8e Session du ParLEMent de Saint-Roman-Les-Flots

S'il y a bien une position de notre camarade scanthélois que je suis c'est qu'il faut stopper les adhésions à la LEM.
La LEM s'est agrandi beaucoup trop vite tant en nombre de nations que d'agences.
Nous le ParLEMent devont recommander au Conseil de la Ligue (qui d'ailleurs j'espère travaillera enfin ce trimestre) de travailler sur la limitation des Etats membres, d'exclure les Etats dormants qui n'ont pas envoyés de ParLEMentaires, ni participés au Sommet des Chefs d'Etat depuis 3 trimestres et de stopper l'inflation des Agences en se recentrant sur quelques domaines.

Le projet spatiale, peut très bien être mené conjointement par l'ATLEM et l'AELEM et coordonnés par un état membre. L'APELEM peut très bien être fusionné avec l'AHLEM et comme cela on réduit les lieux de débats et augmentent leur efficacité.
Les pays membres n'ont aps tous les moyens d'avoir des représentants partout et c'est pour cela que certaines institutions n'avancent pas. Comme cela a été proposé au Sommet des Chefs d'Etat, la LEM devrait privilégier les projets aux agences. Et donc financer davantage ces projets que les agences.

Elu il y a peu au ParLEMent, Gorgonides n'était arrivé que depuis quelques jours car il avait dû suppléer le chef d'Etat Skotinec lors des premiers jours du sommet de Chatillon-Vernier. Il avait été compulser les minutes du ParLEMent à la bibliothèque du bateau pour se tenir au courant de ce qui avait été dit et fait dans cette assemblée depuis le début de la session. Et cela lui avait donné une idée.

Silas Gorgonides : - Mesdames et Messieurs, chefs confrères. Ayant rejoint depuis peu cette institution, j'ai du me livrer a une séance de rattrapage en allant lire le compte rendu des débats depuis le début de cette session. Et ce qui m'a frappé c'est que le niveau d'engagement dans la vie du ParLEMent était très inégal. Notre assemblée comptait officiellement 55 membres au début de la législature et devrait être passée depuis peu à 60 membres avec l'adhésion d'Armara. Cette adhésion ne datant toutefois que de quelques jours je vais me baser sur un ParLEMent à 55 députés. Sur ces 55 députés théoriques, seuls 29 ont pris part à au moins un vote au cours de cette session. Et si je comptabilise seulement les députés qui ont pris la parole publiquement dans cette assemblée, je n'en compte plus que 12... ou plutôt 13 puisqu'il faut aussi que je m'inclue dedans. La participation moyenne aux votes et donc de 53% et la participation aux débats est de 24%.

En faisant la moyenne entre la participation aux votes et la participation aux débats j'obtiens ce que j'ai appelé l'indice de participation au ParLEMent (IPP) qui pour l'ensemble du ParLEMent s'élève à 39%.

J'ai ensuite fait le calcul pour les députés de chacun des pays membres de la LEM ce qui m'a permis de réaliser un classement selon leur niveau d'investissement (IPP).

80% pour Prya (100% de participation aux votes et 60% de participation aux débats)
70% pour le Mézénas (100% de participation aux votes et 40% de participation aux débats)
60% pour le Krassland (80% de participation aux votes et 40% de participation aux débats)
60% pour la Francovie (80% de participation aux votes et 40% de participation aux débats)
50% pour la CSH (60% de participation aux votes et 40% de participation aux débats)
50% pour Pirée (100% de participation aux votes et 0% de participation aux débats)
40% pour le Skotinos (40% de participation aux votes et 40% de participation aux débats)

00% pour Abalecon (0% de participation aux votes et 0% de participation aux débats)
00% pour le Freineuburg (0% de participation aux votes et 0% de participation aux débats)
00% pour Nadür (0% de participation aux votes et 0% de participation aux débats)
00% pour le Valdisky (0% de participation aux votes et 0% de participation aux débats)

On voit donc qu'il y a clairement un groupe de 7 pays qui s'impliquent dans la vie du ParLEMent et un autre groupe de 4 pays qui ne participent jamais.

Si on ne prends en compte que les 7 pays qui participent l'indice de participation monte à 59% mais si on compte les 11 pays ils n'est plus que de 39%.

Je ne suis pas très fier de voir que mon pays ferme la marche du groupe des actifs mais il faut dire que jusqu'à peu la représentation skotinecque comptait 3 élus d'un parti lémosceptique qui ont boudé le ParLEMent. Je pense qu'avec nos nouveaux élus notre participation devrait bien s'améliorer.

Mon collège pryan, monsieur De Fortia, se demandait s'il ne fallait pas exclure de la LEM les pays qui ne s'y impliquaient pas. Et a la lecture de mon tableau je pense qu'on peut sérieusement s'interroger sur l'implication de 4 des 11 Etats membres dans la vie de l'organisation.

C'est à ce moment des débats que le "pitbull" décida d'intervenir. Fidèle à sa réputation, elle n'usa pas de langue de bois et fit clairement comprendre quel était son point de vue.


Tyrana Seborovska : Ces micronations qui ne participent pas aux débats doivent être exclues de la LEM sur le champ !

Et il devrait en être de même pour les micronations qui ne versent pas leur cotisation trimestrielle ! Bien que pour ma part, je trouve son montant trop élevé, le montant est décidé par les institutions de la LEM et tous les membres doivent s'en acquitter !

Nous ne voulons pas de touristes dans cette organisation ! On participe, on verse sa cotisation ou alors on dégage !

Mark Weber (/) avait suivi le débat et les interventions de son collègue de l'UCS. Si souvent LS et UCS n'étaient pas toujours sur la même ligne, il trouvait toutefois des points d'accords avec ce dernier. C'était bien son parti, la LS, qui avait invité l'UCS à questionner le rôle du ParLEMent ici et non pas forcément auprès du DSHAE en CSH. Mais la LS avait une longue tradition historique de parlements supra-nationaux déjà avec le e-Parlement à l'époque. Aussi, la position élésienne était plutôt une conservation du ParLEMent mais avec effectivement un mode de fonctionnement bien plus rapide et organisé qu'actuellement où les 3/5 servaient à élire des PrésidentEs et les 2/5 restant à boire des verres ou partiellement discuter de budgets.

Il prit la parole:
Je profite de ce regain d'activité pour rappeler, comme Shivana Pal l'a fait lors du Sommet, que l'AHLEM tente, vainement malheureusement, de mettre à jour les moyens disponibles par chaque pays. Lors de la dernière intervention au SOD, la plupart des pays n'ont pas participé, au grand regret des autres membres de l'AHLEM.

Aussi, lors de l'intervention classifiée 2017-1/SOD, les pays ayant participé furent:
- Edoran*
- Pirée
- Valdisky
- Freineubourg
- Mézénas
- Skotinos
- Francovie
- Scanténoisie-Helvetia

Pour l'intervention classifiée 2017-1/KOL, les pays ayant participé furent:
- Edoran*
- Francovie
- Prya
- Pirée
- Scanténoisie-Helvetia

Enfin, concernant la Mise à jour des matériels disponibles en début de 2018, rappelé par ma collègue Shivana Pal LS/ECONAF, seuls:
- Edoran*
- Pirée
- Valdisky
- Scanténoisie-Helvetia

ont donné un signe de vie et ont rappelé les moyens mis à disposition. Aussi, après Madame Pal au Sommet, je réinvite clairement et prestement les représentants de l'AHLEM à venir exposer les moyens disponibles. Il est remarquable à ce titre qu'Edoran, ne faisant pas partie de la LEM, soit un des membres les plus actifs de l'AHLEM. Et il faut souligner cet engagement sans faille de ce pays auprès de l'Agence alors que d'autres pays membres de l'AHLEM ne participent même pas à envoyer du matériel.

Il faut rappeler que l'AHLEM se met sous le commandement d'un pays pour les interventions. Au SOD, le Valdisky a fait son travail. Au Kolozistan, ce fut Edoran. Il suffit dès lors d'inscrire son matériel et de dire quels moyens sont mis à disposition et si le pays participe. En vrai, l'AHLEM a cette fascinante organisation légère de mobiliser rapidement en quelques minutes et en une seule déclaration et décision et cela n'est pas suivi dans les faits. À titre personnel de ParLEMentaire scanthélois, je regrette cela.

Aussi, j'invite à nouveau TOUS les pays membres de l'AHLEM ne l'ayant pas encore fait, à venir dire à Aarosia (et non à griffouiller un mot sur un bout de papier déchiré lors du sommet à Shivana Pal comme a pu le faire le Président Lukas Twyman) à l'AHLEM quels moyens sont mis à disposition pour tenir à jour. L'AHLEM ne demande pas grand chose régulièrement à part une mobilisation, et c'est son rôle.

Je rappelle que le dernier recensement du matériel mis à disposition date de 2015. Aussi, une nouvelle mise à jour en 2018 ne me semble pas être un travail surhumain. Il en va de l'utilité de l'AHLEM et je vous remercie donc de bien vouloir avec insistance, inviter vos représentants à   y déclarer le matériel disponible, et ce, sans-plus-attendre.

Maintenant, concernant des fonctionnements de la LEM, je propose cela:

1) Le ParLEMent vote un point de son règlement fixant une DURÉE de Session de 3 semaines pour que cette dernière soit effective et fonctionnelle. Les débats sur 4 mois sont interminables. Aussi, je propose que
- la première semaine soit consacrée à l'élection de son ou sa Présidente;
- la deuxième semaine soit consacrée à l'actualité des Agences et de leurs budgets avec un vote;
- la troisième semaine soit consacrée aux motions, résolutions, textes, et débats de politique générale.
Une session durerait ainsi 3 semaines au lieu de 4 mois avec peu d'effets à la fin. Aussi, nous pourrions ensuite implémenter les décisions et les faire suivre d'effets sur le restant des 3 mois et 1 semaine dans nos pays respectifs.

2) Le ParLEMent vote une motion ou résolution (Mark ne savait jamais vraiment les termes, il apprenait) sur la durée d'un Sommet. Le Sommet en CSH et sa session ParLEMentaires furent gérés et organisés avec un non-étalement sur les 4 mois. Je crois que tout le monde fut agréablement surpris et ravi de pouvoir ensuite vaquer à d'autres occupations nationales. Nous devrions remettre cela à jour.

3) Concernant le rassemblement des Agences en un seul lieu, je me positionne contre, en tant que membre du groupe ECONAF. Nous voulons une fédéralisation de la LEM et aucunement une centralisation.

4) Concernant LEMédia, je pense que ce dernier doit rapidement trouver sa place pour rendre l'actualité des Agences plus accessibles et plus rapide et rapprocher nos concitoyens de nos actions et de faire connaître nos positions et nos travaux.

5) Je proposerai un texte sur les symboles de la LEM et leur promotion au sein de nos pays respectifs. Libre à vous ensuite, si le texte passe, de l'implémenter. Mais comme dit lors de la dernière session au Valdisky, certains déplorant la non-visibilité de la LEM et de ses actions, c'est aussi aux pays membres d'afficher les symboles de la LEM. La CSH intègre partout où la LEM a un rôle, son drapeau accompagné de celui de la LEM. La CSH arbore son drapeau, celui d'un autre pays et celui de la LEM au centre sur ses propres ambassades, si le pays hôte est également membre de la LEM. Enfin, la CSH arbore le drapeau de la LEM sur ses communications officielles. Aussi, cela est de notre responsabilité commune d'afficher les symboles de la LEM là où nous pouvons le faire. Le Drapeau de la LEM est arboré partout où la LEM est présente. Il trône fièrement au côté du drapeau national par exemple sur le siège et bâtiment du DSHAE à Aarosia.

J'en viens donc à la fin de mon intervention et vous rappelle, encore une fois, avec la plus grande insistance, l'invitation à déclarer vos moyens à l'AHLEM et ce, dès que possible,   ici .

Merci.

Mark Weber

Kyra Spyros : - Dans le même registre, ma cousine m'a annoncé qu'une réunion est en cours à l'ACLEM sur l'octroi de subventions pour le concours Microvision...

http://skotinos.mwik.com/t342-Commission-Art-de-l-ACLEM.htm#p2774

Giovanna Farrugia qui dirigeait la diplomatie nadénne d'une main de fer annonca qu'elle avait nommé 4 ParLEMentaires en plus d'elle qui serait la 5e.
La plupart avaient des opinions conservatrices comme elle.

Giovanna Farrugia 
Marcelo Buenaroti
Antonio Gavaudi
Raphaela Scatti
Mauricio Uder

L'hiver se terminait mais Mark Weber si dit qu'il allait neiger en Picabie...

Mark Weber : Pour les archives du ParLEMent, avez-vous l'étiquette politique de vos ParLEMentaires de Nadür ? Que l'on puisse tout enregistrer ici.

Giovanna Farrugia :

- "Compte tenu de la situation politique actuelle à Nadur, les ParLEMentaires ne sont membres d'aucun parti mais ils pourront rejoindre un mouvement du ParLEMent à leur convenance."

Farrugia resta neutre.
Les autres préfèrerent rejoindre le groupe libéral-conservateur du ParLEMent. 

Voyant arriver tour à tour les Abaléconais et les Nadéens, Bôsemann s'esclaffa.

Arnulf Bösemann : - Et bien mieux vaut tard  que jamais. Bienvenus au ParLEMent Messieurs Dames.

Son voisin Graufelder, l'air goguenard, se pencha vers lui pour lui murmurer à l'oreille ...

Maximilian Graufelder : Gaffe toi, c'est la nuit des morts-vivants... les zombies envahissent le ParLEMent.

Du côté des parLEMentaires abaleconiens, on remercia les personnes ayant souhaité la bienvenue et on se repassa le replay du début de ce looooooooooong débat, en s'arrêtant de temps à autre pour réécouter des passages et des prises de parole. Certains ici avaient un accent bien dégueulasse qui ne facilitait pas la compréhension. A un moment, Bogdàn Jorìkov donna un coup de coude à Pavàl Boknòv, pour lui faire remarquer qu'à avoir su que les animaux étaient autorisés, ils auraient emmené avec eux, la collection de bousiers géants que possédait Lodùkova. Il désigna la grognasse du Mézénas, sans prendre le soin d'être discret. Mais Boknòv, qui n'était pas venu ici pour beurrer les sphincters, prit la parole pour contribuer au débat, notamment aux derniers propos tenus par le diplomate scanthélois, Mark Weber :

- Je suis favorable à la première proposition, concernant la durée des débats, bien que le fait que celui-ci ait trainé plus que de raison nous ait permis d'y participer. Le calendrier proposé est structurant et présenterait deux principaux avantages : efficacité et rapidité.

Il marqua une petite pause et ajouta :

- Nous sommes également favorables à la vision fédérale de la LEM. En revanche, nous nous opposons au dernier point, à savoir le projet de promotion des symboles de la LEM. C'est aux états souverains de décider s'ils veulent faire cette promotion. L'ALPHA que je préside et la Chancellerie soutiennent ardemment l'unique présence du drapeau d'Abalecon et de ses symbôles. Nous refuserons catégoriquement de faire trôner un quelconque étendard étranger à côté de lui. Il s'agit d'un non-sens allant à l'encontre de notre vision de la Nation.

Anthony Bastino :

- "Si nous mettons en place une session de 3 semaines il faudra bien comprendre qu'il y aura forcément beaucoup d'abstentionniste car il arrive souvent que des nations soient touchées par la flemingite de temps en temps.
Je ne dis pas que c'est une mauvaise idée, au contraire meme je la soutiens mais il faut en avoir conscience."

Mark Weber (LS/ECONAF):

Peut-être que 3 semaines sont trop courtes, mais 4 mois sont trop longs. Aussi pourrait-on trouver un compromis entre les deux extrêmes.

Pour répondre au ParLEMentaire Pavàl Boknòv ALPHA, les décisions me semblent être non contraignantes dans les résolutions/motions. Aussi, un texte voté par le ParLEMent n'obligerait pas Abalecon à afficher un symbole de la LEM, même si cela serait dommage. Mais libre à vous ensuite de ne pas afficher ce drapeau. Du côté de la CSH, nous y tenons. Et continuerons d'arborer le drapeau partout là où il peut l'être.

Mark Weber se dit qu'avec les parLEMentaires ALPHA, le groupe LEMOsceptique allait encore se renforcer. L'arrivée de nouveaux ParLEMentaires semblait favoriser les forces conservatrices et de droite, ce qui n'arrangeait pas le ParLEMentaire élésien.

Arnülf Bösemann : - Effektivement 4 mois c'est trop long et c'est même impossible... vu ke la législature dure un trimestre.

Mais si vous voulez limiter la durée des sessions plutôt ke de vouloir imposer un timing kronométré au jour près ke personne ne parviendra a tenir, ne pourrait on pas simplement demander au président du ParLEMent de faire en sorte ke le budget soit voté avant mi-mandat ? Cela laisserait une semaine pour l'élektion du président et 5 semaines pour le travail parlementaire.

Mais soyez konscients ke plus vous plus vous réduirez la durée des sessions, plus vous réduirez le pouvoir du ParLEMent. Avek une session de 3 semaines vous n'avez plus vraiment le temps de proposer et de débattre des amendements. Au final vous vous retrouverez avek une simple chambre d'enregistrement ki devra se kontenter de voter oui ou non a la proposition de budget présentée par le Président du ParLEMent et ki ne pourra plus vraiment soumettre des propositions de modifikations faute de temps. Vous allez transférer le pouvoir du ParLEMent vers son Président. Et l'étape suivante on l'imagine déjà... Les lémosceptiques nous diront ke le ParLEMent n'est plus k'une chambre d'enregistrement, k'il est devenu inutile et k'il faut le supprimer et transférer ses kompétences au Konseil.

- Trop long, trop d'agence, Je propose que, je pense que ..... Vous me semblez tous vous accorder sur un diagnostique commun : La LEM est devenue est un sacré sac de noeud. Je pense même qu'une bonne moitié des parLEMentaires ici présent ne connaissent pas ses règles de fonctionnement et ne sont pas capables de citer les noms de l'intégralité des agences. Dans ce cas, et avant même de revoir le mode de fonctionnement de la session parLEMentaire et de ses réunions interminables et improductives, peut être devrions nous revoir le fonctionnement structurel et la communication de la Lige. Le problème n'est pas le nombre de pays présents dans la ligue. Le problème provient du fait que retrouver toute information relative à la Ligue devient un jeu de piste qui viendrait à bout de la patience d'un cul de jatte tindalite. Cela a pour conséquence d'entrainer le désintérêt de certains des participants. Par suite, pas d'intérêt, pas de cotisation, pas de projets.

Duvalon jetta un oeil aux arrivistes abaleconiens.

- Si nous voulons rendre son efficacité à la LEM, nous devons faire évoluer sa communication : Adopter un lieu de discussion unique (/EL Adopter un forum unique et spécifique EL/) dans lequel les agences seront toutes représentées. La LEM est devenue une institution internationale. Il est temps de lui donner une stature internationale. Je propose donc d'étudier l'adoption d'un siège unique, à l'instar de l'ONA mais totalement indépendant de cette dernière évidemment (/EL Pas sur le forum annuaire de l'Archipel EL/). Nous pourrons ainsi regrouper les fonctionnaires de la LEM au sein de cette institution et permettre une meilleur circulation de l'information entre agences. Sans cela, notre ligue continuera de mourir de sa complexité.

- Ah... j'oubliais...Je soutiendrai l'exclusion des nations dormantes. C'est une évidence (/EL Abalecon se reveille une fois par an pour poster un dizaine de messages d'insultes envers l'Archipel. En dehors de cela, Abalecon ne produit pas de jeu. Pas de jeu, des insultes, je propose de les exclure EL/)

David était revenu de son petit tour à l'extérieur. Cela lui avait le plus grand bien. Il ne put s'empêcher de s'exprimer.

David Omberg (CSH - UCS - LC) : Monsieur Boseman, vous voyez, vous le reconnaissez de vous-même, nous sommes une simple chambre d'enregistrement. Ce n'est pas un éventuel planning ou règlement qui changera cet état de fait. Nous le sommes déjà.

Il est certain qu'à défaut de notre suppression, il faut que nous trouvions un mode de fonctionnement valable. Mais je soutiens que ce ParLEMent est un échec et que les pouvoirs et les libertés doivent être rendues directement aux Agences.

Monsieur Duvalon, non seulement, vous venez polluer la salle avec de la pollution exlude, qui mériterait d'être passible d'une amende substantielle, mais ce que vous proposez est à l'encontre même de la Ligue. Les Agences sont à leur place dans nos contrées respectives. Elles sont au contact des gens. Elles sont au cœur de l'activité. C'est à nos divers gouvernements d'être efficace. Partir sur une île est la pire idée qui soit.

Quand aux questions d'exclusion, les divers parlementaires sont représentants de droits des Nations de la Ligue. Ce n'est pas à non de décider de leur exclusion. La Ligue comporte des membres, nous devons tous les accueillir....Mais cette question ne poserait pas si nous supprimions l'échelon de trop de la LEM.

- Mon cher Monsieur Omberg. Je vous remercie pour votre intervention et vous prie de bien vouloir conserver un ton correct dans vos propos. Si l'emploi d'un langage fleuri, eu égard à votre culture, ne sera jamais remis en cause, et j'en sais quelque chose, la politesse et le respect de ses pairs me semblent être deux valeurs à sanctuariser au sein de notre institution. Je vous demanderais donc de bien vouloir y penser pour vos prochaines interventions car nous, parLEMentaires de la LEM, n'avons pas à subir les conséquences de votre stress ou de vos angoisses certainement dû à un priapisme chronique ou à une semaine, bien trop longue, d'abstinence.

Parler de centralisation ne vas pas à l'encontre de la ligue. Ai-je proposé de supprimer les sièges nationaux des agences? Non. J'ai proposé d'adopter un siège unique pour la LEM qui regrouperait les deux institutions que sont le Conseil et le ParLEMent. Il est évident que les agences devraient y être représentées. Mais cela ne s'oppose pas à la conservation de bureaux des agences dans leurs pays respectifs. Je pense cependant que c'est la décentralisation qui tue à petit feu la ligue. Et cette décentralisation n'ira que croissante avec l'augmentation des pays membres. Je ne suis pas le premier à émettre ce souhait. Je ne fais qu'écouter mes administrés, dans mon pays d'origine, mais aussi d'autre parLEMentaires. Sauf erreur de ma part, mes homologues piréens ont déjà émis le souhait de pallier à cette décentralisation en regroupant nos institutions.

Nonobstant cette mise au point, je trouve assez déplacé que vous me fassiez la morale en me menaçant d'amendes, ou je ne sais quoi, sur base d'une méconnaissance de la Ligue alors même que j'en suis l'un des fondateurs, mais surtout que vous prônez, par ailleurs, la destruction de nos institutions puisque vous communiquez allègrement sur touëter au sujet de la suppression de la LEM. Remarquez...Supprimer la LEM ou en empêcher l'évolution pour la garder esclave de ses problèmes, c'est un peu pareil non?

/EL Mes propos EL sont exprimés entre balises, ce qui est parfaitement conformes aux règles acceptées et appliquées par la majorité des joueurs. L'utilisation de ces propos EL en inlude est, par contre, beaucoup plus discutable EL/

Mark Weber (LS-ECONAF) se dit que s'il y avait bien une sorte de volonté commune sur les idées à gauche dans ce ParLEMent, il constatait que les partis de droite UCS, ex-RAP, MPK et ALPHA (presque tous membres du Groupe Libéral-Conservateur) s'entredéchiraient sur des visions lémniques, ce qui l'arrangeait bien. Il était temps de marquer le ParLEMent à Gauche et que SDC, ML et ECONAF s'unissent sur une vision progressiste du ParLEMent en agissant pour les gens et non sur la bureaucratie, l'organisation ou que savait-il encore.

Il rappela également à son collègue du MPK Bösemann que lors de la dernière discussion sur un texte, c'étaient bien les Krasslandais qui avaient considéré, avec bien d'autres, le ParLEMent comme chambre d'enregistrement, ces derniers ne votant ni ne participant au dépôt d'amendement sur le texte présenté conjointement par la Francovie et la CSH concernant la Peine de Mort, et ce, en toute fin des trois mois de session. Seuls les Francovars, les Frenobourgeois, les Scanthélois, les Piréens et une Députée ARF du Skotinec avaient participé au vote.

Décidément, ce ParLEMent devenait enfin intéressant avec des joutes verbales qui pourraient enfin donner un peu de piment et voir s'affronter des visions bien différentes.

En outre, il rapporta un point d'étape de l'AHLEM et du recensement:

- J'aimerais remercier les délégations de Mézénas, du Skotinos, du Krassland, de Francovie et du Freineubourg d'avoir répondu à mon dernier appel concernant la mise à jour du matériel disponible pour l'AHLEM. Aussi, ne restent plus qu'à:
- Prya
- Nadür
- Abalecon
de venir y déclarer le matériel disponible.

Bösemann leva les yeux au plafond en écoutant la dernière tirade d'Omberg. Il se disait qu'à force d'asséner des idioties le scanthélois allait faire passer Hito pour un génie. Après avoir laissé Duvalon intervenir, le Krasslandais prit la parole.

Arnulf Bösemann (KRA - MPK - LC) : - Monsieur Omberg, chacune de vos interventions est un koncentré de kontre-vérités et d'affabulation. Vous devriez essayer d'utiliser les deux appendices latéraux ki ornent votre tête et k'on appelle kommunément oreilles. Je n'ai nullement rekonnu ke le ParLEMent serait une simple chambre d'enregistrement komme vous le prétendez. Ce ke j'ai dit c'est k'il riskait de le devenir si on rakkourcissait trop la durée des sessions komme vous le prékonisez.

Vous nous dites aussi ke les pouvoirs et les libertés doivent être rendues aux agences... J'aimerais bien savoir kels pouvoirs et libertés le ParLEMent est censée avoir pris aux Agences ? La seule prérogative du ParLEMent est de définir la répartition du budget entre les agences. Voulez vous ke les Agences définissent elle même le montant du budget ki devrait leur être alloué ? Et ke ferez vous alors lorske les demandes des agences dépasseront les montants disponibles ? Ki tranchera ?

A vous entendre on pourrait kroire ke le ParLEMent empêche les Agences de fonktionner. K'il les prive d'argent... Mais en verité le ParLEMent a voté chaque trimestre le budget avek une unike exeption lors du 2e trimestre 2017 je krois. Il a fait korrektement son travail de répartir le budget entre les Agences.

Le problème n'est pas au ParLEMent mais plutôt du kôté des Agences ki demandent des budgets mais tardent a en faire l'usage prévu.

David s'était déplacé près de la fenêtre pour faire évacuer la pollution ambiante de l'air. Il enchaina, convaincu de la justesse de ses propos.

David Omberg : Décidément, vous ne pouvez pas vous empêcher de balancer des insultes gratuites à tous vos contradicteurs, au Krassland. C'est une bien curieuse manière de faire. J'avoue, je n'en ai pas l'habitude mais je saurai me défendre.

Mes oreilles vont très bien, merci. Non, j'entends que vous êtes pour le statu-quo, pour l'enlisement de la LEM, pour continuer sur nos votes de Président et....c'est tout. Le Parlement n'a jamais rien fait d'autres que de voter des Budgets dans des procédures tellement longues qu'on est déjà passé au sommet suivant.

Alors, je maintiens que le Parlement ralentit le travail des Agences ? A partir de ce moment, elles sont figées. Et je ne préconise rien, c'est mon collègue scanthélois qui le propose. Moi, je reste sur ma position.

Le ParLEMent est une coquille vide. Les Sommets trimestriels pourraient parfaitement se charger de décider des montants à allouer suite à la présentation des divers représentants des Agences. Il me semble qu'ils le font déjà, puis viennent répéter ce qu'ils ont dit devant nous....AH, c'est long.... Puis, l'AELEM pourrait parfaitement contrôler les dépenses, lui donnant un nouveau rôle, en plus du sien, qui est de renforcer les coopérations économiques et les investissements.

Je maintiens qu'il y a une institution en trop. Et que les Agences sont bien où elles sont. Aux représentants de faire correctement leur travail.

Méthodique, Pavàl prit le temps d'une concertation avec ses collègues, afin de faire un petit bilanc de ce qui venait d'être dit. Il en résulta un profond sentiment de satisfaction de voir le débat aussi passionné et constructif. A tel point que même le plus sceptique des ALPHAS présent, Bogdàn Jorìkov, estima que le ParLEMent était bien plus animé que l'opposition abaleconienne et que finalement, le voyage jusqu'ici n'avait pas été vain. Il était tellement content, qu'il pensa même un instant payer une tournée générale à tout ce beau petit monde. Quand tout le monde se mit d'accord sur les propos à tenir, Pavàl reprit la parole, méthodique et rigoureux :

- J'ai écouté avec attention le propos de Monsieur Dubalcon. Vu le vif intérêt qu'il nous manifeste ouvertement, nous acceptons de faire un selfie avec lui avant la fin de la séance, avec grand plaisir. Il est de notoriété publique que nous sommes en recherche permanente de publicité.

Les autres parLEMtaires éclatèrent de rire, sans se cacher. Pavàl reprit, impertubable.

- Il est vrai que les agences sont nombreuses et que cela peut émouvoir. Nous sommes prêts à proposer à ceux qui auraient des difficultés à comprendre tout ce patàkass, un stage dans l'administration abaleconienne. Avec un record de 3619 normes nécessaires pour obtenir le permis de conduire, je peux vous dire que les agences de la LEM, à côté de ça, c'est du pipi de Vlady ! La LEM a la chance de bénéficier d'une encyclopédie scanthéloise, qui a un contenu très complet. Nous avons profité de notre voyage pour consulter tout cela via nos smartphones. Ce fut instructif ! A tout hasard, si certains sont à la peine, voici l'adresse url : http://www.scanthel.net/wiki/index.php?title=LEM#Repr.C3.A9sentation_vexillologique

Il l'écrivit méticuleusement sur un papier et il reprit.

- Nous sommes favorables à la mise en place d'un lieu unique pour la LEM et ses agences. Tous ces voyages sont contraignants. Et vous l'avez vu, la bureaucratie abaleconienne, quand elle n'est pas paralysée par des feignasses gauchistes, n'a pas permis de vous accueillir lorsque nous l'aurions du. Idem pour la communication, elle permettrait qui plus est de relayer l'information hors ONAnisme intellectuel. Nous pensons que cette institution doit se moderniser. Si vous avez besoin d'ingénieurs, nous avons un taux de glandeurs records que nous serions ravis de mettre à disposition plutôt que de les envoyer à l'armée ou en travaux forcés à Sysòbula !

Il but une gorgée d'eau, parler autant, il n'y était pas habitué.

- Pour l'organisation, nous rejoignons la position de Monsieur Weber. Faire durer la session sur un trimestre entier c'est chronophage et visiblement peu efficace. Peut-être qu'un compromis peut être trouver sous la forme suivante ? Le premier mois est consacré à la partie administrative, avec élection du Président, puis vote du budget. Le deuxième est consacré aux débats et aux votes des projets travaillés à la session précédent. Et enfin le troisième moi est consacré à la création de commission et à la préparation des projets pour la session suivante. Nous pensons que l'idée de "borner" les étapes de chaque session parLEMtaire sera efficace et qu'elle pourrait contenter tout le monde.

Shivana Pal (LS/ECONAF) de passage:
Mais que fait la Présidente ? Elle me semble bien absente pour cadrer les débats.
Se reprenant...
Ce soir, la CSH offre un pot à son Ambassade à Micropolia. Vous êtes toutes et tous invitéEs.
Reprenant la parole sur le sujet:
Je comprends à titre personnel certaines revendications de mon collègue Omberg. Allons, allons, restons toutes et tous courtois, montrons un bel exemple à nos concitoyens. Lorsque LEMédia existera, il fera de nos débat ses choux gras et nous ne pourrons que constater la montée en puissance des Lémosceptiques, groupe ultra-minoritaire dans cette Assemblée et j'espère qu'il le reste encore longtemps.
Aussi, il nous faut trouver une solution satisfaisante pour tout le monde. Comme mon collègue Weber, j'approuve une segmentation de la durée du ParLEMent. Pour que ce dernier soit plus utile et plus fonctionnel, pouvant ainsi peut-être plaire à notre estimé collègue Omberg.

Rachel Peyranne : Pour répondre à Madame Pal, qui se demande ce que je faisais, je vous écoutais, je vous laissais débattre entre vous et je ne voulais surtout pas intervenir et vous interrompre. Cependant, je crois qu'il est nécessaire de vous rappeler certaines choses et c'est valable pour tout le monde, pas uniquement les personnes dont je vais mentionner le nom.

Monsieur Omberg, la création du ParLEMent a été décidée lors d'un sommet trimestriel, ses compétences ont été accrues lors d'un autre sommet trimestriel, il me semble donc logique que son éventuelle suppression ou bien l'octroi de nouvelles compétences devraient être débattus lors d'un sommet trimestriel. Monsieur Duvalon, vous souhaitez faire évoluer la communication de la LEM et vous avez fait des propositions en ce sens. Là encore, ces choses devraient être discutées lors d'un sommet trimestriel. Je vous recommande donc à tous les deux de parler de vos propositions à vos gouvernements respectifs et ces choses seront discutées lors du prochain sommet trimestriel.

Le ParLEMent n'a pas d'autres compétences que celles que les États-membres veulent bien lui donner. En tant que Présidente du ParLEMent, je dois faire en sorte que cette assemblée fonctionne dans les limites des compétences qui sont les siennes.

Ces choses étant dites, Monsieur Weber a proposé la rédaction d'un règlement sur le fonctionnement du ParLEMent et Monsieur de Fortia a proposé que le ParLEMent vote un texte qui recommanderait un arrêt des adhésions, l'exclusion des États-membres dormants, la tenue d'élections ParLEMentaires avant chaque nouvelle session du ParLEMent et diverses autres choses concernant les agences.

Je vous propose que nous commencions par là. Monsieur Weber, je vous confie la rédaction du règlement que vous évoquez. Monsieur de Fortia, je vous confie la rédaction d'un texte contenant ces recommandations. Nous allons débattre de ces textes, éventuellement les amender et puis nous voterons tout ça.

Allez, au boulot !

Maximilian Graufelder (KRA - MPK - LC) : - Madame la Présidente, c'est bien joli de débattre du règlement intérieur, des réformes et autres rekommandations mais il ne faudrait pas pour autant ke l'on oublie notre mission principale ki est de voter un budget répartissant les fonds entre les Agences. Kand komptez vous nous présenter un projet de budget ke l'on puisse examiner et éventuellement amender ?  Votre prédécesseur, monsieur Hito, avait la détestable habitude de faire traîner les choses jusk'au dernier moment pour forcer ensuite la main aux députés ki n'avaient plus le choix k'entre akcepter un budget mal ficelé  ou laisser sans budget la LEM en le refusant. C'est komme cela k'il a fait passer la dernière fois un budget dans lekel il s'attribuait une skandaleuse rétribution en tant ke président de l'assemblée alors ke les députés ne sont pas rétribués par la LEM. Nous ne voudrions pas ke ce travers se perpetue et c'est pourkoi je vous demande de lancer le débat sur le budget au plus vite afin ke l'on ait assez de temps pour examiner la proposition et soumettre des amendements si on le souhaite.