Re: Palais Caerbulïn- Siège du Gouvernement Local

**Jonas d'Agrolia** Ven 28 Aoû - 1:39

Eléonore avait réfléchit à cette éventualité.

Eléonore de Jullanis :

En effet, mais le Conseil ne règle pas les affaires des clans... Et il y a plusieurs possibilités. Soit le Roi de Francovie accepte, avec l'approbation à terme du Grand-duc, d'un transfert de vassalité.

Elle regarda son époux.

Soit nous nous accordons directement avec l'Empereur d'Edoran si ce que vous dîtes de son influence est vrai.

Cela serait déjà plus probable même si cette option l’empêchait de mettre la main sur le Brindas. Mais le fait de s'allier à deux Empereurs était très attrayant. Le Comtat renforcerait, en même temps que Picabie, son influence. Dans tous les cas, l'influence de la Monarchie Francovare et de Micropolia serait lourdement affaiblit.

Je suis prête à accorder la main de Sandrine à l'Empereur d'Edoran.

**Ludovic Le Cam** Ven 28 Aoû - 1:44

Rayal Picaban réflechit à son tour.
Il tenta :

- "Donc. Essayons d'abord avec l'Empereur d'Edoran.
S'il ne souhaite pas se joindre à notre enfant, elle se devra de se marier avec le petit Delfrous."

Il restait sur cette opinion de la marier le cas échéant avec l'Autocrate.
Comme pour éviter d'entendre la réprobation de son épouse il completa :

- "Souhaitez vous vous rendre vous même à Allancia avec elle pour la présenter à l'Empereur ?"

**Jonas d'Agrolia** Ven 28 Aoû - 1:52

Eléonore de Jullanis :

Bien évidemment. Pouvez-vous me parlez un peu de l'Empereur ? François-Xavier, c'est cela ?

**Ludovic Le Cam** Ven 28 Aoû - 17:52

Rayal Picaban :

- "En effet.
Il est arrivé il y a peu au pouvoir en succédant à son Père qui a décidé d'abdiquer.
C'est semble t-il un original, surement une forte tête car il est le premier Empereur récent à ne pas avoir fait ses classes dans l'Armée de Terre, lui a préféré l'Armée de l'Air et semble un passionné de l'Espace.

On ne connaissait pas grand chose de lui, sa jeunesse l'avait empêché de démontrer pour l'instant sa vaillance.

Cependant le début de son règne est marqué par sa volonté d'etre de façon incontestée le chef de la diplomatie édoranaise.
Son Père avait en effet vu son pouvoir fortement atténué pendant une grande partie de son règne par la prédominance du Chancelier de Hauteville désormais à la retraite. Visiblement le fils souhaite lui ne pas avoir ce genre de personne qui puissent lui faire de l'ombre.

Depuis son arrivée au pouvoir, le vocabulaire des diplomates édoranais est très pragmatique (dans la bouche de Picaban, il fallait entendre belliciste car il avait une vision très personnelle et conflictuelle des relations internationales) et il n'hésites pas à prendre position, mettant en avant la Grande Alliance au détriment de la LEM voire de l'ONA."

Picaban avait du respect pour le nouvel Empereur, il se voyait bien gouverner comme lui, avec beaucoup de sevérité avec les pays "laxistes" de la LEM dixit les propos des diplomates édoranais à l'ONA.

**Jonas d'Agrolia** Sam 29 Aoû - 2:18

Eléonore écouta attentivement son époux. L'Empereur avait l'air d'être un esprit libre tout en étant très ambitieux. Cela plaisait à l'Impératrice qui espérait pouvoir sauvegarder la liberté de sa fille. Sandrine était elle aussi un esprit libre et aurait du mal à tolérer un mariage arranger.

Eléonore de Jullanis :

Je suis prête à faire le voyage avec Sandrine. Mais, dîtes-moi, il n'y a aucun risque pour les libertés et droits de ma fille ? Je sais que dans le nord, ils sont souvent plus conservateurs.

En parlant de conservateurs, Charles de Mère interrompit la réunion pour apporter la nouvelle des résultats électoraux du Comtat.

Eléonore de Jullanis :

Bien, c'est positif tout ça. Proposez à Rochenbach de former un gouvernement et demandez au Lord Conseiller de bien vouloir négocier le calme de Saint-Bernard.

Malgré la majorité chartiste et la victoire en nombre de siège du BC, l'Impératrice, avec la nouvelle charte, avait la main sur le poste de Chancelier. Elle avait plein pouvoir pour le nommer. Et ce dernier n'avait pas besoin d'une majorité claire, juste de ne pas avoir d'opposition claire atteignant les 80 sièges.

Bien Rayal, où en étions-nous? Nous discutions du déplacement en Edoran il me semble.

**Jonas d'Agrolia** Sam 29 Aoû - 11:22

Un Hubert vint informer l'Impératrice de l'échec de Jean-Pierre Rochenbach. Annaëlle de Saint-Bernard avait préféré soutenir De Soignon.

Eléonore de Jullanis :

Quels cons ! Ils se feront toujours avoir au PCC. Bien sûr que quand tu propose un secrétariat et que De Soignon t'offre deux ministères, tu te fais avoir.

Bien, convoquez De Soignon.

**Ludovic Le Cam** Sam 29 Aoû - 23:36

Rayal Picaban :

- "Il faudra en effet parler à l'Empereur du besoin d'indépendance de notre fille qui doit de toute façon un jour -le plus tard possible- vous succéder.

Par contre elle devra certainement choisir la foi etheriste..."

**Jonas d'Agrolia** Lun 31 Aoû - 19:50

C'était effectivement un problème. La loi de succession serait difficile à faire adopter. Mais ce mariage était très intéressant. Il fallait le conclure.

Eléonore de Jullanis :

Vous savez, la religion... Enfin on peut en discuter. Je suis favorable.

**Jonas d'Agrolia** Sam 5 Sep - 0:07

Palais Caerbulïn- Siège du Gouvernement Local - Page 3 _metho10

Il était tard. En pleine nuit, l'Impératrice n'arrivait pas à dormir. L'affaire des médicaments lui trottait dans la tête. Après la pénurie de nourriture, c'était au tour des médicaments... et de l'alcool. Le gouvernement Francovar semblait englué dans la recherche d'un gouvernement.

Alors que les Delfrous renforçaient leur contrôle sur le pays, l'Etat semblait de moins en moins fort. Sous Blairot, il s'était contenté de verser des subventions. Aujourd'hui, les clans et l'économie sont à bout. Elle s'était entretenue avec Robert de Soignon dans l'après-midi. S'il l'assura de la capacité du gouvernement local à éviter les pénuries, elle craignait que le pays ne continue son entrée dans sa léthargie.

En remontant dans ses appartements, elle croisa son époux. Il était rarement là. Ils se parlaient peu. En vérité, ils se comprenaient sans beaucoup discuter. Elle estimait beaucoup Rayal. Elle se laissa aller à quelques questionnements, elle en avait besoin.

Eléonore de Jullanis :

Rayal... Que pensez-vous de la situation ? Je suis inquiète. J'ai l'impression que même si Mézenas, Picabie et le Comtat sont réveillés, le reste de la Francovie s'enfonce à nouveau. Nous commençons à manquer de nourriture et de médicaments à cause des fonctionnaires et de Mariani. Les Delfrous sont incapables de former un gouvernement rapidement.

Je ne sais que faire... Je sais qu'il faut laisser le corps civil se charger des affaires publiques. Mais je ne puis que m'interroger. Devons-nous intervenir ? Au Comtat? Je peux déclencher un processus d'autonomie temporaire. Mais est-ce assez ? Eclairez-moi, mon ami, vous qui êtes très lucide habituellement.

**Jonas d'Agrolia** Sam 5 Sep - 0:07

Il était tard. En pleine nuit, l'Impératrice n'arrivait pas à dormir. L'affaire des médicaments lui trottait dans la tête. Après la pénurie de nourriture, c'était au tour des médicaments... et de l'alcool. Le gouvernement Francovar semblait englué dans la recherche d'un gouvernement.

Alors que les Delfrous renforçaient leur contrôle sur le pays, l'Etat semblait de moins en moins fort. Sous Blairot, il s'était contenté de verser des subventions. Aujourd'hui, les clans et l'économie sont à bout. Elle s'était entretenue avec Robert de Soignon dans l'après-midi. S'il l'assura de la capacité du gouvernement local à éviter les pénuries, elle craignait que le pays ne continue son entrée dans sa léthargie.

En remontant dans ses appartements, elle croisa son époux. Il était rarement là. Ils se parlaient peu. En vérité, ils se comprenaient sans beaucoup discuter. Elle estimait beaucoup Rayal. Elle se laissa aller à quelques questionnements, elle en avait besoin.

Eléonore de Jullanis :

Rayal... Que pensez-vous de la situation ? Je suis inquiète. J'ai l'impression que même si Mézenas, Picabie et le Comtat sont réveillés, le reste de la Francovie s'enfonce à nouveau. Nous commençons à manquer de nourriture et de médicaments à cause des fonctionnaires et de Mariani. Les Delfrous sont incapables de former un gouvernement rapidement.

Je ne sais que faire... Je sais qu'il faut laisser le corps civil se charger des affaires publiques. Mais je ne puis que m'interroger. Devons-nous intervenir ? Au Comtat? Je peux déclencher un processus d'autonomie temporaire. Mais est-ce assez ? Eclairez-moi, mon ami, vous qui êtes très lucide habituellement.

**Jonas d'Agrolia** Mar 8 Sep - 23:35

Suite à la réaction du Premier Ministre, le Chancelier du Comtat-Francovin fit une conférence de presse au Palais.

Robert de Soignon, Chancelier :

Bien, mesdames, messieurs,

Le gouvernement du Comtat-Francovin a prit bonne réception de la déclaration du Premier Ministre. Nous nous étonnons de ce qui apparaît comme une sur-réaction. Le Comtat a prit des mesures d'exception afin d'assurer la continuité du ravitaillement et de permettre la constitution de stocks stratégiques par l'achat sur Ecomicro de matière première sur le marché micromondial. L'autre mesure consiste en la continuité de la justice.

Je rappelle qu'une procédure est en cours pour une affaire touchant une grande société comtadine et l'administration francovare. Cette affaire avait un caractère urgent. Aucun juge n'est désigné.

Donc, deux compétences exclusives de l'Etat, à savoir la production et la justice, ne sont plus assurées. Le Comtat, par sa charte, a prit donc des mesures d'exception limitées dans le temps et proportionnelles.

C'est pourquoi nous ne comprenons pas cette réaction et surtout ces accusations et ce ton quasi martial. Si le Premier Ministre conteste ces décisions, il peut saisir le Conseil des Sages qui est seul compétent pour juger de la légalité de nos actes.

Mais j'insiste sur le fait que ces mesures sont exceptionnelles et ne visent qu'à prémunir notre province des nombreuses défaillances de l'Etat. Je regrette donc l'attitude du Premier Ministre alors que le Comtat n'est pas fermé du tout à une action de l'Etat et à des discussions.

Cependant, nous notons que c'est la seconde fois que le gouvernement de Micropolia attaque directement le Comtat-Francovin dans ses prérogatives accordées par la Charte. Cela est très inquiétant au regard du principe de liberté et d'impossibilité de remettre en question l'importance des clans.

J'espère que le Premier Ministre trouvera le sens du dialogue et que son premier acte ne sera pas la contrainte des clans par la force de la justice ou toute autre forme. J'espère qu'il va s'engager sur la voie de la résolution des défaillances de l'Etat avant que ce pays se retrouve sans nourriture et sans médicament !

**Jonas d'Agrolia** Jeu 10 Déc - 0:15

Eléonore était dans ses appartements quand arriva la nouvelle. Un sérum avait été trouvé pour traiter la nouvelle souche de la flémingite au Comtat-Francovin. Elle était rassurée.

Ces deux derniers mois avaient été éprouvant entre les troubles politiques et la chute du gouvernement Snow, la crise du recours aux pouvoirs exceptionnels du Comtat, la mort du chef du gouvernement Comtadin par la maladie. Eléonore avait fini par avouer son échec, lasse de se battre. Un comité d'expert avait été réunit avec les pleins pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires.

Mais ces sacrifices en valaient la peine, le Comtat était de nouveau sain et sauf. Mais le pays Comtadin grondait, la confiance dans les institutions s'était effondrée. En plus de la crise sanitaire, de la crise économique et la crise de confiance s'était rajoutée la crise indépendantiste avec un certain nombre d'attentats menés par le neo-FNC.

Justement, ce soir, Eléonore avait rendez-vous avec le comité d'expert... Rebaptisé depuis peu le Haut-Conseil Comtadin. Il était composé de 5 personnes : L'Archêveque Antoine de Saint-Auteuil pour représenter l'église, Antonio Suetoni pour la SCBM, le Vice-Amiral Jonas d'Agrolia pour la police et les forces armées, Henry de Saint-Auteuil pour le monde universitaire et Antoine de Forlincourt pour les collectivités locales.

Le débat de la soirée allait être mouvementé. Si la majorité soutient l'impératrice, tous exigent une nouvelle Constitution consacrant la domination du Haut-Conseil Comtadin. L'Impératrice n'avait que peu de marges de manoeuvre.

**Hubert de Montignac** Jeu 11 Aoû - 22:47

Sandrine réglait avec son nouveau conseiller personnel les derniers détails de son couronnement :

- Je veux une cérémonie laïque lord Edmund.
- Je ne vous le conseille pas Votre Majesté.
- Et pourquoi donc... Vous êtes croyants ? Moi je ne sais pas ! Je suis agnostique.
- Mes opinions religieuses sont les vôtres Votre Majesté. Je vous déconseille néanmoins de mettre fin aux traditions religieuses. Elles sont un levier politique formidable. Vous commandez à la prière quotidienne de millions de croyant, ça n'est pas rien. Songez aux progrès que vous pourriez insufflés : le mariage des couples de même sexe, l'égalité des sexes... Ne vous privez pas d'un élément majeur de votre influence dans la vie politique comtadine et francovare.
- Je ne vous savez pas aussi progressiste Lord Edmund.
- Mes opinions politiques sont les vôtres, fit de manière énigmatique le conseiller privé.
- Pour ce qui est du serment, avez-vous choisi la formule... A la formule traditionnelle, je vous suggère d'ajouter un paragraphe sur la protection de l'environnement, la lutte contre les discriminations et les inégalités de genre. Naturellement, je retire la formule d'exterminer les hérétiques. Cela donne : "Je promets de faire conserver en tout temps à l’Église romane comtadine la paix, d’empêcher toutes rapines et iniquités, de quelque nature qu’elle soient, de faire observer la justice et la miséricorde dans les jugements, afin que Dieu, qui est la source de la clémence et de la miséricorde, daigne la répandre sur moi et sur vous aussi, de préserver la Terre-Mère et de lutter contre les discriminations et les inégalités de genre."
- La Terre-Mère, la formule est audacieuse ! Qu'en dit l'Archevêque ?
- Je saurai le convaincre Votre Majesté...
- Vous êtes un magicien

La jeune impératrice ne croyait pas si bien dire. Edmund, esprit retord, savait fabriqué des preuves compromettantes. Concernant l'Archevêque, il s'agissait de la détention - construite de toute pièce - d'images pédopornographiques.

- Nous devons désormais revoir la liste des honneurs : je vous suggère d'y inscrire Henry de Saint-Auteuil et Roger de La Pléssallière, vos deux conseillers méritants, au grade de chevalier. Il n'est jamais bon de se faire d'ennemis de conseillers méritants. Enfin, je vous suggère de promouvoir Robert de Soignon, Maxime de Labardière et Marianne Caron-Formenteuil au rang de commandeur ainsi qu'il est de tradition de le faire pour le chef de l'Etat francovar, les chefs de gouvernement comtadin et francovars.
- Vous avez oublié une personne Lord Edmund
- Qui donc ?
- Vous !
- Vous m'avez bien servi. Je souhaite que vous soyez nommé chevalier de Notre ordre.
- Votre Majesté m'honnore "simple chevalier" se dit-il intérieurement, "voilà un piètre honneur !"

**Jonas d'Agrolia** Ven 9 Juin - 12:50

Il y avait du monde en cette matinée du 9 juin au Palais. Signe qu'il se passait quelque chose, le drapeau du Comtat était relevé à son plus haut. La nouvelle impératrice, Sandrine, était au Palais. De nombreuses voitures y avaient convergées, des véhicules militaires aussi. De nombreux représentants historiques du Comtat étaient présents pour une réunion.

Autour de la jeune impératrice, le vieux constitutionnaliste Charles de Mère, Antoine de Saint-Auteuil, l'archevêque de Nieba, Marie-Hélène Denièvre Chatelain, la ministre historique de Francovie et surtout présidente du CHC en première ligne face à la flémingite noire, Henry de Saint-Auteuil et Antonio Suetoni, représentants du monde économique, ainsi que Caroline Dupont de la Bertière. Un homme était arrivé en retard, toutefois, le Vice-Amiral Jonas d'Agrolia. Ses relations avec Sandrine n'étaient pas très chaleureuses, il était pourtant nécessaire pour elle d'avoir le soutien inconditionnel de ce monarchiste.

L'objet de la réunion était claire : remettre sur pied le Comtat-Francovin.

**Jonas d'Agrolia** Ven 9 Juin - 14:41

L'agitation au Palais continuait. Après la publication d'un décret de l'Impératrice, une conférence de presse avait été convoquée. Jonas d'Agrolia, nouvel homme fort du Comtat-Francovin depuis ce matin, devait intervenir à la fin de la réunion.

Jonas d'Agrolia, Chancelier :

Mesdames, messieurs,

chers concitoyens,

Ce matin, autour de Son Altesse Impérial, notre bien-aimée Impératrice Sandrine, s'est tenu un conseil pour acter la fin de la flémingite noire dans notre Province. Cette grave crise a été la plus longue et la plus profonde de notre histoire, nos voisins francovars y sont toujours durement soumis.

Son Altesse Impériale a donc prit la décision d'organiser le redressement de notre peuple. A cette fin, des moyens d'exception ont été déployés. J'ai conscience que certaines mesures peuvent jeter le trouble mais la protection du Comtat, la continuité de l'approvisionnement en nourriture, le rétablissement du système administratif, éducatif, judiciaire nécessitent le recours à ces moyens.

Notre charte qui nous a été donnée par feu l'Impératrice Eléonore, La Regrettée, reste pleinement en force et nous y restons collectivement attachés. La charte donne à nos institutions les moyens de rétablir la paix et la prospérité, institutions que nous rétablirons au fur et à mesure de nos progrès.

Je ne vous cache pas que la tâche qui s'annonce est dure, colossale. Notre peuple est passé par mille épreuves, mille souffrances mais s'est toujours relevé. A cette fin, Son Altesse Impériale a confié à Marie-Hélène Denièvre-Chatelain la mission d'organiser le redressement administratif et économique de notre Province.

Dans les prochains jours, le Conseil Comtadin de la Refondation établira, suite à l'effondrement du système monétaire national, un registre précis des bien et entreprises. Les registres et règles économiques de la Grande Séparation de 2015 seront rétablies afin d'avoir une économie rapidement fonctionnelle. Une fois cela rétablit, ce sera au tour de la démocratie et de nos institutions politiques.

J'ai de bonnes raisons, au regard de notre histoire, de penser que nous réussirons et que face à l'adversité, nous l'emporterons !

Vive l'Impératrice, Vive le Comtat-Francovin !

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