Re: Bureau Présidentiel

**Edouard Maréchal** Dim 4 Mai - 16:26

Le Gouverneur de la Banque Centrale, Hubert du Prat, est demandé aux Louvrières.

**Jonas d'Agrolia** Jeu 8 Mai - 10:02

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Hubert de Prat est arrivé.

**Edouard Maréchal** Jeu 8 Mai - 14:03

Raphaël Vinago :

Monsieur le Gouverneur, asseyez-vous.

Je dois vous parler de plusieurs choses. Tout d'abord, où en êtes-vous avec le Krassland sur la monnaie pour les échanges commerciaux ? Ont-ils remboursé les 50,000 ?

**Jonas d'Agrolia** Jeu 8 Mai - 15:41

Hubert de Prat s'irrita à cette question

Hubert de Prat

Monsieur le Président de la République, j'ai le regret que je n'ai aucune réaction ni réponse de la part du Krassland et d'Egon Schweinwald.

**Edouard Maréchal** Jeu 8 Mai - 15:44

Raphaël Vinago :

Humm, le nouvel ambassadeur au Krassland sera chargé d'aller le voir directement. Tenez moi tout de même au courant.

Sinon, j'ai lu avec attention votre tribune dans le journal Francovie Aujourd'hui. Et j'ai été très intéressé par votre proposition de créer une Organisation régissant le commerce entre les Etats. Ce serait une excellente idée que de se lancer dans ce chantier.
Pouvez-vous me préciser comment vous voyez cette Organisation ?

**Jonas d'Agrolia** Jeu 8 Mai - 15:54

Hubert de Prat:

Ce serais une Organisation entre Etat qui aurais deux but:

-Un but de réglementation avec la mise en place de législations micromondiales.
-Un but de gestion des conflits et différents économiques.

Elle serait gérée par un Secrétaire Général élu tous les 3 ou 6 mois par l'ensemble des pays membres. Les motions seraient votées à l'unanimité hormis dans la gestion des conflits économiques où ce serait une majorité qualifiée.

**Edouard Maréchal** Jeu 8 Mai - 15:56

Raphaël Vinago :

C'est un excellent projet, où la Francovie doit être à l'initiative. J'envisage d'en parler aux Etats d'Armara, de Prya, et du Krassland, membre d'Eco-Micro.

**Jonas d'Agrolia** Jeu 8 Mai - 15:57

Hubert de Prat:

Nous pourrions proposer aussi de remplacer par cette institution l'agence dédiée de la LEM puisque cette organisation semble plus ou moins morte.

**Edouard Maréchal** Jeu 8 Mai - 15:59

Raphaël Vinago :

Oui, c'est vrai que la LEM semble morte.

**Edouard Maréchal** Dim 11 Mai - 17:18

"Tu t'attendais à autre chose ? Moi non." Lacha le Président à un proche.

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 21:31

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Huissier:

Charles de Saint-Auteuil, PDG de la SCBM Génération, sollicite une entrevue auprès du Président de la République.

**Paul Mezzanines** Mar 3 Juin - 21:39

Eric Franchet : Faites-le entrer.

Charles de Saint-Auteuil fut introduit directement dans le bureau présidentiel.

Eric Franchet : Monsieur de Saint-Auteuil, bonjour. Je ne m'attendais pas à votre visite, quel en est l'objet?

En vérité, Franchet savait bien que le patronat et la finance aimaient rencontrer le chef de l'État pour le féliciter...

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 21:46

Charles De Saint-Auteuil:

Au nom des entrepreneurs francovars, je vous présente officiellement nos félicitations pour votre élection. L'élection d'un homme de votre engagement est un signal fort envoyé aux francovars et à tous les acteurs de l'économie. Nous espérons pouvoir travailler avec vous dans la continuité de la prospérité que connaît notre pays.

**Paul Mezzanines** Mar 3 Juin - 21:49

Eric Franchet :

Merci à vous. Il serait dommage de ne pas continuer sur notre lancée. Néanmoins, je souhaite quelque peu modifier la politique économique définie par la droite.

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 21:54

Charles de Saint-Auteuil:

Des réformes économiques? Cela est toujours nécéssaire et utile. Nous ne serions pas opposé à une hausse du SMIF mais nous souhaiterions savoir quelles sont vos pistes de travail. Histoire d'étudier avec vous les réformes que nous pouvons, ensemble, apporter.

**Paul Mezzanines** Mar 3 Juin - 22:02

Eric Franchet :

Une hausse du SMIC n'est pas envisagée pour l'instant. Une réforme du code économique, par contre, est envisagée, notamment en ce qui concerne la bourse. L'État perd de son influence dans l'économie. Je veux protéger les secteurs clés. Vous n'êtes pas sans savoir que Delta a été définitivement perdue par l'État, et avec cette entreprise, le secteur de l'armement, puisque vous êtes le PDG de la SCBM.

Eric Franchet s'efforçait de rester neutre, mais tout le monde pouvait comprendre que cette perte, survenue à quelques jours de son arrivée à la présidence, ne l'enchantait guère.

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 22:15

Le PDG de la SCBM vit là ses doutes se confirmer.

Charles de Saint-Auteuil:

Vous allez dire que je prêche pour ma paroisse mais je ne vois pas la nécéssité de supprimer la bourse. L'Etat dispose des outils nécéssaires pour influer sur l'économie avec son droit de véto même dans les entreprises où il est minoritaire. Concernant l'armement, vous disposez de pouvoirs importants: La commande publique mais aussi la RGST de Brigitte Bregen qui vous donne droit de véto en matière d'armement.

Dans le même temps, le pôle énergie de l'Etat est largement sauvegardé.

A ce propos, sur la RGST, j'aimerais vous demander une autorisation à propos de Delta.

Le PDG souria. Il savait qu'avec ce qu'il avait à lui annoncer, toute reprise de participation de Delta par l'Etat serais impossible.

**Paul Mezzanines** Mar 3 Juin - 22:30

Eric Franchet :

Je ne veux pas supprimer la Bourse. On doit laisser une certaine liberté, mais je souhaite que les secteurs importants soient protégés de tout investissement. L'État a déjà trop perdu, et les "outils" dont il dispose n'ont pas pu empêcher cela.

Concernant Delta, je vous écoute...

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 22:34

Charles de Saint-Auteuil:

Ce n'est pas tant les outils le problème mais le fait que le précédent gouvernement ne les a pas utilisés.

Concernant Delta, j'ai passé un contrat d'association micromondial, une première, avec les Chantiers de Krasserhaven au Krassland afin de faciliter nos ventes au Krassland et les leurs ici.

Delta fait de l'aviation quand les CNK font des navires. Je pense que vous comprenez l'intérêt stratégique de la chose. Toutefois, pour signer cet accord, il me faut l'autorisation du Président de la République concernant les accords commerciaux sur les armements, comme m'y oblige la RGST. Personnellement, je n'ai pas envie de finir comme Caterin mais de servir au mieux l'économie de notre pays.

**Paul Mezzanines** Mar 3 Juin - 22:37

Eric Franchet :

Le dossier sera examiné, monsieur de Saint-Auteuil. L'accord peut être intéressant, car je compte investir dans la marine.

**Jonas d'Agrolia** Mar 3 Juin - 22:40

Charles de Saint-Auteuil:

Je vous remercie. J'espère avoir une réponse assez promptement. Nous avons une chance inouïe d'exporter au Krassland, à moindre frais, et d'avoir accès à un marché de navires tout en payant les impôts ici, en Francovie.

Nous ne devrions pas paraître trop hésitant avec le Krassland.

Bon, je suis heureux de cette entrevue et vous en remercie, Monsieur le Président.

**Jonas d'Agrolia** Jeu 5 Juin - 23:44

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L'Ambassadeur au Krassland arriva d'urgence au Palais.

François Bogendorfer:

Je doit rencontrer le Président au plus vite. C'est une alerte diplomatique de priorité absolue.

**Edouard Maréchal** Ven 6 Juin - 0:00

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L'ambassadeur en Armara, Nicolas Vasseur, est également arrivé pour lui aussi rencontrer le Président Franchet, pour les même raisons que Bogendorfer.

**Paul Mezzanines** Ven 6 Juin - 7:29

Eric Franchet reçut les deux hommes dans son bureau.

Eric Franchet :

Messieurs, ravi de vous voir, même si les circonstances semblent beaucoup moins joyeuses. Je vous écoute.

**Jonas d'Agrolia** Ven 6 Juin - 10:32

François Bogendorfer:

Nous venons vous informer d'une crise diplomatique majeure entre nos deux alliés, le Krassland et Armara. Armara accuse le Krassland de violation de son espace de souveraineté et d'être illégitime dans le jugement d'un terroriste de nationalité Armaréène.

L'Empereur d'Armara a d'ailleurs lancé un ultimatum:

A l'attention des autorités du Krassland.

Des sources fiables m'ont indiqué qu'après la violation de territoire que vous aviez perpétré envers mon pays, votre avion avait embarqué à son bord le chef de l'escouade qui détenait le Président Arthur Duvalon.

Attendu que notre souveraineté a été violée,
Attendu que le sus-nommé Kellington est considéré comme un terroriste par les autorités armaréennes et comme un citoyen armaréen,
Attendu que nos services de renseignements sont en mesure de prouver que vous avez effectué à nos ennemis une proposition d'asile politique,
Attendu que je ne tolère aucun ingérence dans les affaires de mon pays de la part de nations étrangères et plus particulièrement de la vôte,

Je porte à votre connaissance cet ultimatum, le deuxième en moins de 24 heures, à mon plus profond regret : si le terroriste Kellington n'est pas livré aux autorités armaréennes sous une semaine, Armara viendra le chercher elle-même sur les terres krasslandaises pour le juger.

La préservation de la paix sur le Continent Nord vous appartient. Si les conditions du présent ultimatum sont respectées, Armara s'engage à ne pas initier de conflit armé avec le Krassland, même si au regard de votre entente avec l'ennemi, celle-ci serait amplement justifiée.

J'attends votre réponse, que j'espère, pour vous, favorable.

Dean K. Horton,
Empereur d'Armara

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