Hall d'entrée

Un des responsables de l'acceuil vint à la rencontre de Monsieur Marinnelli.

Bienvenue, Monsieur Marinelli. Vous désirez une chambre pour plusieurs jours, c'est cela? Oui... Nous pouvons, si vous le désirez, vous louer une suite qui vous sera confortable pour un long séjour si vous le désirez.


EL/ Normalement, il existe. Je vais créer le produit EM selon le besoin EL

Un homme entra, il approcha Alphonso Marinelli....


_Bonjours cher ami, je suis Monsieur Kold, le PDG de Kold.Industrie. J'ai appris que vous étiez en Francovie pour affaire, pour monter une usine c'est cela?

Alphonso ne s'attendait pas à avoir un visite. *

- Les nouvelles vont vites je vois, oui c'est Exact, M. Kold, je suis là suite au traité de marché commun entre nos deux pays. Je désire faire construire une usine de production de véhicules, voitures précisément. Peut-être pourrez vous me dire qui je dois contacter ?

Kold:

Il faut vous adresser a la BCF, la Banque Centrale Francovare qui gère la création de nouvelles entreprises! (EL:joueur Rose-Marie Debré)

C'est une excellente idée cette usine de production de véhicules, nous n'en avons plus depuis la fermeture de DeKaulle.Inovation, bien que cette société sera bientôt rachetée.

Kold sourie

Kold:

Vous êtes un homme clairvoyant!

Non en effet si je suis ici c'est que je suis toujours a la recherche de nouvelles alliances économiques. On est toujours plus fort lors qu'on est plusieurs. Surtout qu'on a la compétition dans le sang en Francovie! Quand j'ai vu que vous vouliez créer une entreprise chez nous je me suis dit que ce serait une bonne opportunité de vous aider a vous installer.

Kold

La BCF prete a tout le monde. Je suis sur qu'elle vous aiderais a vous installer, il vous faudrait sens doute demander une entrevue avec le Ministre des Finances.

La délégation pryanne arriva dans le Hall de l'hôtel Concordia. Pressé de prendre une douche et de s'accouder au bar de l'hôtel, c'est Duvalon lui même qui se colla aux formalités administratives.

Arthur Duvalon : - Bonjour...Euh...Arthur Duvalon, Président de Prya et toussa toussa...Il doit y avoir une réservation au nom de "Byrgitt Börggmenkt"...La suite présidentielle pour deux personnes et une autre suite pour deux personnes également...Mmmmmh, c'est pour nous, je descends toujours sous un prête nom. Question de sécurité.

La responsable d’accueil rentra le nom donné dans la base de donnée de l'Hotel

-Vos chambres sont prêtes, Monsieur le Président. Etant donné la situation économique, l'intégralité de vos frais d'hôtel seront pris en compte par le Gouvernement Francovar.

Elle appela des membres du personnels

Le personnel est à votre entière disposition, Monsieur le Président. Si vous voulez bien suivre ces messieurs, qui vont vous prendre vos valises, jusqu'à votre suite.

Duvalon qui s'apprêtait à sortir sa carte internationale Masterbrouzouf la rangea dans sa poche. Le nouveau gouvernement francovare semblait hospitalier. La délégation suivi le troupeau de loufiats qui s'empara des bagages pour les ventiler dans les chambres de leurs propriétaires. Duvalon prit possession de sa suite spacieuse et confortable. De quoi se relaxer après une bonne journée de travail. Le Président pryan prit rapidement une douche et, vêtu de son éternel costume sombre, se rendit au bar de l'hôtel pour écluser quelques godets avant de se rendre au sommet économique.

Duvalon, de retour de l'Académie francovar avec son prix sous le bras, stoppa l'Oren Agile devant l'hôtel Micropolia. Il entra dans l'hôtel et récupéra les clés de la chambre qu'il y avait réservé. Avant de monter dans sa chambre, il s'arrêta au bar de l'hôtel pour boire un verre de Kognak et fut étonné par la forte présence Armaréènne.

Une femme entra dans le Hall d'entrée. Un laquais lui prit ses bagages et un autre lui demanda combien de temps elle souhaitait rester.


La femme:

Je resterais assez longtemps, très cher. J'ai quelques affaires à régler à Micropolia et je n'ai nul part où loger. Je vais donc vous prendre votre meilleure suite et vous prendre un repas pour ce soir.

Oui, il est 22h passé. Je le sait! Mais j'ai fait un long voyage depuis un endroit dont vous n'auriez même pas l'intelligence de l'imaginer.


Le laquais lui demanda son nom

Jullanis d'Auteuil. Aliénor de Jullanis d'Auteuil.


Le laquais inscriva son nom dans les archives. Derrière le comptoir, un autre entendit ce nom et leva les yeux vers la vieille femme. De sang comtadin, il avait entendu, il y a longtemps, l'histoire de cette famille. Il alla discrètement chercher un téléphone pendant qu'on accompagnait la voyageuse vers la salle de restaurant.

La vieille femme quitta son hôtel.


Aliénor de Jullanis d'Auteuil:

Je vous remercie mais mon Hubert a trouvé un logement. Je vous réglerais donc un repas et une chambre.

Hubert, mon cher, est-ce que le rachat d'Ecolia a été validé?

L'hubert confirma l'achat et dit à la dame que la demeure Caterin au Comtat lui était ouverte.

Très bien, préparez la voiture alors.

Jake et Dean sortirent du taxi qui les avaient conduits à l'Hôtel Concordia. Il s'avança vers l'accueil et dit à la hôtesse de réception alors que Dean s'appuya sur le mur.

- Bonjour. Nous arrivons d'Armara. Je viens d'obtenir la double nationalité francovare. Je n'ai pas encore de compte mais je vais me rendre à la Banque Centrale. Mon ami est fatigué, je voulais savoir si vous aviez la possibilité de nous accorder deux chambres, si possibles mitoyennes...

Il s'arrêta un court instant et se dit qu'avoir sa chambre juste à côté de celle d'Horton n'était pas une bonne idée... surtout s'il reprenait contact avec Natacha... Il rectifia :

- Enfin l'un en face de l'autre, plutôt. Pour le paiement, je dois convertir mes amaryls... ça vous ennuie si je vous règle demain ? Notre séjour serait de quatre jours. A combien cela nous reviendrait ?

Le Laquais:

Mais nous acceptons les Amaryls. Pour 4 jours, à deux? cela vous fera donc 8 fois l'offre "Chambre Royale" soit un total de 3.600 Am£

- Très bien.

Il sorte sa carte bancaire et régla l'addition.

- Merci.

Il laissa l'individu prendre les bagages et ils montèrent dans l'ascenseur. Horton resta silencieux. Il regarda le laquais avec cet air froid qui ne l'avait jamais quitté, il l'analysait. Jake lui donna un coup de coude et il posa ses yeux sur le panneau. Il dit alors :

- Une chambre aurait suffi.

- Deux ce sera mieux, tu auras plus d'espace et...

- Et tu pourras enchaîner les femmes. Je suis amnésique, pas stupide. J'ai parfaitement cerné ton manège. Ce n'est pas moral. Et c'est cher. 3600 Am£, à croire que l'on paie les dorures.

Jake se sentit gêné, il s'adressa au laquais :

- Je vous prie de l'excuser, il n'est pas en grande forme...

Horton ne répondit pas. Il tapota sur sa canne, signe qu'il s'impatientait.

Spoiler:

Le douanier avait raccompagné Gian à l'Hotel :

Bon ... bah voila. Allez bonne nuit.

Il allait partir mais il se retourna et parla un peu avec Gian.

Heu ça va aller ? Ecoutez si vous avez besoin de renseignement sur votre epouse vous pouvez en demander à madame Bregen, le préfet de Micropolia elle pourra vous aider.

Gian était épuisé et préférait oublier cette triste nouvelle

Oui ça devrait aller, pour cette nuit tout du moins, merci pour tout, je ne manquerais pas de questionner madame Bregen.

Bonne fin de soirée

Gian se coucha, le sommeil léger mais le cœur lourd