Port militaire de Rémipolis
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Jacques Dubois
Skotinos
Ludovic Le Cam
7 participants
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Port militaire de Rémipolis
Les cargos apportés par Delfrous avec les armes ainsi qu'un croiseur de la Marine Francovare partirent du Port militaire de Rémipolis dans le cadre de l'Opération "Soleil Eternel".
Cette opération secrete avait mobilisé bon nombre de soldat par le gouvernement qui, voyant la situation se calmer, avait retiré quelques troupes par ci par là pour constituer une flotte capable de se défendre au cas où les krasslandais ou un autre pays oserait les attaquer.
Le but de l'opération était gardé secret mais il paraissait évident de commencer l'opération dès à présent car le Micromonde commençait à s'habituer au jallanisme et de plus le régime obtenait victoire sur victoire entre les maladies de Mariani puis Maréchal, la victoire d'un nationaliste au Kolozistan ou encore la grave crise politique que connaissait le Krassland avec la LEM.
L'opération avait été placé sous le commandement du Contre-Amiral Gompard. Sa carrière était en jeu.
Suite sur le Micromonde http://micromonde.topbboard.com/t1648-Op-ration-Soleil-Eternel.htm
Cette opération secrete avait mobilisé bon nombre de soldat par le gouvernement qui, voyant la situation se calmer, avait retiré quelques troupes par ci par là pour constituer une flotte capable de se défendre au cas où les krasslandais ou un autre pays oserait les attaquer.
Le but de l'opération était gardé secret mais il paraissait évident de commencer l'opération dès à présent car le Micromonde commençait à s'habituer au jallanisme et de plus le régime obtenait victoire sur victoire entre les maladies de Mariani puis Maréchal, la victoire d'un nationaliste au Kolozistan ou encore la grave crise politique que connaissait le Krassland avec la LEM.
L'opération avait été placé sous le commandement du Contre-Amiral Gompard. Sa carrière était en jeu.
Suite sur le Micromonde http://micromonde.topbboard.com/t1648-Op-ration-Soleil-Eternel.htm
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: Port militaire de Rémipolis
La flotte était revenue à temps de sa mission.
Il fallait cependant se dépecher pour mettre à Deflours et aux officiers de participer à la cérémonie d'investiture.
Un navire skotinec avait suivi à la trace la flotte mais cela n'avait pas dérangé les jallanistes.
Il fallait cependant se dépecher pour mettre à Deflours et aux officiers de participer à la cérémonie d'investiture.
Un navire skotinec avait suivi à la trace la flotte mais cela n'avait pas dérangé les jallanistes.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: Port militaire de Rémipolis
Arrivé a proximité des eaux territoriales francovares, le navire skotinec fit demi-tour et repartit vers l'est.
Skotinos- Messages : 142
Date d'inscription : 09/05/2016
Re: Port militaire de Rémipolis
Un contingent de quarante personne se rendit au port affin de prendre totalement le contrôle de ce dernier et permettre au Triangle de maîtriser l'entrée maritime de cette partie de la région.
L'opération était prévue pour la nuit a 12h00 précis.
On s'arma, on se prépara. Une fois le poste frontière pris, les régions Fux-Almara-Remipolis seraient sous contrôle du Triangle.
L'opération était prévue pour la nuit a 12h00 précis.
On s'arma, on se prépara. Une fois le poste frontière pris, les régions Fux-Almara-Remipolis seraient sous contrôle du Triangle.
Jacques Dubois- Messages : 5903
Date d'inscription : 06/03/2014
Age : 70
Re: Port militaire de Rémipolis
L'opération avait bel et bien été lancée mais a peine eurent-ils mis un pied dans le Port de Rémipolis que les Résistants furent repérés!
Chef de Groupe du Triangle (par radio):
_"L'Opération est annulé! Je répète, L'Opération est annulée!! Transmettez a Fux!"
Les Jallanistes s'apprêtèrent a faire feu! Lors que leur Commandant l'ordonna, ils tirèrent sur les Résistants qui durent fuir!
Chef de Groupe du Triangle (par radio):
_"L'Opération est annulé! Je répète, L'Opération est annulée!! Transmettez a Fux!"
Jacques Dubois- Messages : 5903
Date d'inscription : 06/03/2014
Age : 70
Re: Port militaire de Rémipolis
Suite à un ordre présidentiel, une cargaison très sécurisée fut amenée à Rémipolis. Placé à l'interieur d'un croiseur à l'abris des regards, le croiseur quitta le port accompagné de deux autres navires.
La direction restait inconnue de la part des marins.
Cela rappelait l'opération "Soleil Eternel".
La direction restait inconnue de la part des marins.
Cela rappelait l'opération "Soleil Eternel".
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: Port militaire de Rémipolis
Les trois navires francovars furent repérés par le radar de la corvette lance-missiles "SRK Ekrazkafar" patrouillant en Mer d'Ylezia. Le capitaine du navire krasslandais rapporta la présence du convoi naval à l'amirauté de Krassershaven et peu après il reçut l'ordre de suivre à distance les vaisseaux francovars. On soupçonnait les Jallanistes de vouloir faire un nouveau test de leur bombe sismique sous-marine et on voulait les avoir à l'oeil.
Diplomatie Krasslandaise- Messages : 314
Date d'inscription : 23/03/2014
Re: Port militaire de Rémipolis
Le gros de la flotte francovare était rassemblée juste devant le port militaire de Rémipolis.
Le chef de la Marine, l'Amiral Charles-Henri Marland, l'un des 7 membres du Conseil de Stabilité (la junte au pouvoir) était présent sur le fleuron de la flotte, le porte-avion "Edgar Jallan" qui se nommait avant le "Archibald Parmentier".
Celui-ci venait de recevoir une bombe SUD-1, la plus puissante bombe conventionnelle à disposition du régime qui n'en avait plus que deux depuis le bombardement sur le Comtat.
L'Amiral avait recu l'ordre de bombarder cette bombe vers Fux avant de lancer le combat avec sa flotte sur les EF de Mezenas en represaille de leur bombardement sur "un village d'enfant" selon les sources officielles meme si l'Amiral savait bien qu'elle avait été la réelle cible tout comme il faut le dire une bonne partie de l'armée...
L'Amiral confirma les ordres du Gouvernement et indiqua la cible à l'ensemble de la flotte : la banlieue de Fux voire potentiellement Fux elle meme.
Cette réalité ne plaisait pas dans le "Patriote I" l'ex "Daniel Morgan" dans le Croiseur de la flotte (la 2e classe derrière le porte-avion) où le Commandant Liester comme une grande partie de ses seconds venaient de la ville.
- Mon commandant on ne peut pas laisser Fux se faire massacrer comme le Comtat
- Je ... je ... je sais mais que faire ?
- Je ne sais pas mais nous devons agir.
- Que voulez vous faire ? Couler toute la flotte ?
- Non ... il nous suffirait de couler le Jallan ...
Le Commandant reflechissait. Cette haute trahison le condamnerait lui mais aussi et surtout sa famille.
Il refusa. Il ne voulait pas mettre en danger sa famille.
Alors que ses seconds allaient retourner à leur position, le Commandant décida de quitter la pièce de commandement sans dire mot laissant un dernier regard complice à ceux qui l'ont accompagné toute sa vie.
Ces derniers comprenant le message commencèrent à viser le Porte-Avion juste en face d'eux. Pendant ce temps le Commandant rejoignit le pont du bateau, un milicien noir alla à sa rencontre.
- Patriote Commandant vous n'avez pas recu les ordres ? Vous devriez etre en haut en train de préparer le croiseur pour le départ.
- Je m'accorde une pause milicien, nous ne sommes pas encore parti.
- D'accord.
Alors que le milicien allait partir, le croiseur commença à ouvrir le feu sur le porte-avion dans un vacarme assourdissant.
Les marins du croiseur étaient tout aussi surpris que ceux du Porte-Avion qui fut touché de façon frontale. Les dégats étaient extrêmement lourd, le croiseur étant très proche du Jallan.
Le milicien n'en croyait pas ses yeux et demanda au Commandant ce qu'il se passait. Ce dernier resta calme et demanda au milicien de l'accompagner en haut dans la salle de commandement pour voir ce qu'il se passait. Isolé dans un couloir, le commandant se débarrassa du milicien avant de rejoindre de nouveau le pont du navire.
Les marins lui demandèrent à leur tour ce qu'il se passait et lui expliqua que les seconds avaient fait une mutinerie et que la salle de commandement était vérouillé et qu'il ne pouvait rien faire. Cette excuse lui permettra de sauver sa famille si des marins du croiseur survivraient à l'opération.
Toujours sur le pont, le Commandant voyait le Porte-Avion se faire déchiqueter par les tirs du croiseurs, tous les avions sur le pont avaient été détruit.
Regardant vers le ciel, le Commandant remarqua un oiseau noir qui devenait de plus en plus gros et qui s'approchait de lui à une vitesse hallucinante.
L'oiseau s'écrasa sur le pont et explosa. L'obus tua le Commandant et les marins environnant. Le reste de la flotte avait décidé de réagir face au tirs du croiseur. Ce dernier fut à son tour lourdement touché par les bateaux proches.
Les seconds décidèrent de continuer de tirer sur le Porte-Avion tout en accélérant en direction du Porte-Avion tout proche.
Le croiseur s'encastra dans le porte-avion le coupant quasiment en deux le coupant à la perpendiculaire.
La scène fut suivi d'une anarchie où les marins des deux bateaux se tirèrent dessus et que des marins du meme bateau se tirèrent dessus entre eux pensant que réciproquement ils étaient résistants.
Les autres bateaux de la flotte ne pouvant plus tirer sur le croiseur se rapprochèrent pour permettre de faire débarquer les marins.
Pendant ce temps, l'Amiral Marland qui se trouvait dans le Porte-Avion voulait à tout prix aller dans les soutes pour avoir accès au SUD-1. Ce dernier était armé et pouvait potentiellement exploser. Se dirigeant difficilement dans les soutes, sautant entre les trous divers entre les étages il était parvenu de justesse à atteindre le quartier des missiles où il pu avoir accès au SUD-1 qui se trouvait dans la "bonne moitié" du navire.
Cependant un marin se trouvait à coté du SUD-1 dont la taille près de 11 mètres de long lui permettait à tout moment de pouvoir faire exploser la bombe en ayant accès à l'une des parties sensibles.
S'approchant d'une de ces parties, l'Amiral lui ordonna de reculer et le prévint du danger.
L'aspirant se retourna et tira la langue à celui qui était son supérieur pour encore quelques secondes.
Se précipitant sur la tete de la bombe, il y fracassa une clef à molette sur le bout du détonateur....
La SUD-1 explosa.
Le porte-avion explosa donc de l'intérieur le détruisant complément tout comme le croiseur encastré mais aussi les autres bateaux de la flotte qui s'étaient rapprochés du fait de l'énorme puissant du SUD-1.
Les principaux bateaux de la flotte avaient été totalement détruit.
Aucun survivant n'avait pu etre récupéré pour le croiseur (1000 hommes) et le Porte-Avion (2000 marins) et plus des deux tiers des marins des autres bateaux avaient péris.
Le bilan était de 6854 morts.
Le chef de la Marine, l'Amiral Charles-Henri Marland, l'un des 7 membres du Conseil de Stabilité (la junte au pouvoir) était présent sur le fleuron de la flotte, le porte-avion "Edgar Jallan" qui se nommait avant le "Archibald Parmentier".
Celui-ci venait de recevoir une bombe SUD-1, la plus puissante bombe conventionnelle à disposition du régime qui n'en avait plus que deux depuis le bombardement sur le Comtat.
L'Amiral avait recu l'ordre de bombarder cette bombe vers Fux avant de lancer le combat avec sa flotte sur les EF de Mezenas en represaille de leur bombardement sur "un village d'enfant" selon les sources officielles meme si l'Amiral savait bien qu'elle avait été la réelle cible tout comme il faut le dire une bonne partie de l'armée...
L'Amiral confirma les ordres du Gouvernement et indiqua la cible à l'ensemble de la flotte : la banlieue de Fux voire potentiellement Fux elle meme.
Cette réalité ne plaisait pas dans le "Patriote I" l'ex "Daniel Morgan" dans le Croiseur de la flotte (la 2e classe derrière le porte-avion) où le Commandant Liester comme une grande partie de ses seconds venaient de la ville.
- Mon commandant on ne peut pas laisser Fux se faire massacrer comme le Comtat
- Je ... je ... je sais mais que faire ?
- Je ne sais pas mais nous devons agir.
- Que voulez vous faire ? Couler toute la flotte ?
- Non ... il nous suffirait de couler le Jallan ...
Le Commandant reflechissait. Cette haute trahison le condamnerait lui mais aussi et surtout sa famille.
Il refusa. Il ne voulait pas mettre en danger sa famille.
Alors que ses seconds allaient retourner à leur position, le Commandant décida de quitter la pièce de commandement sans dire mot laissant un dernier regard complice à ceux qui l'ont accompagné toute sa vie.
Ces derniers comprenant le message commencèrent à viser le Porte-Avion juste en face d'eux. Pendant ce temps le Commandant rejoignit le pont du bateau, un milicien noir alla à sa rencontre.
- Patriote Commandant vous n'avez pas recu les ordres ? Vous devriez etre en haut en train de préparer le croiseur pour le départ.
- Je m'accorde une pause milicien, nous ne sommes pas encore parti.
- D'accord.
Alors que le milicien allait partir, le croiseur commença à ouvrir le feu sur le porte-avion dans un vacarme assourdissant.
Les marins du croiseur étaient tout aussi surpris que ceux du Porte-Avion qui fut touché de façon frontale. Les dégats étaient extrêmement lourd, le croiseur étant très proche du Jallan.
Le milicien n'en croyait pas ses yeux et demanda au Commandant ce qu'il se passait. Ce dernier resta calme et demanda au milicien de l'accompagner en haut dans la salle de commandement pour voir ce qu'il se passait. Isolé dans un couloir, le commandant se débarrassa du milicien avant de rejoindre de nouveau le pont du navire.
Les marins lui demandèrent à leur tour ce qu'il se passait et lui expliqua que les seconds avaient fait une mutinerie et que la salle de commandement était vérouillé et qu'il ne pouvait rien faire. Cette excuse lui permettra de sauver sa famille si des marins du croiseur survivraient à l'opération.
Toujours sur le pont, le Commandant voyait le Porte-Avion se faire déchiqueter par les tirs du croiseurs, tous les avions sur le pont avaient été détruit.
Regardant vers le ciel, le Commandant remarqua un oiseau noir qui devenait de plus en plus gros et qui s'approchait de lui à une vitesse hallucinante.
L'oiseau s'écrasa sur le pont et explosa. L'obus tua le Commandant et les marins environnant. Le reste de la flotte avait décidé de réagir face au tirs du croiseur. Ce dernier fut à son tour lourdement touché par les bateaux proches.
Les seconds décidèrent de continuer de tirer sur le Porte-Avion tout en accélérant en direction du Porte-Avion tout proche.
Le croiseur s'encastra dans le porte-avion le coupant quasiment en deux le coupant à la perpendiculaire.
La scène fut suivi d'une anarchie où les marins des deux bateaux se tirèrent dessus et que des marins du meme bateau se tirèrent dessus entre eux pensant que réciproquement ils étaient résistants.
Les autres bateaux de la flotte ne pouvant plus tirer sur le croiseur se rapprochèrent pour permettre de faire débarquer les marins.
Pendant ce temps, l'Amiral Marland qui se trouvait dans le Porte-Avion voulait à tout prix aller dans les soutes pour avoir accès au SUD-1. Ce dernier était armé et pouvait potentiellement exploser. Se dirigeant difficilement dans les soutes, sautant entre les trous divers entre les étages il était parvenu de justesse à atteindre le quartier des missiles où il pu avoir accès au SUD-1 qui se trouvait dans la "bonne moitié" du navire.
Cependant un marin se trouvait à coté du SUD-1 dont la taille près de 11 mètres de long lui permettait à tout moment de pouvoir faire exploser la bombe en ayant accès à l'une des parties sensibles.
S'approchant d'une de ces parties, l'Amiral lui ordonna de reculer et le prévint du danger.
L'aspirant se retourna et tira la langue à celui qui était son supérieur pour encore quelques secondes.
Se précipitant sur la tete de la bombe, il y fracassa une clef à molette sur le bout du détonateur....
La SUD-1 explosa.
Le porte-avion explosa donc de l'intérieur le détruisant complément tout comme le croiseur encastré mais aussi les autres bateaux de la flotte qui s'étaient rapprochés du fait de l'énorme puissant du SUD-1.
Les principaux bateaux de la flotte avaient été totalement détruit.
Aucun survivant n'avait pu etre récupéré pour le croiseur (1000 hommes) et le Porte-Avion (2000 marins) et plus des deux tiers des marins des autres bateaux avaient péris.
Le bilan était de 6854 morts.
Ludovic Le Cam- Messages : 10062
Date d'inscription : 29/07/2014
Age : 29
Re: Port militaire de Rémipolis
Les deux Phantom mézènes survolaient la zone mais à une altitude assez élevée, étant donné les fumées noires qui s'élevaient des navires en flammes. Darroin et Kowalski voulaient voir s'il n'y avait pas éventuellement des survivants, afin de prévenir la résistance qui serait alors peut-être venue pour les secourir.
Darroin : Eh ben, mon colon, toute cette fumée ça me rappelle le jour où ma femme a voulu faire un barbecue dans le jardin.
Kowalski : Et voilà, encore une fois tu ramènes tout à la bouffe ! C'est vraiment une manie, chez toi ! Et sinon, rappelle-moi ce qu'on doit faire aujourd'hui ?
Darroin : On doit engager le combat contre l'aviation francovare dans le Comtat.
Kowalski : Bon, eh bien je crois qu'on peut y aller, il n'y a plus rien à faire pour ces malheureux. Alors, direction le Comtat !
Darroin : Tu vas voir qu'on ne les croisera pas ! Ils savent à qui ils ont affaire, ils vont se planquer !
Darroin : Eh ben, mon colon, toute cette fumée ça me rappelle le jour où ma femme a voulu faire un barbecue dans le jardin.
Kowalski : Et voilà, encore une fois tu ramènes tout à la bouffe ! C'est vraiment une manie, chez toi ! Et sinon, rappelle-moi ce qu'on doit faire aujourd'hui ?
Darroin : On doit engager le combat contre l'aviation francovare dans le Comtat.
Kowalski : Bon, eh bien je crois qu'on peut y aller, il n'y a plus rien à faire pour ces malheureux. Alors, direction le Comtat !
Darroin : Tu vas voir qu'on ne les croisera pas ! Ils savent à qui ils ont affaire, ils vont se planquer !
Représentant Mézène- Messages : 468
Date d'inscription : 19/11/2016
Re: Port militaire de Rémipolis
Visite du Ministre de la Défense au Port de Rémipolis.
Il annonça le maintien de la base, sa reconstruction, celle de la flotte et la modernisation.
Il annonça le maintien de la base, sa reconstruction, celle de la flotte et la modernisation.
Jonas d'Agrolia- Messages : 11832
Date d'inscription : 06/03/2014
Localisation : Quelque part entre Micropolia et Comtat
Re: Port militaire de Rémipolis
Le Lémuria, un navire de croisière krasslandais est arrivé dans le port de Rémipolis escorté par deux patrouilleurs Kraken de la marine krasslandaise. Il ramène en Francovie les plus de 900 prisonniers de guerre capturés par des commandos krasslandais en Mer Océane lors de l'opération "Dune Gluante" ainsi que les enfants que les jallanistes avaient placés à bord des trois frégates francovares pour servir de boucliers humains. Les frégates seront ramenées ultérieurement par de nouveaux équipages francovars envoyés à Krassershaven.
Diplomatie Krasslandaise- Messages : 314
Date d'inscription : 23/03/2014
Re: Port militaire de Rémipolis
Le Lémuria a quitté ce matin le port de Rémipolis en direction de Krassershaven. Il emmène à son bord les militaires des commandos de l'armée krasslandaise qui rentrent au pays. Ils avaient séjourné clandestinement en Francovie pendant les mois du régime jallaniste après avoir procédé à l'exfiltration de l'ambassadrice l'an passé.
Diplomatie Krasslandaise- Messages : 314
Date d'inscription : 23/03/2014
Re: Port militaire de Rémipolis
La base des fusiliers-commando de Rémipolis était au garde à vous. Le commandant du commando Joubert quittait son commandement et faisait son adieu aux armes clôturant trente-huit années de carrière militaire. A cinquante-huit ans, l'homme aux multiples citations, maintes fois décorés pour fais de bravoure quittait le service actif. En cet instant d'émotion, la voix du chef n'avait pas tremblé lorsqu'il avait une dernière fois commandé à ses hommes le garde à vous avant le salut au drapeau et à l'hymne national. Une dernière fois, il les avait passé en revue devant les autorités. La voix de l'amiral commandant la Force des fusiliers marins et commandos avait fendu l'air : "capitaine de frégate Hubert de Montignac remettez votre commandement". Le soldat s'était exécuté, s'avançant vers le porte-fanion, il pris le précieux tissu décoré de la croix de la valeur militaire, avant de le remettre à l'amiral, son supérieur, qui le remit à son successeur.
Issu d'une famille dont la tradition militaire remontait aux premières croisades, Hubert de Montignac, à peine âgé de vingt ans, le bac en poche, avait rejoint l'armée pour se battre. Il avait débuté sa carrière comme simple officier marinier. Après l'école de maistrance, il avait choisit les fusiliers puis les commandos. Il y avait fait sa carrière, avant de décrocher ses galons d'officier. Il avait alors alterné poste à la mer, en unité commando, et en état-major. Son bagage opérationnel l'avait conduit sur les théâtres d'opération, les plus secrets. Le Bangana était le dernier en date. Il y avait perdu deux hommes. De l'avis de ses supérieurs : c'était un militaire chevronné, tacticien hors pairs et meneurs d'hommes. Pour ses subordonnés, il était un chef austère, froid, cassant, sévère mais toujours juste. Un de ces mythes vivants que l'on n'ose approcher ou défier. L'armée ne voulait plus de lui, il partait amère. Les économies budgétaires avaient eu raison de son grade de capitaine de vaisseau ; il resterait "frégaton".
Issu d'une famille dont la tradition militaire remontait aux premières croisades, Hubert de Montignac, à peine âgé de vingt ans, le bac en poche, avait rejoint l'armée pour se battre. Il avait débuté sa carrière comme simple officier marinier. Après l'école de maistrance, il avait choisit les fusiliers puis les commandos. Il y avait fait sa carrière, avant de décrocher ses galons d'officier. Il avait alors alterné poste à la mer, en unité commando, et en état-major. Son bagage opérationnel l'avait conduit sur les théâtres d'opération, les plus secrets. Le Bangana était le dernier en date. Il y avait perdu deux hommes. De l'avis de ses supérieurs : c'était un militaire chevronné, tacticien hors pairs et meneurs d'hommes. Pour ses subordonnés, il était un chef austère, froid, cassant, sévère mais toujours juste. Un de ces mythes vivants que l'on n'ose approcher ou défier. L'armée ne voulait plus de lui, il partait amère. Les économies budgétaires avaient eu raison de son grade de capitaine de vaisseau ; il resterait "frégaton".
Hubert de Montignac- Messages : 1304
Date d'inscription : 19/04/2019
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