Campagne Municipale avril 2014

En visite dans un quartier périphérique de Micropolia, Sandrine Bailly, qui n'était pas la première du nom à s'engager politiquement, comptait bien faire réaliser un bon score au PTR dans la capitale afin de maintenir sa légitimité. Les micropoliens préféraient voter à droite, elle ne se faisait aucun illusion sur l'issue la plus possible : la réélection du maire sortant R. Marchand.

Mais elle voulait avant tout défendre le point de vue travailliste dans la capitale. Après avoir discuté avec les habitants du quartier, elle s'exprima.

Sandrine Bailly :  Les habitants de ces quartiers ne se sentent plus en sécurité et ils se sentent abandonnés. Les chiffres de la délinquance montrent clairement que l'équipe sortante n'a pas fait sont travail. Le PTR veut prendre en compte l'ensemble des Micropoliens, nous voulons les rassembler autour de nos valeurs. Nous proposerons un plan pour réduire la délinquance en favorisant le dialogue. Cela passe par la mise en place de structures dans les quartiers pour se réunir, donner son avis, s'exprimer, mais aussi partager.

Nous voulons aussi mieux desservir ces quartiers abandonnés, et d'une manière écologique, parce que nous voulons d'une capitale plus propre.
N'abandonnons aucun Micropolien.

Journaliste : Pensez-vous que des partis peuvent vous apporter leur soutient,

Sandrine Bailly : Ce serait une très bonne nouvelle pour moi ainsi que pour mon équipe de campagne si des partis comme l'uDH ou Génération démocrate se retrouvaient dans nos propositions.

Si cette brève intervention n'était qu'un aperçu des propositions, le meeting qui se tiendrait demain allait exposer le programme du PTR pour la grande ville.

Micropolia, Salle de la Mairie.

20 heure. Les lumières se coupent, la vidéo de campagne est lancée.









Merci!
Merci!
Merci d'être venus ce soir!

Le changement est en route. Chaque personne présente ici est un échec de la municipalité sortante, trop longtemps restée laxiste, endormie.

Citez moi une chose qu'ils aient fait à Micropolia: Rien!

Micropolia n'est pas un siège pour le Sénat ou un trophée à accrocher à son tableau de chasse. Micropolia se mérite et se conquiert par un programme et la force de la conviction. La conviction républicaine, je l'ai. Je l'ai prouvé à maintes reprises en prenant les décisions qui s'imposaient à chaque moment. Je n'ai jamais répondu à d'autres que le peuple francovar et au peuple de Micropolia.

Nulle ambition nationale dans ma candidature. Juste la volonté de changer Micropolia, de donner enfin le titre de Capitale à notre ville!

Applaudissements

Contre les Sortants, je renforcerais les moyens alloués à la lutte contre la délinquance. Je créerais une vraie police municipale qui assurera la sécurité au quotidien des Micropoliens.

Contre les Sortants, je ferais de Micropolia le haut-lieu de la création artistique avec la création d'un grand pôle alliant Université des Beaux-Arts, Musée de l'Histoire des Arts de la Francovie et la création d'une Cité des Artistes.

Contre les Sortants, je ferais enfin entrer Micropolia dans la transition écologique. Je le ferais par des mesures courageuses. Je le dit: Je limiterais l'accès des véhicules aux centres historiques tout en compensant par un nouveau maillage de transport public à bas prix!

Contre les Sortants, je ferais de la Capitale une ville pour tous les citoyens en limitant les coûts des billets de train passagers pour Micropolia. Cela passe aussi par la défense de la mixité sociale: Nous racheterons des immeubles afin de créer des logements sociaux dispersés dans la ville au lieu des Grands Ensembles hors de la ville.

Ma politique, c'est celle de l'action, celle de la cohérence, de la cohésion sociale, de la modernité et de l'Union! Trois partis soutiennent ma candidature parce que j'ai fait consensus par mon programme et ma conviction face à la mollesse des sortants et l'égoïsme politique d'autre.

Ensemble! Relevons Micropolia!Tous ensemble, avec vous!


Applaudissement

Eric Franchet a remercié tous les habitants d'Almara pour la confiance qu'ils lui ont accordé.