nous perdons un temps précieux. Il est temps de mettre fin au ParLEMent. J'espère que tous les parlementaires auront pu constater ce désastre et feront preuve de lobby auprès de leurs chefs d'Etat respectifs pour qu'ils prennent la seule décision qui s'impose : la suppression de cette institution.

Je vous laisse à votre ordre du jour et à vos débats sans fin. Désormais, cela sera sans moi.

David se leva et sortit de la pièce. Il échangea deux mots avec les autres représentants scanthélois. Il espérait que d'autres se joindraient à lui dans son boycott mais au fond de lui, il s'en moquait. Il passerait la nuit à son bureau pour discuter de certains points puis rentrerait probablement à Smaby, là où était sa place.