(XIIIe législature) Réunion du Premier Ministre et des chefs de clan

Montignac : - Merci de votre venue Monsieur le Vice-Patriarche. Nous attendons les autres participants : un café peut-être ?

Thomas Viketty :

- "Oui merci."

Viketty semblait calme. Il n'était pas du genre à s'enerver de ces litiges. Il connaissait l'état des finances francovares. 

Montignac serra la main des nouveaux arrivants : - Monsieur Bogendorfer, Monsieur Chamard, soyez les bienvenus.

Montignac : Monsieur le Vice-Président, soyez le bienvenu nous allons débuté, prenez un café et quelques viennoiseries en attendant l'arrivée du Brindas.

Montignac à voix basse à l'écart, saluant Eugénie : Je vous remercie d'être ici Eugénie. J'ai l'impression d'être dans la fosse aux lions. Au moins nous aurons coupé l'herbe sous le pied de Pouffiaud qui aurait tôt fait de prendre la tête d'une fronde. Regardez Lennemi ont le croirait à la curée.

Pour le Brindas, ce fut par protocole l'Empereur en personne (Tommen II, fils du Roi Gontran IV) qui assista en décoration à la réunion, l'empire étant en plein conseil de régence, le régime impérial se voyait continuellement affaibli par les luttes de pouvoir à la cour impériale, le jeune empereur était donc accompagné par le Patriarche suprême du Brindas, l'homme ayant la plus grande influence à la cour impériale et qui allait donc discuter au nom de l'Empire a la place de l'Empereur.

Le Premier Ministre fut étonné de l'arrivée d'un religieux et d'un enfant : - Euh... Hmm... Que Votre Majesté soit la bienvenue. Bonjour Monseigneur. Votre Majesté veut-elle assister à la réunion ou préfère-t-elle rejoindre un autre salon pour se détendre. Mes petits-fils ont laissé quelques jeux au Palais, mais ils sont trop jeune pour vous. J'ai bien quelques bandes dessinées qui pourraient vous plaire, mais ce sont celles de ma jeunesse : Barbe Verte le pirate, Les aventures de Taratatin...

Spoiler:

Pius Oliveras :

- " Ne vous inquiétez pas Monsieur le Premier ministre , sa Majesté impériale va rester ici pour écouter et apprendre, elle ne dérangera personne. "

Le Patriarche fit un signe de la main à l'Empereur qui s'installa sur une chaise dans un des coins de la pièce.

- Comme il vous plaira Excellence,

Bien Madame, Messieurs, débutons,

Je vous remercie d'être venu me rencontrer au Palais des Louvrières pour parler dont j'ai compris qu'il posait problème au chef de clan que vous êtes : la répartition de la subvention initiale prévu par le Code de la Décentralisation, sur 10 mois.

Je souhaite vous faire part des éléments qui m'ont poussé avec Madame Falquon et l'ensemble du gouvernement à prendre cette décision.

1) Voici un document produit sur la base des chiffres du MEF, présentant nos ressources financières.

Actifs fiduciaires publics au 1er Mai 2020


Ministères, trésor et Banque Centrale Francovare : 192 486 R$
Trésorerie centrales de production (en R$) : 1 019 011 R$
Trésorerie centrales de production (monnaies étrangères) : 139 150 R$
Trésorerie des entreprises publiques (hors centrales de production) : données non calculées
Les trésoreries des entreprises publiques ne sont pas prises en compte ni calculées (en dehors des centrales de production) car le consortium des entreprises publiques est en cours de restructuration.

TOTAL : 1 350 647 R$


Réserves 


Masse monétaire disponible : 2 050 953 R$
Réserves monnaies étrangères : 623 693 R$


TOTAL : 2 674 646 R$



Revenus et transferts 



Création monétaire : 0 mais 200 000 autorisés
Conformément à l'article 7 de la loi organique sur le contrôle budgétaire, le parlement autorise la dite création monétaire par décret du gouvernement
Dividende du consortium des entreprises publiques : 500 000 R$
Impôts et Taxe : 40 000 R$ (prévisions)


TOTAL : 540 000 R$ (740 000 si création monétaire)

Pour l'heure, le budget est fixé à 1 534 800 R$ : 640 000 sont réservés aux clans ainsi réparties : 340 000 au titre de la subvention initiale, 100 000 au titre de la dotation globale de fonctionnement et 200 000 au titre de la dotation globale d'investissement.

Voilà pour l'Etat des finances et les projections actuelles.

2) Pourquoi avons choisis d'étaler la subvention initiale ? Sur la base des clans représentés aujourd'hui, l'ensemble des clans actifs, nous devrions versés un total de 1,4 millions RS au titre de la subvention initiale, c'est à dire les 3/4 de notre masse monétaire. Cela je ne le souhaite pas. En effet, je souhaite que mon gouvernement puisse porter des politiques publiques et permettre aux gouvernements suivants d'agir.

Les décisions que j'ai prises, si elles servent de règle actuellement. Elles peuvent être amendés dans le sens d'un nouvel étalement de la subvention ou d'un versement sur la base de projets.

Je souhaite que nous puissions envisager toutes les éventualités dans un cadre qu'il me semble important de respecter parce que juste et équitable :
- pas de création de masse monétaire. Je souhaite conserver ce mécanisme pour une situation de crise.
- pas de conversion de devises étrangères
- un principe budgétaire : ce que j'appellerais la règle des 3 tiers : 1/3 Etat, 1/3 clans, 1/3 réserve.

Émile Bogendorfer : Monsieur de Montignac, ce que vous dites est fort intéressant et c'est sans doute vrai. Mais lorsque j'ai moi-même négocié une subvention de 300'000 R$ avec votre prédécesseur, il allait de soi que cette somme serait versée à Mézénas en une seule fois et que ça ne serait pas étalé sur près d'un an. Ça, c'est une première chose.

D'autre part, depuis que vous avez pris vos fonctions, vous avez certainement été mis au courant de la situation déplorable des clans et également de la Micropole (il jette un oeil en direction de Pascal Lennemi) concernant les besoins en nourriture et en énergie ! Je vous invite à consulter les chiffres de la région de Rémipolis, ils sont absolument effarants ! Il y a là une faillite évidente de l'État francovar qui n'a pas su remplir sa mission ! C'est sa mission, mais c'est également une obligation légale, je ne vous ferai pas l'affront de vous citer les articles 201 et 202 du Code Économique, vous devez les connaitre aussi bien que moi.

La création monétaire ne fait pas partie des prérogatives des clans, c'est l'État qui a cette prérogative et par conséquent, il lui appartient de verser des subventions aux clans, des subventions conséquentes, et pas de leur faire la charité en leur versant une aumône chaque mois. J'ajouterai que cet argent que vous verserez aux clans sera injecté dans l'économie, ce qui amènera des rentrées d'argent pour l'État, entre autres en recettes fiscales, c'est donc un calcul intelligent.

Mais je m'arrête là, je ne souhaite pas monopoliser la parole.

Pascal Lennemi :

- "Je crois que la messe est dite.
Le Gouvernement doit verser la totalité de la subvention immédiatement. La loi n'autorise en rien un report ou une graduation.
En faisant ce genre de chose, le Premier Ministre s'autorise des pouvoirs qu'il n'a pas. J'ai conscience qu'il a une vision très ... personnelle du pouvoir, certains diront autoritaires, d'autres jallanistes, mais ce n'est pas celle que nous accepterons."

Déja un point Godwin (du nom d'un professeur d'histoire francovare qui rejetait la faute et comparait tout aux jallanistes).

Président Bogendorfer, je vous remercie de votre intervention. Quant à vous, Vice-Président Lennemi, je regrette qu'elle soit aussi cinglante et peu vraisemblable, je sais que la gauche à choisit de me tailler un costume de dictateur en pratiquant l'injure et la diffamation. Montignac poursuivit calmement, glacialement, Je les trouve offensant. Seul vos qualités de Sages et la haute conscience que j'ai de mes devoirs de chef de gouvernement et de la nécessité de cette entrevue m'empêche de vous en expulser... Passons.

J'entends vos problèmes : le besoin d'une masse monétaire conséquente rapidement. Vous devez comprendre le mien : ne pas obérer le budget de mon gouvernement et celui des futurs gouvernements.

Je vous arrête sur un point Messieurs, l'article 301 dispose ce qui suit : "A sa création et reconnaissance par le Conseil des Sages, chaque Clan reçoit 300 000 R$ de subvention étatique. La mesure est rétroactive pour les anciens Clans. "

La loi n'a pas précisé la manière dont la mesure doit s'appliquer rétroactivement. Nous soutenons que le gouvernement peut le faire en publiant des décrets d'application, puisque c'est bien le rôle d'un décret d'application. Vous avez besoin d'une masse monétaire importante rapidement pour vos projets d'infrastructure et d'investissement, j'ai pour rôle de ne pas obérer les finances de l'Etat en versant d'un coup 1,4 millions.

Je vous propose donc de réduire l'étalement à 5 mois. Ainsi M. Bogendorfer, au cours de cette législature vous recevriez 120 000 au titre de la subvention initiale, 15 800 au titre de la DGF et vous même vice-président Lennemi 200 000 au titre de la subvention initiale, 26 700 au titre de la DGF. Il reste 200 000 de DGI à partager entre les clans.

Il y a sur la DGF et la DGI me semble-t-il un autre point de tractation. Elles pourraient être augmenté pour permettre le financement des projets prévus pour le reste de la législature. Parlons très concrètement : de combien avez-vous besoin sur deux mois ?

Thomas Viketty, le vice-patriarche du Clan Picaban :


- "Par solidarité avec les autres Clans, nous ne prendrons de décision que s'ils sont d'accord.
Personnellement nous saluons la concession sur les 5 mois. 10 mois c'était beaucoup trop vraiment.
De notre coté, nous sommes pret à soutenir l'initiative, si les autres Clans sont d'accord donc, et si la SNTF n'est nationalisé que de moitié mais avec un investissement identique de la part de l'Etat que de Francovex dans l'entreprise, c'est à dire que le gouvernement s'engagerait à investir 350 000 R$ dans la SNTF pour aider à la construction du raison ferroviaire notamment."

Je vous remercie M. Vicketty de votre esprit d'ouverture aux propositions du gouvernement. Pour ce qui est du dossier SNTF, je ne peux m'engager sur ce qui changerait la vision que nous avons de la SNTF. L'Etat me semble-t-il doit reprendre la main sur ce secteur clé en devenant l'actionnaire majoritaire de la SNTF par la nationalisation de 51 % du capital afin de prendre, dans l'intérêt de tous les Francovars les décisions stratégiques de l'entreprise. C'est pour Francovex et Picabie  l'assurance d'un gain maximal avec une prise de risque minimale. Pour moins de 51 %, l'investissement dans la SNTF ne nous semble pas intéressant.

Thomas Viketty :

- "Nous sommes pret à céder les 51% demandés mais sous réserve que le gouvernement s'engage à investir dans la SNTF et ne laisse pas le Groupe Francovex seul à investir dans ces projets.
La SNTF, vous le verrez, va avoir besoin de financement malgré les colossaux déja effectués. 
La consommation des Clans va y aider mais cela risque d'etre insuffisant au début."

François Chamard avait écouté tous les intervenants, prenant beaucoup de notes, mais il n'avait pas encore pris la parole. Il comprenait la position de Montignac, lui-même étant un adepte de la rigueur et de la maitrise des dépenses. Mais le Premier Ministre commettait une erreur de jugement : il ne prenait pas en compte les changements qui étaient intervenus à Mézénas.


Émile Bogendorfer : Je ne comprends pas pourquoi la discussion tourne soudainement autour de la nationalisation de la SNTF ! (ajoutant avec sarcasme) Je pensais que cette réunion serait uniquement consacrée au financement des Clans, mais j'ai dû me tromper.

L'erreur que vous faites, Monsieur de Montignac, c'est qu'en voulant verser à Mézénas une subvention initiale étalée dans le temps, puis d'autres subventions en fonction de son activité et de ses projets d'infrastructures, vous considérez encore Mézénas comme n'importe quelle autre région francovare. Mais ce n'est plus le cas, les choses ont changé, Mézénas est devenue une République autonome et devrait en conséquence bénéficier d'un statut et d'un régime particuliers. (il se tourne vers son voisin) Monsieur Chamard, je vous laisse exposer notre projet.

François Chamard : Monsieur le Premier Ministre, si Mézénas a accédé à l'autonomie, ça n'est pas pour ensuite se reposer sur les subventions que l'État francovar voudra bien lui verser. La République mézénienne n'a pas l'intention de quémander des fonds dès qu'elle souhaitera refaire une route ou bien construire une école ou un hôpital. Mézénas souhaite financer ses projets sans dépendre de qui que ce soit.

Une solution existe. En plus d'une subvention initiale peut-être pas aussi importante que celle qui était prévue au départ, l'État francovar pourrait se séparer de certaines de ses entreprises et les céder à la République de Mézénas. Ces entreprises verseraient des dividendes à la République mézénienne, ce qui lui permettrait de financer ses projets, sans dépendre de l'État francovar. La première conséquence de cette solution, ce serait une diminution des dépenses de l'État, c'est quelque chose qui devrait vous convaincre, Monsieur le Premier Ministre.

Bien entendu, l'idéal pour nous serait de sortir du système vikettyste. Je pense que cela pourrait être intéressant pour l'État francovar, car au lieu d'acheter des biens pour ensuite les revendre, Mézénas produirait ces biens et ça n'aurait que des effets positifs sur le PIB de la Francovie.

Thomas Viketty :

- "Le système que j'ai mis en place à démontré son efficacité dans notre pays qui est redevenu une puissance majeure, certainement la première au Micromonde à la fois économique, boursière et commerciale.
Mézénas n'a pas besoin d'avoir un système différent elle peut très bien l'utiliser et le fait déjà d'ailleurs.
Si Mézénas souhaite produire comme le font les autres pays, il lui suffit d'acheter des entreprises à l'étranger. Les droits de douane à l’intérieur de la CEGA sont très bas par exemple. Rien ne l’empêcherait d'installer ensuite les usines à Mézénas et de produire.

Il n'y a en tout cas aucun rapport entre le financement des Clans et ce système car comme je l'ai dit les Clans peuvent très largement se financer avec le Vikettysme, le Groupe Francovex le montre."

EL : Le système est une règle EL. Si tu veux vraiment produire (je ne comprends pas très bien pourquoi vu que c'est plus chronophage que ludique mais pourquoi pas) on peut éventuellement te laisser produire tout ce qui est PM, PV, PP mais par contre impossible pour les matières premières qui sont limitées sur EcoMicro.

La ministre Falquon intervint :





- "Monsieur Viketty, le débat sur la SNTF devrait en effet avoir lieu plus tard. J'ai conscience de l’intérêt de la question pour ...
- C'est une source de financement importante du Clan Picaban...
- Je sais je sais mais le Premier Ministre compte lancer avec le PDG du Groupe Francovex ou vous meme une réunion sur la question bientot et là nous devons régler ce problème épineux des subventions avant tout."

Se tournant vers le mézénien :

- "Monsieur Bogendorfer, j'ai conscience que Mézénas a obtenu une certaine autonomie mais cela ne concerne en rien le financement de votre Clan. Cela ne concerne que d'autres sujets notamment le commerce et ce qui touche au militaire. Sur le sujet des finances vous êtes dans la même situation que les autres Clans, il ne peut donc y avoir de traitement de faveur ou de défaveur.
Je sais que vous préférez le système des autres pays mais la Francovie a fait ce choix qui correspond bien à notre économie et qui a démontré sa réussite. Vous pouvez juger cela spécial ou différent mais du moment que ce n'est pas plus compliqué, et c'est même le contraire, je trouve que c'est préférable pour nos entreprises et nos collectivités territoriales.

Si le Premier Ministre est d'accord bien entendu, je peux vous proposer une autre solution. Elle n'est pas idéale et ne correspond à votre demande monsieur Bogendorfer mais peut être s'agira t-il d'une concession qui vous satisfera un peu tout en satisfaisant monsieur Lennemi, Viketty et nos amis du Brindas sur le financement car elle devrait augmenter le bénéfice de vos entreprises : il s'agirait de baisser les prix de vente des centrales de production.

L'oreille de Viketty frissonna. Falquon précisa :

- "Les prix de vente des centrales de production date de mon précédent mandat, le 6 juillet 2019. Ils sont plus bas que les précédents mais restent selon moi beaucoup trop haut. C'est en partie pour ça que monsieur Bogendorfer souhaite produire lui même je suppose meme si ce n'est peut etre pas la seule raison.
Personnellement, toujours sous l'aval du Premier Ministre, je suis prêt à diviser par deux les prix ! Avec de tels prix, vos entreprises seront les plus compétitives du Micromonde sans aucun doute possible !


Cela était très avantageux pour les entreprises privées mais risquait d’assécher ou en tout cas réduire les bénéfices du consortium des entreprises publiques mais Falquon était une ultralibérale, rappelons le. Peut etre cela aurait-il une influence sur le déficit de l'Etat néanmoins ...


L'idée convint Viketty, cela permettrait au Groupe Francovex d'augmenter sensiblement ses bénéfices. Il s'agissait -en plus des 5 et non 10 mois d'étallement- d'une concession jugée suffisante.
Le micropolien Lennemi lui n'était par contre pas convaincu :

- "Pour Micropolia cela ne change rien, nous n'avons aucune grande entreprise ! Nous réclamons que l'Etat nous donne une partie des entreprises publiques pour nous mettre au niveau des Clans !"

Bogendorfer avait voulu interrompre Chamard mais c'était trop tard. "Cet imbécile devrait se taire, qu'est-ce qui lui a pris de dire un truc pareil alors que Viketty est avec nous ?", s'interrogea-t-il. Il soupira. "Ça m'apprendra à prendre dans mon entourage un économiste formé au Krassland."


Émile Bogendorfer : Je souhaiterais signaler qu'il n'est pas dans mes projets de sortir du Vikettysme. Monsieur Chamard n'a fait qu'émettre une opinion personnelle qui n'est pas la mienne.

François Chamard : J'ai bien dit que ce serait "dans l'idéal". À mon avis, nous...

Émile Bogendorfer : Merci, Monsieur Chamard, nous avons tous très bien compris votre avis. Madame Falquon, votre proposition de baisser le prix des centrales de production me semble une bonne chose, mais si Mézénas n'est actionnaire d'aucune entreprise, en quoi cela pourrait-il être intéressant pour nous ?

Pascal Lennemi :

- "Exactement on a pas d'entreprise !"

Cela rejoignait la volonté du Premier Ministre (et de Falquon) de se séparer de plusieurs entreprises du consortium des entreprises publiques, cela permettait de faire valider le report de la subvention initiale en plus donc ... :

Eugénie Falquon :


- "Que pensez vous monsieur le Premier Ministre d'accorder des entreprises du consortium aux Clans ? Je rappelle par ailleurs aux Clans que vous pouvez en créer en dehors des secteurs sous monopole.
Monsieur Bogendorfer possède par exemple ce qui va, je lui souhaite, devenir le premier label de Francovie."

Thomas Viketty :

- "J'espère que ce sera plutôt Francovex Productions" (Rire)