(Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
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Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Simon Esculado :
- "Mais ... votre projet prévoit de dépenser plus de PAL que ce que nous pouvons en produire ou en tout cas du genre 90% de notre production dans le meilleur des cas. Pour les PE cela doit aller vers les 50%.
Cela risque de poser problème non ?
Le coût monétaire ce n'est pas bien grave, on est pas à 100 000 R$ prés (le ministre n'était pas économe) mais notre économie ne supporterait une telle dépense en PAL et PE tous les mois ou toute les législatures.
On ne pourrait plus produire rien d'autre..."
Le merksiste n'était pas très favorable à cette mode qui touchait les Etats Fédérés de Mezenas et par extension la région de Bourg-Mezenas.
L'homme était un productiviste des plus élémentaires et forcément cette réglementation causerait la perte, ou en tout cas donnait l'impression, de l'industrie francovare.
- "Mais ... votre projet prévoit de dépenser plus de PAL que ce que nous pouvons en produire ou en tout cas du genre 90% de notre production dans le meilleur des cas. Pour les PE cela doit aller vers les 50%.
Cela risque de poser problème non ?
Le coût monétaire ce n'est pas bien grave, on est pas à 100 000 R$ prés (le ministre n'était pas économe) mais notre économie ne supporterait une telle dépense en PAL et PE tous les mois ou toute les législatures.
On ne pourrait plus produire rien d'autre..."
Le merksiste n'était pas très favorable à cette mode qui touchait les Etats Fédérés de Mezenas et par extension la région de Bourg-Mezenas.
L'homme était un productiviste des plus élémentaires et forcément cette réglementation causerait la perte, ou en tout cas donnait l'impression, de l'industrie francovare.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
La jeune femme s'attendait à cette réaction et elle avait déjà préparé la réplique appropriée.
Julie Futon : Pour les PAL, ça représente environ 10% des stocks détenus par l'ensemble de nos partenaires commerciaux. Pour les PE, c'est 5% de leurs stocks.
Julie Futon : Pour les PAL, ça représente environ 10% des stocks détenus par l'ensemble de nos partenaires commerciaux. Pour les PE, c'est 5% de leurs stocks.
Émile Bogendorfer- Messages : 1024
Date d'inscription : 18/02/2018
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Esculado n'était pas contre les importations mais cela représentait tout de même 500 000 R$ ...
Il faudra utiliser le CEGA pour cela puisque la Francovie devait acheter théoriquement 100 000 R$ par mois en importation.
Par contre il s'interrogeait sur le futur, ces besoins désavantageaient les pays actifs comme la Francovie ou la LED, il fallait peut etre mettre en place une législation micromondiale.
Cependant il était prêt à soutenir un tel programme à partir de Septembre cependant car il fallait le budgétiser.
Il faudra utiliser le CEGA pour cela puisque la Francovie devait acheter théoriquement 100 000 R$ par mois en importation.
Par contre il s'interrogeait sur le futur, ces besoins désavantageaient les pays actifs comme la Francovie ou la LED, il fallait peut etre mettre en place une législation micromondiale.
Cependant il était prêt à soutenir un tel programme à partir de Septembre cependant car il fallait le budgétiser.
- Spoiler:
- EL : Duvalon disait que les besoins étaient bugués pour les pays en multijoueurs, le mois prochain je regarderais comment augmente les besoins car cela me parait un peu n'importe quoi dans la répartition... On lancera le programme en fonction de ça parce que si on fait tout ça et que ça sert à rien franchement j'ai pas envie ^^.
Faudrait que les autres pays le facent aussi parce que si ya que la Francovie cela casse un peu nos RP pour un interet limité (je ne sais pas si Prya/Fantispa, LED et Gwangua seront d'accord)
Cependant je peux comprendre que les Etats qui font l'effort de maîtriser les besoins (Mezenas et peut etre le Krassland et Skotinos qui ont pris du retard mais moins que nous) soient avantagés par exemple en les autorisant à taxer 50% de plus les importations des pays fautifs (exemple si la Francovie à 8% de taux avec Mézénas, à l'inverse Mézénas pourrait avoir 12%).
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
- Spoiler:
- Les besoins dépendent du nombre de citoyens (compte EM) qui sont propriétaires et domiciliés sur EM. Chaque citoyen a besoin de 10 PAL et 10 PE chaque mois, ça représente une dépense de 2'400 R$ H.T.
Les besoins ne sont pas bloqués dans une micronation multijoueuse, la preuve c'est qu'Émile a acheté une propriété à Bourg-Mézénas le 4 juin et en juillet, les besoins ont augmenté de 10 PAL et de 10 PE pour cette ville. En août, ça a augmenté de nouveau.
L'astuce pour éviter que chaque mois les besoins augmentent de 10 PAL et de 10 PE, c'est de ne pas donner de propriété au joueur. Ton perso est domicilié dans le Brindas apparemment, donc chaque mois, il y a +10 PAL et +10 PE dans les besoins de cette région. Hubert de Montignac n'a pas de propriété, donc il n'a aucun effet sur les besoins du pays.
Émile Bogendorfer- Messages : 1024
Date d'inscription : 18/02/2018
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
- Spoiler:
- Les besoins dépendent du nombre de citoyens (compte EM) qui sont propriétaires et domiciliés sur EM. Chaque citoyen a besoin de 10 PAL et 10 PE chaque mois, ça représente une dépense de 2'400 R$ H.T.
Ouaip je sais mais Duva disait que c'était bug et j'ai cette impression aussi.
L'astuce pour éviter que chaque mois les besoins augmentent de 10 PAL et de 10 PE, c'est de ne pas donner de propriété au joueur. Ton perso est domicilié en Picabie, donc chaque mois, il y a +10 PAL et +10 PE dans les besoins de cette région. Hubert de Montignac n'a pas de propriété, donc il n'a aucun effet sur les besoins du pays.
J'ai l'impression que meme sans maison c'est pris en compte.
Si c'est vraiment pas pris en compte faudrait peut etre penser à réduire le nombre de personne qui ont des habitations non ?
A réflechir.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Julie Futon : Madame la Première Ministre, soutenez-vous ce projet ?
Émile Bogendorfer- Messages : 1024
Date d'inscription : 18/02/2018
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Amandine Blairot :
- "Oui, nous le lancerons à partir de Septembre."
- "Oui, nous le lancerons à partir de Septembre."
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Le sujet de la situation agricole avait été mis sur la table.
Il avait pourri totalement la seconde partie du mandat de Blairot qui avait été sur une assez bonne dynamique jusque là.
Alors que les élections se rapprochaient, il fallait coûte que coûte mettre fin à ces grèves qui mettaient en danger son leadership.
Blairot avait décidé de lacher du leste. Le ministre de l'Economie Esculado, très critique envers les "bourgeois grévistes" avait accepté une solution que Blairot présenta aux autres.
- "Mesdames, messieurs,
Comme vous le savez, les grèves dans le secteur agricole bloque la production de PA et nos réformes.
Nous devons y mettre fin.
C'est pourquoi je voulais vous prévenir en avance que je vais annoncer publiquement la nationalisation des entreprises du secteur des PA.
Il s'agira d'indemniser, ceux qui le voudront uniquement, les propriétaires de ces entreprises.
La nationalisation se fera via une OPA prévue par le code économique d'un montant du double de la valeur de la cotation.
Il s'agit de la moins pire des solutions."
Blairot se sentait obligée de se justifier. Elle avait besoin du soutien de ses ministres.
- "Il n'existe pas d'autres solutions pragmatiques."
La fin du vikettysme n'était pas envisagé par le Premier Ministre.
C'était logique, le seul défaut du système, l'appropriation des ressources du primaire par l'Etat était jugé comme une qualité par les alliés merksistes notamment Esculado qui avait toléré qu'on indemnise les entreprises du secteur des PA en échange.
Il avait pourri totalement la seconde partie du mandat de Blairot qui avait été sur une assez bonne dynamique jusque là.
Alors que les élections se rapprochaient, il fallait coûte que coûte mettre fin à ces grèves qui mettaient en danger son leadership.
Blairot avait décidé de lacher du leste. Le ministre de l'Economie Esculado, très critique envers les "bourgeois grévistes" avait accepté une solution que Blairot présenta aux autres.
- "Mesdames, messieurs,
Comme vous le savez, les grèves dans le secteur agricole bloque la production de PA et nos réformes.
Nous devons y mettre fin.
C'est pourquoi je voulais vous prévenir en avance que je vais annoncer publiquement la nationalisation des entreprises du secteur des PA.
Il s'agira d'indemniser, ceux qui le voudront uniquement, les propriétaires de ces entreprises.
La nationalisation se fera via une OPA prévue par le code économique d'un montant du double de la valeur de la cotation.
Il s'agit de la moins pire des solutions."
Blairot se sentait obligée de se justifier. Elle avait besoin du soutien de ses ministres.
- "Il n'existe pas d'autres solutions pragmatiques."
La fin du vikettysme n'était pas envisagé par le Premier Ministre.
C'était logique, le seul défaut du système, l'appropriation des ressources du primaire par l'Etat était jugé comme une qualité par les alliés merksistes notamment Esculado qui avait toléré qu'on indemnise les entreprises du secteur des PA en échange.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Perplexité dans la pièce. Brigitte Bregen ne répondit pas. Elle était très gênée par la situation. Il y eu un long silence.
Elle prit enfin la parole.
Brigitte Bregen :
Etant donné que c'est une situation qui touche au maintien de l'ordre, je ne puis que vous assurer de mon soutien.
Mais cette décision est une erreur qui nous fera échouer aux élections.
Un froid était jeté.
Nous avons été portés au pouvoir sur un mouvement anti-complexité, anti-étatisme suite à l'énorme bureaucratie Montignac. Et là, nous arrivons à une situation uniquement liée à la carence du système économique, nous avons des agriculteurs qui sont en crise... Et là, vous dîtes aux agriculteurs que c'est fini? Que la liberté de commerce qu'ils demandaient va être détruite par une nationalisation totale ?
Les critiques seront énormes. Les opposants au Vikettysme trouveront là un argument imparable : Le Vikettysme passera pour la marche, à terme, vers la collectivisation de notre économie et la stérilisation du secteur privé.
Je pense qu'il aurait fallu réfléchir à un système de consommation, à un système qui puisse garantir la rentabilité du secteur et une production viable. Là, votre décision s'apparentera à une spoliation pour nos adversaires.
Je ne suis pas anti-étatiste... Mais d'un point de vue stratégique, je ne vois pas comment nous pourrons justifier de répondre à une carence de l'Etat par... plus d'Etat.
Brigitte Bregen était franche. Sa carrière était derrière elle et elle n'avait pas peur de confronter chacun ici.
Cette crise aurait du être prise en charge par le Ministère de l'Economie dès le début au lieu de s'enfoncer dans le dogmatisme. Là, tout ce que nous faisons, c'est de fiche en l'air deux mois de travail et de réformes.
Je vous en conjure de ne pas céder à cette solution.
Elle prit enfin la parole.
Brigitte Bregen :
Etant donné que c'est une situation qui touche au maintien de l'ordre, je ne puis que vous assurer de mon soutien.
Mais cette décision est une erreur qui nous fera échouer aux élections.
Un froid était jeté.
Nous avons été portés au pouvoir sur un mouvement anti-complexité, anti-étatisme suite à l'énorme bureaucratie Montignac. Et là, nous arrivons à une situation uniquement liée à la carence du système économique, nous avons des agriculteurs qui sont en crise... Et là, vous dîtes aux agriculteurs que c'est fini? Que la liberté de commerce qu'ils demandaient va être détruite par une nationalisation totale ?
Les critiques seront énormes. Les opposants au Vikettysme trouveront là un argument imparable : Le Vikettysme passera pour la marche, à terme, vers la collectivisation de notre économie et la stérilisation du secteur privé.
Je pense qu'il aurait fallu réfléchir à un système de consommation, à un système qui puisse garantir la rentabilité du secteur et une production viable. Là, votre décision s'apparentera à une spoliation pour nos adversaires.
Je ne suis pas anti-étatiste... Mais d'un point de vue stratégique, je ne vois pas comment nous pourrons justifier de répondre à une carence de l'Etat par... plus d'Etat.
Brigitte Bregen était franche. Sa carrière était derrière elle et elle n'avait pas peur de confronter chacun ici.
Cette crise aurait du être prise en charge par le Ministère de l'Economie dès le début au lieu de s'enfoncer dans le dogmatisme. Là, tout ce que nous faisons, c'est de fiche en l'air deux mois de travail et de réformes.
Je vous en conjure de ne pas céder à cette solution.
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Simon Esculado :
- "En quoi la fin du secteur privé dans le secteur des PA serait une mauvaise chose ?"
Le merksiste insistait sur ce point.
- "Dans la plupart des pays ce secteur ne sert souvent pas à grand chose en dehors de produire des PAL ou des P.Alcool. Quelle différence donc aujourd'hui avec notre système, à part qu'il assume cet état de fait ?
Je n'apprécie pas de voir des entreprises se nourrir sur le dos des travailleurs. De fait ces bourgeois n'apportaient rien du tout en valeur ajoutée. Nous sommes déja bien gentil de leur donner le doubler de la valeur de leur entreprise !"
Il croisa les bras.
- "Si vous avez une meilleure idée j'aimerai bien l'entendre.
Mais vous verrez qu'in fine ce que vous proposerez ce sera une baisse de la production.
Une baisse pour quoi ? Financer des propriétaires d'entreprises ? Sur quel mérite ?"
- "En quoi la fin du secteur privé dans le secteur des PA serait une mauvaise chose ?"
Le merksiste insistait sur ce point.
- "Dans la plupart des pays ce secteur ne sert souvent pas à grand chose en dehors de produire des PAL ou des P.Alcool. Quelle différence donc aujourd'hui avec notre système, à part qu'il assume cet état de fait ?
Je n'apprécie pas de voir des entreprises se nourrir sur le dos des travailleurs. De fait ces bourgeois n'apportaient rien du tout en valeur ajoutée. Nous sommes déja bien gentil de leur donner le doubler de la valeur de leur entreprise !"
Il croisa les bras.
- "Si vous avez une meilleure idée j'aimerai bien l'entendre.
Mais vous verrez qu'in fine ce que vous proposerez ce sera une baisse de la production.
Une baisse pour quoi ? Financer des propriétaires d'entreprises ? Sur quel mérite ?"
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Brigitte Bregen :
Vu que l'Etat gère la totalité de leurs récoltes, je me demande bien quelle marge ils ont pour faire de la valeur ajoutée. Le problème, Eduardo, c'est que vous n'avez aucune solution.
Vous avez été absent et là que faisons nous ? Il y a des manifestants dans les rues et nous allons décider de leur retirer toute liberté économique sans même avoir la décence de rencontrer les syndicats.
Et de toute façon, vaut mieux stopper le débat. J'aurais forcément tord avec vous puisque tout ce qui ne revient pas à l'Etat enrichit forcément les bourgeois pour vous. Je peux vous dire que la bourgeoisie, elle s'est enrichie avec l'agriculture hein.
Allez voir les comptes des Vignobles ou de toute autre entreprise.
Pour trouver des solutions, il faut réfléchir et se concerter.
Elle fusilla le ministre du regard.
Comme contre-proposition? J'ai conscience que là, nous n'avons pas les marges de manoeuvres de production pour rendre aux agriculteurs une part de la production.
Par contre, nous pourrions accorder une compensation en leur versant une partie des revenus de la Centrale de PA au prorata des investissements réalisés en PP, Pmachines, PVéhicules (sur ce qu'ils détiennent en valeur de biens). Et ensuite, nous pourrions réfléchir à un autre mode de gestion et de consommation.
Là, il faut gérer l'urgence sociale tout en évitant la crise alimentaire.
Vu que l'Etat gère la totalité de leurs récoltes, je me demande bien quelle marge ils ont pour faire de la valeur ajoutée. Le problème, Eduardo, c'est que vous n'avez aucune solution.
Vous avez été absent et là que faisons nous ? Il y a des manifestants dans les rues et nous allons décider de leur retirer toute liberté économique sans même avoir la décence de rencontrer les syndicats.
Et de toute façon, vaut mieux stopper le débat. J'aurais forcément tord avec vous puisque tout ce qui ne revient pas à l'Etat enrichit forcément les bourgeois pour vous. Je peux vous dire que la bourgeoisie, elle s'est enrichie avec l'agriculture hein.
Allez voir les comptes des Vignobles ou de toute autre entreprise.
Pour trouver des solutions, il faut réfléchir et se concerter.
Elle fusilla le ministre du regard.
Comme contre-proposition? J'ai conscience que là, nous n'avons pas les marges de manoeuvres de production pour rendre aux agriculteurs une part de la production.
Par contre, nous pourrions accorder une compensation en leur versant une partie des revenus de la Centrale de PA au prorata des investissements réalisés en PP, Pmachines, PVéhicules (sur ce qu'ils détiennent en valeur de biens). Et ensuite, nous pourrions réfléchir à un autre mode de gestion et de consommation.
Là, il faut gérer l'urgence sociale tout en évitant la crise alimentaire.
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Esculado allait répondre. La tension était forte mais Blairot l'interrompit :
- "C'est une bonne idée madame Bregen."
Cette subvention venant de la Centrale Production PA allait forcément baisser le bénéfice du Consortium des Entreprises Publiques et donc des revenus de l'Etat, participant au dérapage budgétaire qui s'annonçait important pour la prochaine législature mais ce genre de problème n'en était pas un pour Blairot, surtout que le système était plutot simple, on ne pouvait pas l'accuser de compliquer beaucoup les choses.
- "Cela pourrait convaincre les syndicats."
Initialement Blairot ne voulait pas rencontrer les syndicats, certains representants étaient des ténors des libéraux mais la Premiere Ministre allait être obligée de passer par cette étape...
- "C'est une bonne idée madame Bregen."
Cette subvention venant de la Centrale Production PA allait forcément baisser le bénéfice du Consortium des Entreprises Publiques et donc des revenus de l'Etat, participant au dérapage budgétaire qui s'annonçait important pour la prochaine législature mais ce genre de problème n'en était pas un pour Blairot, surtout que le système était plutot simple, on ne pouvait pas l'accuser de compliquer beaucoup les choses.
- "Cela pourrait convaincre les syndicats."
Initialement Blairot ne voulait pas rencontrer les syndicats, certains representants étaient des ténors des libéraux mais la Premiere Ministre allait être obligée de passer par cette étape...
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Brigitte respira enfin. Elle ne voulait pas mettre à mal Blairot pour laquelle elle avait beaucoup de sympathie. Mais la nationalisation aurait été un échec et une voie royale pour la droite. Et cela Brigitte ne l'aurait pas accepté, elle avait même pensé à mettre sa démission sur la table.
Brigitte Bregen :
L'avantage c'est que ce mécanisme dépend non pas du gouvernement mais de la gestion du Consortium. Nous n'aurons besoin d'aucune loi pour ce mécanisme. Nous pourrions mettre cela en place très rapidement si les syndicats valident.
Elle regarda Futon. Elle ne répondit rien car elle avait raison dans la logique. Sauf que là, à quelques semaines des élections, il fallait faire de la politique et non plus de l'économie.
Brigitte Bregen :
L'avantage c'est que ce mécanisme dépend non pas du gouvernement mais de la gestion du Consortium. Nous n'aurons besoin d'aucune loi pour ce mécanisme. Nous pourrions mettre cela en place très rapidement si les syndicats valident.
Elle regarda Futon. Elle ne répondit rien car elle avait raison dans la logique. Sauf que là, à quelques semaines des élections, il fallait faire de la politique et non plus de l'économie.
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
"Peut etre faudrait-il baisser la production PP et PV au profit de la consommation des PA" pensa Blairot suivant l'appel du Chancelier comtadin en ce sens.
Mais elle savait que ce n'était pas trop du genre des merksistes qui privilégiaient les secteurs industriels et elle ne voulait pas les froisser.
Clairement le choix de Mariani (suivant les avis des différents gouvernements) de privilégier à tout va les PP,PV et PM avaient causé cette pénurie. Elle se promit de s'occuper de son cas, il ferait un bon fusible surtout que le Consortium allait devoir gérer la subvention aux agriculteurs.
En attendant, il ne semblait pas possible en l'état de permettre aux agriculteurs de profiter de leur production et la proposition de Bregen permettait de gagner du temps soit pour relancer plus tard une consommation des PA soit pour procéder aux nationalisations peut etre inéluctables.
Gagner du temps jusqu'aux prochaines élections, tel était l'objectif de Blairot.
Mais elle savait que ce n'était pas trop du genre des merksistes qui privilégiaient les secteurs industriels et elle ne voulait pas les froisser.
Clairement le choix de Mariani (suivant les avis des différents gouvernements) de privilégier à tout va les PP,PV et PM avaient causé cette pénurie. Elle se promit de s'occuper de son cas, il ferait un bon fusible surtout que le Consortium allait devoir gérer la subvention aux agriculteurs.
En attendant, il ne semblait pas possible en l'état de permettre aux agriculteurs de profiter de leur production et la proposition de Bregen permettait de gagner du temps soit pour relancer plus tard une consommation des PA soit pour procéder aux nationalisations peut etre inéluctables.
Gagner du temps jusqu'aux prochaines élections, tel était l'objectif de Blairot.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Brigitte reçu un message. De Soignon avait fait une annonce. "Il se contrefiche des agriculteurs lui..."se dit-elle. Elle méprisait De Soignon. C'était un opportuniste politique pour elle.
Elle se fendit d'un SMS pour Blairot.
Elle se fendit d'un SMS pour Blairot.
- Code:
Conf Presse de De Soignon au Comtat. Il annonce un plan local pour les agriculteurs.
Fait gaffe à lui, reprend le leadership du pays et du parti...
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Julie Futon n'en revenait pas ! Une fois de plus, la solution proposée par le gouvernement serait une subvention ! "Décidément, ils ne connaissent que ça !", se dit-elle en soupirant.
Tout le monde pensait que la dernière dictature collectiviste était le Valdisky, mais en fait, il y en avait une autre et c'était la Francovie.
La jeune femme ne réagit pas. Les relations avec Mézénas seraient rétablies sous peu, tout le reste était secondaire, donc inutile de faire des vagues...
Tout le monde pensait que la dernière dictature collectiviste était le Valdisky, mais en fait, il y en avait une autre et c'était la Francovie.
La jeune femme ne réagit pas. Les relations avec Mézénas seraient rétablies sous peu, tout le reste était secondaire, donc inutile de faire des vagues...
Émile Bogendorfer- Messages : 1024
Date d'inscription : 18/02/2018
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Mesdames, Messieurs,
Les remontés de terrain qui me parviennent de certaines entreprises francovares consommatrices de PA portent sur la qualité. Ils sont prêt à payer plus cher mais ne font pas confiance en la qualité sanitaires des produits de la centrale.
Ils déplorent que de plus petites structures comme "La Ferme Agroalimentaire" ne soient pas mises en valeur. Leur productions étaient pourtant sur une meilleure voie au bénéfice des agriculteurs et du respect de l’environnement et des produits.
Les remontés de terrain qui me parviennent de certaines entreprises francovares consommatrices de PA portent sur la qualité. Ils sont prêt à payer plus cher mais ne font pas confiance en la qualité sanitaires des produits de la centrale.
Ils déplorent que de plus petites structures comme "La Ferme Agroalimentaire" ne soient pas mises en valeur. Leur productions étaient pourtant sur une meilleure voie au bénéfice des agriculteurs et du respect de l’environnement et des produits.
Raymond Le Goff- Messages : 164
Date d'inscription : 22/07/2018
Re: (Gouvernement Blairot) Conseil des Ministres
Brigitte Bregen regarda à nouveau le Ministre de l'économie.
Dîtes-moi, quand comptez-vous verser les salaires de la fonction publique ? J'ai des syndicats de police et surtout les très puissants syndicats des Hubert qui commencent à me remonter que les salaires de la fonction publique n'ont toujours pas été versés et qu'ils sont à deux doigts de nous déposer des préavis de grève...
Dîtes-moi, quand comptez-vous verser les salaires de la fonction publique ? J'ai des syndicats de police et surtout les très puissants syndicats des Hubert qui commencent à me remonter que les salaires de la fonction publique n'ont toujours pas été versés et qu'ils sont à deux doigts de nous déposer des préavis de grève...
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
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