Le Politicard

Interview d'Hervé Courronnne

Bonjour Monsieur Courronne.

_Bonjours.

Tout d'abord, que pensez-vous de la nomination de Madame Debré à la Lenterne et de la composition du gouvernement ?

_Si je convient que Madame Debré est quelqu'un de Compétant, son Gouvernement est un ramassis d'illustres inconnu, excepté de Mr Weber, et je pense que pour un Gouvernement qui se veut d'attaque, de combat face a une crise diplomatique, militaire et économique sens précédent, ce Gouvernement n'est pas du tout a la hauteur des enjeux. On aurais pu trouver même a Gauche des gens plus compétant face a la situation actuelle a moins que le Gouvernement ne l'ai trop exagéré.

Que pensez-vous du début de mandat de la gauche ?

_Déjà il y a un constat terrible. Eric Franchet n'est pas Président de la République. Il semble qu'il se refuse a incarner la fonction et face a Mme Debré il est clairement reglégué au rang d'Ambassadeur qui coupe les rubans lors des cérémonies et qui pose sur les photos pour la presse. Mais je crois que ce n'est plus lui qui dirige ce pays désormais. Tout le monde le sait, le vote du PTR a l'Assemblée sur l’amendement numéro 1 du MNF sur la Loi Fiscale a précipité Mme Glasuez vers la porte de sorti et a mis Mr Franchet au pied du mur, contraint de s'allier aux centristes qui, il faut le dire, ont réussi une belle OPA comme eux seuls savent les faire! C'est en outre un début de mandat raté, marqué par l'échec de la politique Glasuez/Franchet, aujourd'hui nous sommes clairement face a une politique Debré, et marqué par les affaires avec cette histoire de financement occulte de la campagne de Mr Franchet sur laquelle nous attendons encore des éclaircissements!

Avez-vous digéré votre cuisante défaite au Congrès de votre parti ?

_Le parti....vous savez le parti c'est quelque-chose de plus fermé qu'on ne crois. Je pense, sens vouloir l'insulter, que tant que Jenifer Kold était soutenu par Nathan Boncoeur elle était obligée de gagner. Sens parler de l'influence de son père Mr Kold! Mais je ne suis pas défaitiste. J'ai un projet que je Présenterais lors de la Primaire commune a Droite que j'aimerais réussir a faire accepter a mes amis.

Qu'avez-vous pensez des Universités de l'UD-IV, rassemblant la droite ?

_C'est une bonne chose oui. Il fallait montrer au Militants et aux Francovars que nous étions capable de nous relever après plusieurs grosses défaites et que nous étions capable de travailler ensembles plus ou moins pour relever le parti. Cette université d'été aura aussi été l'occasion d'être clair une fois pour toute avec Mme Debré et ces amis de la FdC quant a nos relations.

Vous êtes donc pour une primaire commune à droite ?

_Oui, je souhaite qu'il n'y ai qu'un seul candidat de la Droite et qu'il soit désigner par un processus démocratique. C'est aux militants et aux adhérents de choisir le candidat et non pas a un bureau de baron politique sur un coin de table. Et je souhaite que cette primaire concerne autant l'UD-IV que le MNF.

Qui peut selon vous, rassembler la droite ?

_Moi! (rire) Mais aussi Antoine Carpentier, Jenifer Kold et Nathan Boncoeur, nous avons tous des qualités et c'est pour égaliser nos chances que je veux établir une primaire si on accepte de m'écouter. mais je sais que je vais avoir du mal. Dans ma famille politique c'est la culture du chef qui prime et le Chef naturel de la Droite, en tout cas de l'UD-IV, beaucoup l'ont déjà choisis. Ce que j'espère c'est qu'on ne partira pas dans une absurde guerre de chef.

Sondages :

Question 1 :Pour vous, qui incarne le mieux l'opposition à Eric Franchet ?

1er - Antoine de Carpentier (MNF) : 38%


2e - Nathan Boncoeur (UD-IV) : 23%


3e - Jennifer Kold (UD-IV) : 17%

4e - Rose Ambert (MNF) : 9%
5e - Hervé Courronne (UD-IV) : 7%
6e - Bernard Montoie (POF) : 6%

Sondages

Question 2 : Qui est le mieux placé à droite pour battre la gauche en Septembre ?

1er - Antoine de Carpentier (MNF) : 39%


2e - Nathan Boncoeur (UD-IV) : 28%


3e - Nicolas Vasseur (MNF) : 13%

4e - Jennifer Kold (UD-IV) : 7%
5e - Vincent Lacombe (MNF) : 6%
6e - Hervé Courronne (UD-IV) : 5%
7e - Robert Auberly (UD-IV) : 2%

Interview d'Antoine de Carpentier, Président du MNF

Bonjour Monsieur de Carpentier. Merci d'avoir accepté notre invitation.

Merci à vous.

Tout d'abord, que pensez-vous du bilan de la gauche, à presque un mois de son arrivée au pouvoir ?

Quel bilan ? La gauche n'a aucun bilan mise à part l'amateurisme, le manque de courage, le manque de décision. Le Président Franchet est un fantôme, complétement absent et enfermé aux Louvrières. Tout le monde voit bien que c'est le centre qui gouverne, pas la gauche. Le Président est qu'en même très fort ! Il a une majorité de gauche, et a trouvé le moyen d'être en quasi-cohabitation ! Chapeau !
Il n'y a pas de cap, pas de ligne. Le Président Franchet exerce une présidence molle sans relief.

Êtes-vous confiant pour ces élections municipales ?

Oui, je pense que les francovars voudront manifester leur mécontentement contre la gauche. C'est la première fois qu'ils sont appellés aux urnes depuis l'arrivée de la gauche. Ils ne manqueront pas de dire ce qu'ils pensent de la présidence Franchet, si ce n'est pas la présidence Debré.
Nos candidats sortants ont fait du bon travail, comme Charles de Mont-Robert, ou Michèle Massonna, et d'autres sont ambitieux et veulent agir, comme Vincent Walker.

Que pensez-vous de l'absence de la gauche ?

C'est incroyable ! La gauche, est au pouvoir depuis presque un mois, et elle n'a que deux candidats aux municipales ! Seulement deux ! Le parti présidentiel n'envoi que deux candidat, le MLG, n'a tout simplement pas eu l'envie d'envoyer de candidats ! La gauche sait qu'elle est tellement rejetée dans l'opinion, qu'elle a peur du suffrages des francovars. Ou alors, c'est qu'ils sont dans une profonde atonie.

La gauche est-elle morte ?

La gauche est à l'heure actuelle, à deux doigts de mourir. Quand on vois, un Président qui a renoncé à agir et à gouverner, qui n'imprise pas de cap, pas de direction pour le pays, quand on voit un gouvernement qui ne repose que sur les centristes, quand on voit la gauche absente du parlement, car le MLG est tout simplement absent du Parlement, et on pourrait même dire de la vie politique, oui on peut dire que la gauche est en phase terminale si vous me permettez.

Cela vous arrange non ?

Sur le plan purement politicien, c'est bien evidemment plus simple de ne pas avoir de candidat de gauche contre nous comme à Rémipolis ou Fux ! Mais je trouve ça grave pour la République et notre Démocratie. Il y a une part, non négligeable, de francovars qui se reconnaissent dans les idées de la gauche. Et aujourd'hui, ces francovars sont lâchés, abandonnés par leur responsables politique. Aujourd'hui, il n'y a plus de clivage droite-gauche dans la vie politique, puisqu'il n'y a plus de gauche.

Que pensez-vous de la candidature de Raymond Pointacle à Almara, soutenu par 4 grands noms de la République ?

Raymond Pointacle est quelqu'un de qualité, d'expérience. C'est un homme indépendant et libre, qui a parfaitement le droit d'avoir l'ambition de devenir Sénateur-Maire.

Vous le soutenez ? Beaucoup aux MNF grondent contre l'alliance avec l'UD-IV.

Ecoutez, le MNF a prit un engagement. Celui de soutenir les candidats de l'UD-IV aux municipales, et réciproquement. Nous avons un honneur et une seule parole, nous tiendrons notre engagement. Nous ne sommes pas des traîtres. Maintenant, j'entends les différentes critique sur cette aliance, qui se font de plus en plus nombreuse au sein du parti. J'en prend acte, et j'agirai avec le Conseil National en temps voulu, pour prendre la bonne décision.
Mais pour ces élections, nous respectons notre parole.

Comptez-vous vous investir dans ces municipales ?

Mon engagement n'est pas de circonstance. Je suis en permanence engagé, pour défendre une certaines idée de la Francovie, pour défendre nos valeurs et convictions.

Je vous remercie, Monsieur de Carpentier.

Le Krassland impose sa loi !

De vives tensions diplomatiques secouent les relations franco-krasslandaises. Le gouvernement francovar a décidé de rompre la règle du taux de change égal, pour revenir à un système plus profitable à la Francovie, comme lui autorise le traité approuvé par référéndum, sous la Présidence Vinago.

Mais, le Krassland ne compte pas se laisser faire, et souhaite imposer sa loi, au mépris de toute discutions, de toute concertation.
Pour preuve, cette déclaration de l'ambassadrice krasslandaise à Prya.

- Le Krassland et la Francovie semblent avoir kelkes divergences sur la kestion des taux de change. Nous au Krassland nous préférons avoir une partité entre les monnaies konditionnée par le respekt d'une limitation de la masse monétaire, limite aktuellement fixée à 2 millions. C'est beaukoup plus simple a l'usage et ça nous évite de devoir rekalkuler les taux de change a chake fois ke l'un des pays modifie sa masse monétaire tant ke ça ne dépasse pas la limite.

Depuis peu, toutefois la Francovie s'estimant lésée - je ne sais trop pourkoi - par le système aktuel - voudrait revenir a des taux de change fluktuant kalkulés selon le rapport entre les masses monétaires des deux pays. Au lieu du 1 kontre 1 aktuel ils ont fait une demande pour modifier le taux de change sur un rapport 1 G$ = 0,810 R$ et 1 R$ = 1,235 G$.

Je pense ke les Francovars ont une krainte irrationelle et exagérée de se faire dévorer tous krus par les entreprises krasslandaises. Mais en réalité les kelkes entreprises krasslandaises ki ont tenté d'investir en Francovie ont rapidement jetté l'éponge, rebutées par une législation frankovare komplexe et très tatillone. Par kontre les entreprises francovares sont de plus en plus nombreuses a venir investir au Krassland, où la législation ékonomike est beaukoup moins kontraignante et les retours sur investissement plus intéressants. Au Krassland on akkeuille volontiers les investisseurs étrangers et on ne les perçois pas komme des envahisseurs menaçants.

La Francovie ne doit pas accepter de se voir dicter sa conduite par une puissance étrangère, qui gère sa politique comme elle le souhaite, mais qui ne doit pas imposer ses décisions à ses alliés.

Interview Exclusive
Raphaël Vinago
Ancien Président de la République

"J’exhorte le Président de la République à prendre ses responsabilités"
"L'urgence, ce n'est pas la politique, c'est de redresser la Nation"
"Mon engagement pour la Francovie n'est pas de circonstance"

Bonjour, Monsieur le Président. Merci de nous accorder l'honneur de cette interview.

Merci à vous.

Cela fait bientôt deux mois que vous avez quitté les Louvrières, avez-vous digéré votre départ ?

Oui, bien sûr. C'est moi qui ait prit la décision de ne pas me représenter. Je ne m'estimais pas en mesure de pouvoir gouverner trois nouveaux mois. Et je souhaitais qu'un nouvelle génération prenne place. Mais, je commence à regretter ma décision, lorsque j'observe la situation du pays, deux mois après mon départ.

Que pensez-vous des bientôt deux premiers mois du Président Franchet ?

Je vous avoue que je portai beaucoup d'espoir en Eric Franchet. Mais, je suis terriblement déçu. Il y a aujourd'hui dans notre pays, un affaiblissement de la Présidence de la République. Un Président faible, ce n'est pas ce que j'ai voulut lorsque j'ai rédigé la Constitution de la IVe République. Il est grand temps que le Président soit en première ligne et montre un cap pour le pays.

Vous aussi, vous avez eu l'impression que le pouvoir était à la Lenterne ?

Depuis Juin, le pouvoir a été délocalisé à la Lenterne. Enfin, depuis la nomination de Madame Debré, je préfère ne pas parler de Madame Glasuez, qui fut la première grosse erreur du Président. Il faut ajourd'hui que les Louvrières retrouve son pouvoir.

Le Pays traverse une période difficile, le Premier Ministre s'est mit en retrait pour des raisons personelles, Raymond Pointacle est pressenti pour diriger un gouvernement d'union nationale. Quel est votre sentiment ?

Tout d'abord, je soutiens Madame Debré dans les épreuves personnelles qu'elle traverse.
Notre pays aujourd'hui retombe dans ses travers de l'atonie, dont nous avions réussi à le sortir en Mars. Il faut aujourd'hui agir et vite. J'annonce que je soutiens officiellement Raymond Pointacle pour le poste de Premier Ministre. J'exorte le Président de la République à prendre ses responsabilité. Il est le Chef de l'Etat, il doit veiller à la stabilité de l'Etat et des institutions. Il doit aujourd'hui agir, opéré à un rassemblement national. Je suis très inquiet, mais j'ai l'espoir que si le Président fait le choix de choisir Monsieur Pointacle, les choses iront mieux.

Êtes-vous définitivement en retrait de la vie politique ?

Vous savez, j'aime passionnément mon pays, et les francovars. Jusqu'à la fin de ma vie, je serai prêt à agir pour lui. Mais, si votre question est sur un éventuel retour, sachez que cette question intéresse bien peu. L'urgence, ce n'est pas la politique, c'est de redresser Nation. Et mon engagement pour la Francovie n'est pas de circonstance.

Merci, Monsieur le Président.

Antoine de Carpentier, le Président du parti. Il est en position de force au sein du parti, il est le candidat le plus probable du MNF pour la présidentielle. Encore aujourd'hui, il est considéré comme le premier opposant à la gauche, et il est fort de ses 29% de la présidentielle de Juin face à deux alliances, et de ses 22 sièges à l'Assemblée Nationale en tant que tête de liste.

Vincent Lacombe, et pourquoi pas une candidature de l'ancien Premier Ministre ? Vincent Lacombe est un ténor du MNF, il fut ministre sous la présidence Kikojiro, et il fut le Premier Ministre de la monarchie qui permit, on ne le dit pas assez, le retour de la République. Sa candidature est tout à fait possible.

Nicolas Mandragore, le Président de l'Assemblée Nationale, pourrait lui aussi être candidat. Figure d'autorité et d'expérience au sein du parti et sur la scène politique, il est populaire chez les parlementaires. Il pourrait se poser en grand rassembleur. Hypothèse moins probable, mais à ne pas écarter.

Nicolas Vasseur, une candidature du Ministre de l'Economie et des Finances, et ancien Premier Ministre et Président de la République intérimaire, est loin d'être une idée farfelue. Alliant jeunesse et expérience, Nicolas Vasseur pourrait incarner ce vent de renouveau dont à besoin le pays, et créer une dynamique en sa faveur.

Primaires MNF : Rose Ambert se déclare

C'est confirmé, aujourd'hui depuis les bureau de l'intéressée, Rose Ambert est candidate aux primaires du MNF en vue de la présidentielle de Septembre.
Rose Ambert, députée, elle fut candidate par deux fois à la présidence du parti, recueillant respectivement 17,33% des 18,16% des suffrages militants.

Elle représente le courtant nommé "Patriotisme fort", c'est à dire l'aile droite, l'aile dure du parti. Elle fait peur même dans son propre parti. Elle a des soutiens notamment Charles de Mont-Robert, Albert Dumonfort, ou Michelle Massonna.

Questionnée sur les raisons de sa candidatures, elle s'explique :

"Il est en grand temps que nous retrouvions un cap clair à la tête de l'Etat, nous devons muscler notre discours. Nous n'avons pas le droit à l'erreur, face au retour du merksisme du PPF, ce parti du passé, qui est à côté de la plaque, j'estime être la solution."

Primaires MNF : Vincent Lacombe candidat !

Il l'a annoncé ce matin, l'ancien Premier Ministre, Vincent Lacombe, est candidat aux primaires du MNF.
Vincent Lacombe a été ministre de l'Intérieur et de la Justice, sous le gouvernement Vasseur, lors de la présidence de Pierre Kikojiro, en Septembre et Octobre 2013.

Puis, en Février 2014, il remporta les élections législatives avec presque 40% des suffrages, devenant ainsi, le dernier Premier Ministre de la Monarchie.
Il décida de réunir la Commission, qu'il confia à Raphaël Vinago, afin de restaurer la République.

Vincent Lacombe, faisait parti jusque là des soutiens, timides, d'Antoine de Carpentier. Avec Lacombe candidat, De Carpentier irat-il aussi ?

Questioné sur sa candidature, l'ancien ministre répond :

"J'estime être en possibilité d'apporter un cap au pays, des solutions, et de le rassembler. Je ne pense pas que l'on doit se battre comme des animaux pour des élections, mais plutôt, exposer sereinement nos propositions pour le pays. Et je pense être capable de rassembler la Francovie, autour d'un projet, de valeurs."

Primaires MNF : Etienne Hennebeau de retour dans le jeu !

Il est de retour, Etienne Hennebeau, l'ancien Président du MNF, a présenter sa candidatures pour les primaires. Après s'être fait évincé de la tête du parti par une alliance Vinago-De Carpentier, le député MNF souhaite revenir en force.

Etienne Hennebeau est leader du courant libéral-conservateur du parti, dénonçant les dérives "gauchistes", sur les domaines économiques du partis.

Il est notamment soutenu par les libéraux historiques du parti : Christophe Demarchet, Alain Tissot, Vincent Walker, Geneviève Underwood, ou encore Alexis Benito, qui fit un score de presque 30% lors du dernier Congrès du MNF.

A nouveau, nous l'avons intérrogé sur sa candidature :

"On m'a injustement mit de côté, j'avais avec toute l'équipe, très bien lancé le parti, notamment lors des régionales de Mai, ou nous avions réussi le tour de force de résister face à l'alliance du centre-droit. Et, je pense que j'aurai été en mesure d'être au second tour de la présidentielle de Juin. Mais, je n'ai pas baissé la tête, et après des mois de réflexion, j'ai décidé d'assumer mon ambition pour la francovie, en me présentant face aux francovars"