Bureau du Ministre

André Caterin:

Oui, mais il faut savoir que nous devrons mettre des milliers de R$ dans trois constructions majeures d'engins. On va avoir beaucoup de dépense.


Je vous propose donc...

Il fait une pause

D'entrer au capital de Delta. Bon, je sais que ça peut vous surprendre vu les "disputes" à son sujet où Robert de Saint-Auteuil a quasiment fait forcing pour prendre Delta. Mais il fallait le comprendre... C'est lui qui a fait de Delta une industrie puissante, il ne voulait pas que son oeuvre lui soit retiré.

Mais aujourd'hui, les choses ont changées. Delta vous propose d'acheter des actions auprès de la SCBM qui reversera intégralement l'argent à Delta. Vous serez rapidement remboursé avec les impôts et les dividendes.

C'est un investissement intéressant que je propose à l'Etat, très rentable.

Jean-François Maillard :

C'est une proposition intéressante. Mais, nous achèterons les actions uniquement au prix de la bourse, à savoir 56R$ l'action.

Combien d'actions proposez-vous à l'Etat ?

André Caterin:

200 actions pour 11.200 R$. Et nous espérons un soutien de la part de la diplomatie francovare en Armara...

Jean-François Maillard :

Très bien. Le gouvernement va demander à l'Assemblée Nationale l'autorisation. Une fois accordée, nous pourrons procéder à l'achat.

Philippe Bertaud : M. Maillard, je lis la surprise sur votre visage ! Eh oui, c'est moi, bien vivant et en parfaite santé ! Ma mort était une mise en scène. Bien, si vous le permettez, Monsieur le Ministre, je souhaiterais vous entretenir d'un sujet bien plus important.

Jean-François Maillard :

Je vous écoute, Monsieur. Que me vaut votre visite ?

Philippe Bertaud : Eh bien, laisser moi vous dire que mon prédécesseur à la tête de Francomatérial était un bien mauvais gestionnaire ! J'aurais besoin d'une petite rallonge de 5000 R$ pour finir d'acheter les matières premières nécessaires à ma production du mois. L'Etat étant actionnaire majoritaire, c'est donc tout naturellement vers vous que je me tourne !

Jean-François Maillard :

Il est important que notre production soit importante. C'est donc normal que j'accepte cette rallonge budgétaire de 5,000 R$.

Philippe Bertaud : Très bien, je vous en remercie, Monsieur le Ministre. C'est un plaisir de voir un homme de votre compétence à ce poste. Dites, j'ai entendu la nouvelle, on raconte que le Premier Ministre aurait "oublié" de payer ses impôts. J'espère que ça ne nuira pas à sa carrière, ça fait assez mauvais genre et si vous voulez mon avis ça sent pas bon pour lui. Mais enfin, j'arrête de vous embêter avec tout ça, je vous laisse. Et encore merci !

Jean-François Maillard :

S'il n'a pas payé ses impôts, il est normal qu'il soit sanctionné. Le Premier Ministre reste un justiciable comme les autres. Mais bon, je ne me livrerai pas à de déclarations dont raffoleraient les journalistes. Je me focalise sur ma mission de ministre de l'Economie.

Bon soir, Monsieur Bertaud. Et heureux de savoir que vous êtes finalement en vie ! ^^

Jacques De Previs :

Merci de me recevoir monsieur le ministre , je viens vous déranger pour obtenir une aide financière pour Kold Industrie , en effet je me suis rendu compte en relancant la production que je n'avais pas assez de financement pour acheter des stocks. J'aimerais donc obtenir une petite rallonge si vous le permettez de 4000 R$.

Par ailleurs j'aimerais vous parler de KTV. Il m'apparait possible de relancer la chaine ainsi que l'ensemble des entreprises du tertiaire du conglomerat mais à mon avis cela devrait nous créer un déficit au sein de l'entreprise de ce coté là , en effet je ne suis pas certain que le chiffre d'affaire suivra et donc un nouveau financement là aussi serait nécessaire mais l'avantage serait que le secteur tertiaire serait quand meme relancé avec des emplois à la clef , dois-je donc relancer le secteur ?

Enfin ma dernière demande porte sur KTV en elle meme , je pense qu'il faut lui changer son nom. En effet KTV est déja un nom utilisé par le géant du média Krasslandais. Je pense renommer la chaine publique en tout simplement FT2. Qu'en pensez vous ?

Jean-François Maillard :

Je vais verser 4,000 R$ sur le compte de KI.

Je suis d'accord pour relancer la chaîne de télévision, et FT2 me semble très bien comme nom.

Très bien monsieur le Ministre , je vous remercie.

Jean Christophe Mariani était très fier d'etre devenu Ministre de l'Economie

Jean Christophe Mariani :



Asseyez vous madame Pelletier.

Je suis quelqu'un ouvert d'esprit. Cependant je n'apprecie pas travailler avec des gens incompétents et qui n'ont pour seul but que de faire le buzz politique.
C'est la deuxième fois que vous vous mettez en travers du chemin du gouvernement et que vous ne respectez pas la hierarchie gouvernementale.

Que s'est-il passé dans votre tete quand vous avez proposé cette chose stupide à Monsieur Marinelli avec la GEF ?
Monsieur Marinelli est venu en Francovie pour ecouter nos propositions en matière commerciale et vous , vous ne faites que contester tout ce que je dis , ridiculisant ainsi la position de la Francovie.
Je ne peux tolerer un tel comportement qui non seulement ridiculise le gouvernement mais en plus , va entrainer une nouvelle fois la recession en Francovie , ce n'est certainement pas avec ce genre d'idée que vous allez relancer l'Economie francovare ni le commerce avec Armara et si le commerce n'est pas relancé nos relations diplomatiques avec nos amis armaréens pourraient se déteriorier. Vous seriez ainsi responsable de la ridiculisation du gouvernement , de la recession de la Francovie , de la baisse du commerce national et de la fin d'une amitié vieille de deux ans.

Plus encore , une nouvelle fois vous m'avez poignardé dans le dos.

Je ne tollererais pas cela , vous n'etes visiblement pas compétente pour gerer les problèmes commerciaux , je vous invite donc à rester dans vos préjogatives du budget , d'ailleurs j'attend toujours votre nouvelle proposition de loi organique du budget. Je ne veux donc pas vous voir demain pour la seconde journée de négociation. Je parlerais de votre cas au premier ministre. Vous pouvez disposez.

Florence Pelletier:

Excusez-moi?

Vous vous rendez-compte de ce que vous dîtes! Je parle d'une solution plausible et vous me démontez sur place et vous venez me faire des remontrances. J'ai été à cette réunion sur demande du Premier Ministre, aussi c'est à elle que vous devez vous plaindre.

La Ministre se leva et sorti en claquant la porte. Le Ministre de l'économie fut convoqué quelques minutes plus tard par le Premier Ministre.