Mise en place du dispositif de protection des frontières Franco/Banganaise

Nathan Boncoeur:

_Eh bien écoutez, tout va bien. On a mis hors d'état de nuire quelques miliciens Banganais qui avaient menacé notre frontière, on a accueillis les réfugiés, les a soignés et maintenant on pourra les nourrir grâce a l'appel aux entreprises nationales.

Normalement tout devrais bien se passer.

Jean Coty:

Et au niveau des équipements militaires, vous avez tout ce qu'il vous faut ou vous avez des manques en matériel?

Il demanda à son assistante parlementaire, ancienne secrétaire de son cabinet à la Présidence, de leur apporter du café.

_On a tout ce qu'il nous faut oui, étant donné qu'on ne va pas plus loin que la frontière, n'y voyez aucune critiques hein, le Sénat a eue raison de rappeller le mandat qui nous a été donné et surtout qu'on doit d'abord penser a protéger nos frontières. Même si les troubles au Bangana vont bien plus loin que la frontière.

Jean Coty acquiesca

Jean Coty

Oui, d'ailleurs, il arrive bientôt à terme. Il faudra probablement le renouveler. Avez-vous de nouvelles orientations à proposer?

_C'est difficile...d'un coté il faudrait aller vers le nord pour terrasser les miliciens Banganais a leurs source, mais se pose deux problèmes, ceux qui vont crier au viol de la souveraineté du Bangana et ceux qui nous diront qu'on ne va pas en guerre dans un pays ou il n'y a pas de Gouvernement....donc ça va être dur d'avoir un mandat qui nous permette d'aller au delà des frontières.

Jean Coty:

Je comprend, Monsieur le Ministre. Avez-vous des requêtes à poser au Sénat?

D'un seul coup, le camp s'agita. L'assistante parlementaire de Jean Coty, qui n'était personne d'autre qu'un des ex-agents du réseau fantôme fondé sous sa présidence, arriva en courant. Ils entendirent un sifflement puis une explosion. Les rebelles avaient lancé une large attaque sur le campement à coup de tir de mortier. Au loin, sur la route, on pouvait voir des véhicule auto-mitrailleur arriver vers le campement.

Un obus tomba sur un bus de l'armée

Les deux soldats avaient plongés sur Jean Coty et Nathan Boncoeur pour les protéger! Le Ministre se releva furieux!


_COMMENT UNE TELLE CHOSE A PU SE PRODUIRE???? ETEIGNEZ-MOI CE FEU ET TROUVEZ-MOI QUI A FAIT CA C'EST UN PUTAIN D'ORDRE!!!!


Les soldats se mirent au travail!!

_Comment cela a-il pu arriver??? MAIS BOUGEZ VOUS DE ME TROUVER LES COUPABLES DE CET ATTENTAT!

Vraiment, vraiment très en colère, Nathan Boncoeur avait déployé de gros moyens pour redoubler la défense de la frontière!






On avais sorti les tireurs d'élites


Et l'armement lourd!



_Les gars, je ne veux plus JAMAIS revoir un bordel comme cet après-midi! Je vous met en garde! La moindre petite bavure et je fait tomber des têtes, y compris dans la hiérarchie! Merde! Une attaque, un bus cramé, deux morts, un Sénateur a l'hosto! Non, si vous merdez encore une fois c'est tout simple en plus de vous faire briser les jambes je brise vos carrières!

Il n'y avait quasiment plus d'activité a la frontière Franco-Banganaise. Beaucoup de Miliciens Banganais avaient été arrêtés et jugés rapidement et mis en prison, les Réfugiés étaient désormais a l'abris et allaient pouvoir rentrer chez eux quand on serait sur et certain qu'il n'y avais plus de danger.


_Bon, les gars faut être sur que cette apparente tranquillité ne cache rien de louche! Je veux pas relâcher nos réfugiés et qu'une bombe explose! Soyez sur qu'il n'y a RIEN a craindre! Rappelez-vous que notre mandat expire bientôt!