Bureau du ministre du Developpement

Armandier salua le ministre avec respect avant d'exposer ses demandes :

- "L'institut Filin se micromondialise et c'est une bonne chose. Je vais me rendre sous-peu en Livadie pour faire un bilan des premières actions de notre institut là bas.
Cependant j'aimerai que le gouvernement nous aide à consacrer notre légitimité."

Elle sortit des fiches.

- "Tout d'abord j'aimerai que les rapports sur la pandémie que nous faisons tous les mois soient appliqués strictement par la Francovie.
Nous aimerions notamment que nos recommandations soient automatiquement appliquées et donc qu'un decret donne le pouvoir à l'Institut sur l'ouverture de nos frontières.

Par ailleurs, nous voulons que le gouvernement, surtout s'il obtient les pouvoirs diplomatiques, défendent l'application des recommandations de l'Institut Filin au sein de la Grande Alliance notamment en faisant en sorte que le Centre de Coopération des Polices adopte la nomenclature de l'Institut Filin en terme de lutte contre la flemingite, là aussi dans le cadre des reglementations aux frontières."

-

Montignac appela son ministre du développement au lendemain de la nomination de Madame Armandier comme ambassadrice en charge des questions de santé micromondiales :

- Bonjour Ausonne, je vous appelle pour savoir où vous en êtes sur le dossier de l'Institut Filin ?

Indra Balex, trop prise par ses activités politiques en LED avait délégué Timmenn, le directeur de son usine Indra Corp, en Francovie.



Timmenn :


Monsieur le Ministre,

J'ai répondu à votre invitation pour faire le point sur la gestion de nos échanges de déchets.


http://e-led.forumactif.org/f13-indra-corp

Pompillia avait fait le déplacement pour représenter la filière recyclage de la Houlenn LED.


Monsieur le Ministre,

Merci pour cette invitation. La filière recyclage de la Houlenn est prête à discuter de contrats à long terme avec la Francovie.


Pompillia
Directrice recyclage de la Houlenn

Mesdames, messieurs,

Merci d'avoir répondu à cette invitation. Je regrette que la société gwanguama Nouveau Cycle ne soit pas encore présente ainsi que les mézènes pour des raisons diplomatiques.

Je vous ai réuni car nous avons un gros problème de déchets en Francovie. J'ai déjà travaillé avec certains d'entre vous lors de mon précédent mandat, je souhaiterais connaitre les quantités mensuelles que vous pourriez vous engager à nous acheter.  Je ne souhaite pas avoir un seul interlocuteur, ceci n'est donc pas un appel d'offre mais une planification de la résolution de ce problème.
Je souhaite bien entendu me débarrasser de ces stocks nauséabonds le plus rapidement possible mais pas à n'importe quel prix. Bien que très problématiques, ces déchets ont encore une valeur marchande. Je ne vous apprends rien, il s'agit de votre métier.

J'aimerais également connaitre vos installations et les moyens que vous comptez utiliser pour les convoyer jusqu’à vos usines ? Ces points ne sont pas négligeables.

Alexandra Munteanu : Je vous remercie pour votre invitation, Monsieur le Ministre. Je suis d'accord avec vous sur un point, nous avons un problème de gestion des déchets en Francovie et Kritéa, l'entreprise que j'ai l'honneur de diriger, est sensible à ce problème.

Mais là où je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous, c'est quand vous parlez de valeur marchande. Un déchet n'a pas une valeur marchande mais son recyclage a un coût, ça n'est pas la même chose. Un déchet n'est pas vendu, les entreprises payent pour qu'on les débarrasse des déchets qui sont créés lorsqu'elles produisent. Quand Kritéa ramasse des déchets, elle facture ce ramassage à l'entreprise, donc dire que ces déchets sont achetés est une erreur de langage. Jusqu'à présent, Kritéa facturait ce ramassage 6 R$ l'unité, mais j'ai constaté que certains considéraient cela comme une concurrence déloyale donc je suis prête à remonter le tarif à 10 R$ l'unité.

Cependant, en contrepartie, je souhaite trois choses.

D'une part, que ce tarif soit encadré par une loi et qu'il soit le même pour tous.

D'autre part, je demande que Kritéa puisse ensuite proposer la collecte des déchets qu'elle aura ramassées à un prix qui sera libre. Kritéa ne recycle pas les déchets pour les transformer en électricité, elle ne fait que les collecter, donc des usines de retraitement, en Francovie ou à l'étranger, pourraient par la suite collecter ces déchets. Si je facture le ramassage 10 R$ et qu'ensuite, ces déchets sont de nouveau ramassés par une usine de retraitement pour 10 R$, je perds de l'argent. Kritéa doit faire des bénéfices, donc s'il y a une deuxième collecte, elle doit pouvoir se faire pour un prix inférieur à 10 R$.

Pour finir, il faudrait qu'on se penche enfin sur les déchets qui ne sont pas produits par les entreprises mais par les véhicules en circulation et les citoyens. Personne ne s'occupe de ces déchets et je trouve ça dommage. (1)




(1) : Cette collecte est une notion exlude, en réalité la seule personne qui a la possibilité de ramasser ces déchets, c'est le responsable économique de la micronation. Il peut affecter ces déchets à une entreprise, peu importe laquelle. Soit il les affecte à une usine de retraitement, soit il les affecte à une autre entreprise qui devra donc ensuite payer pour que ces déchets soient récupérés.

Alexandra Munteanu : Monsieur le Ministre, vous êtes toujours avec nous ?

Merci Mademoiselle /Madame Alexandra Munteanu, mesdames,

Je vous prie de m'excuser pour ce retard, je devais m'entretenir avec les députés ECOLOS.
J'entends bien la nécessité d'un système efficace de collecte des déchets. Et celui-ci devra être mis en place. Nous ne sommes pas dans une situation figée et tout les jours de nouveaux résidus sont produits par les entreprises ou par les particuliers en Monarchie de Francovie.
Il s'agit de votre cœur de métier et en tant que leadeur du secteur en Monarchie de Francovie, Kritéa est sans doute l'entreprise la mieux placée pour réaliser cette mission avec efficacité grâce à votre flotte de Lagonda SAPU-3000.
Cependant, sous mon précédent mandat, la majorité des déchets francovars ont été regroupés sur le site d'ECOLIA. Je souhaiterais entendre les propositions des deux autres entreprises présentes pour la prise en charge de ce stock énorme.

Timmenn :


Monsieur le Ministre,

Indra Corp est prête à reprendre un rythme de prise en charge de 100 PDT par mois. Nous disposons de nos propre cargos à voile spécialement aménagés pour acheminer des déchets. Ils disposent de benne électriques pouvant être débarquée et assurant l'acheminement des déchets vers les soutes du navires.
Ils nous arrive également de recourir aux services de la Houlenn pour le transport, ils disposent du même système.
Les déchets sont ensuite traités dans notre usine en LED. Nous appliquons le tarif de 10 P£I la tonne, transport compris.

Monsieur le Ministre,

Merci pour cette invitation. La filière recyclage de la Houlenn est prête à s'aligner sur la proposition d'Indra Corp. Nous utilisons à peu de chose près les même mode de transport et de recyclage, à la différence que nous travaillons en étroite collaboration avec la Houlenn transport et disposons donc d'un flotte beaucoup plus importante.

Mesdames, Messieurs,

J'entends vos offres de recyclage, elle pourront être adressées à ECOLIA, principal site de stockage francovare, au prix du marché (10 P£I la tonne) . Cependant la collecte à partir d'autres entreprises francovares doit être à mon sens la mission de Kritéa qui est la seule à avoir le matériel adéquate sur le sol de la Monarchie de Francovie.