Bureau Présidentiel

Effectivement cela à été compliqué pour la présidence liberienne qui ne veux que la paix. Nous aimerions connaitre votre position sur l'URO, Monsieur le président?

Archimède Parmentier :

Nous sommes ouvert à l'URO dans le sens où c'est une nation , enfin une organisation de deux nations plus précisément , souveraine et qu'il faut respecter.
Malgré tout , les coutumes de ce pays ne sont ... comment dire ... pas très favorable à la paix et cela c'est assez dérangeant.

Pour l'instant nous ne voulons donc pas avoir de traité de reconnaissance mutuelle avec eux mais ce n'est pas pour autant que nous voulons les ignorer à l'ONA bien au contraire.
En cas de dérapage , nous n'hesiterons pas à voter des sanctions contre eux , j'ai vu que vous aviez rompu , enfin suspendu les relations militaires avec eux , c'est vrai que c'est une bonne nouvelle.

Et bien contrairement à d'autre institution, la présidence de la république avait réellement crue à une amitié liberio-orionnaise. Enfin... rien n'est perdue non plus.

Enfin, je ne vais pas vous importuner plus longtemps Monsieur le président.
Puis'je rester en Francovie en attendant la signature, ou non du traité? .

Bien entendu vous êtes mon invité .

De plus ce n'est qu'une question de temps avant que le traité soit ratifié.

Merci de m'avoir accordé un peu de votre temps Monsieur le président.

Le Président était disponible pour rencontrer Monsieur Mandragore.

Nicolas Mandragore:


_Monsieur le Président je souhaiterais ce soir pouvoir organiser une session extraordinaire au Parlement pour faire passer rapidement la Loi relative a l'interdiction de la diffusion d'idées anticonstitutionnelle sur laquelle nous travaillons avec le Ministre de l'Intérieur. Elle devrait être prête ce soir et je voudrais essayer de la faire passer avant que les Jallanistes n'aient un candidat a la Présidentielle.

Comme vous le savez, les longueurs de la Cours Suprême nous ont déjà fait perdre beaucoup de temps.

Archimède Parmentier :

Malheureusement meme avec le système de l'ordonnance il sera trop tard , l'election aura déja commencé ...
Je crois que l'on va devoir supporter les jallanistes une fois de plus mais proposez votre loi quand meme , est-ce qu'elle est une loi normale ou c'est une loi constitutionnelle ?

Mandragore:




_Une loi normale en complement de celle sur le droit d'expression. Puisqu'on ne la passera pas en urgence nous la presenterons au conseil des ministres des demain.

Archimède Parmentier :

Très bien au moins nous n'aurons plus ce sale problème pour les prochaines elections.

Mandragore n'allait pas bien. Lui ainsi que plusieurs de ces Ministres n'allaient pas bien, il fallait agir.




_Monsieur le Président, je voudrait commencer par vous remercier de la confiance que vous m'avez témoigné en me nomment. J'était prêt a travailler avec vous a relever notre pays, j'y aurais engagé toutes mes forces. Mais justement les forces ne manquant. Je suis moi, ainsi que plusieurs des Ministres RCI, atteint de flemmingite. Beaucoup de temps a déjà été perdu et je n'ai pas d'espoir immédiat de guérison. 

C'est pourquoi Monsieur le Président je vous remet ma démission ainsi que celle de mon Gouvernement. Il n'y a plus de temps a perdre, nommez un nouveau Premier Ministre qui sera en etat d'assurer sa charge, ce qui n'est hélàs plus mon cas.


Le cas de Jenifer Kold est a part, elle viendra elle-même vous donner les raisons de son départ.

Encore une fois sachez que je ne part pas de bon coeur, mais ma santé ne me permet vraiment plus d'assummer plainement mon devoir.

Parmentier était au courant de cette nouvelle crise de flémingite , elle esperait qu'elle n'était pas grave.
Il salua son premier ministre avec qui il avait appréciait de travailler.

Je vous demanderais de ne pas l'annoncer publiquement , je souhaite le faire moi meme ce soir , vous m'accorderez ce privilège ?

Il lui serra la main longuement. 

_Bien sur.

Je regrette de ne pouvoir pas poursuivre ma tâche...

Tout ce que je souhaite c'est que vous puissez etre de retour le plus rapidement possible (mais après Juin si possible pensa le Président).
Je vous souhaite du bon repos et de profiter de votre famille.

Il raccompagna le Premier ministre dans les couloirs mais pas jusqu'au perron , il voulait éviter que les journalistes puissent comprendre que Mandragore venait de quitter la Lenterne. 

Michel Zalseck avait rejoint en précipation le bureau présidentiel.
Il lui raconta tout.
Parmentier était abasourdi :

Mais enfin c'est n'importe quoi , Bogendorfer ? Vraiment ?
C'est absurde.

Il reflechit.

 ... Mais cela expliquerait bien des choses.
Bon ecoute , je vais mettre en place une cellule de crise spécial , Bogendorfer ne doit pas etre au courant.
Je vais de ce pas au QG des armées , la discretion doit etre totale , les journalistes ne doivent pas s'en rendre compte , on déclenche donc le protocole militaire.

Le Président accompagné de soldat du Groupe d'Elite de Gendarmerie (GEG) se dirigea vers le QG.
Zalseck voulait suivre le Président mais un garde républicain lui signala la présence d'un certain "Achille Yironimüs" qui voulait voir le Président et parlait de génocide.


Garde : ça doit etre un journaliste monsieur ...

Ce n'était pas la première fois qu'un lubrique voulait voir le Président mais cette fois-ci le secretaire général ne croyait pas en une coïncidence ...


Zalseck : Non non faites le entrer dans mon bureau.


Garde : Ah ... bien d'accord monsieur.


Le Garde Républicain laissa un Hubert accompagner l'invité vers le bureau du secretaire général des Louvrières.