4e élection générale
2 participants
Page 1 sur 1
4e élection générale
Conséquence de la fin de l'état de guerre civile avec la république sécessioniste des Deux-Fleuves, il n'était plus possible de justifier le report des élections par l'impérieuse nécessité du maintien de l'intégrité nationale. C'est pourquoi, le colonel Ngwenyama, Tona Kholo de Bangana avait convoqué des élections générales, les 4e de la Monarchie. L'UNB, force politique majoritaire au Barlamanka, partait en course avec à sa tête le colonel, soutenu par les blancs de Kalésie.
Le colonel Ngwenyama n'avait jamais dévié de sa ligne politique : pragmatisme, patriotisme et souverainisme. Sa politique était celle de la grandeur du Bangana et du respect de la Souveraineté nationale. En pragmatique, il s'avait qu'une certaine idée du Bangana le contraignait d'accepter le concours de puissances protectrices. Celui-ci avait été politiquement efficient : il avait permis au pays de s'émanciper de la tutelle francovare, de rattacher la province sécessioniste des Deux-Fleuves au royaume et de poursuivre la politique de développement du pays.
Pour ces 4e élections générales, le colonel Ngwenyama, protégé par le suffrage populaire avait choisi de franchir le Rubicon et d'affirmer son objectif de substitution dynastique. En effet, les Mountbatto ne lui évoquait que la compromission avec le merksisme, le républicanisme et la honteuse alliance francovare. Il fallait pour le Bangana une dynastie nouvelle qui réhausse l'éclat du trône. Ces lieutenants lui avait proposé de ceindre la Couronne. Il se refusait à cela, sachant que tout l'avantage que le Bangana pouvait tirer d'une dynastie étrangère adopté par le pays qui la représenterait et la défendrait dans les Cours étrangères et particulièrement auprès de la Grande Alliance. Le choix du colonel s'était porté sur un prince du septentrion, Georges-Alexandre de Fricard. Son choix était d'abord celui d'un pédigrée : notre homme de soixante-et-un an était le fils du général prince Loïc-Alexandre de Fricard et de son épouse la princesse Sybille de Moldavia. Par son père, il descendait donc d'une race royale celle des rois de Chiron en Edoran - aspect capitale dans un pays où la majorité de la population croyait encore que le mérite se chariat par le sang -, par sa mère, il descendait de la Maison de Klausbourg et était apparenté aux maisons impériales d'Edoran, de Russlavie et aux Grands-ducs de Zollernberg, Georges-Alexandre était le cousin de Philippe III d'Edoran, le petit-neveu de Mikhaïl II de Russlavie et le cousin issu de germain du Grand-duc de Zollernberg. Ce choix avait enfin le mérite d'être approuvé par les deux puissances protectrices et de n'en froisser aucune, la Maison de Fricard n'ayant aucun trône à revendiquer.
Georges-Alexandre de Fricard, marquis de Chante-Allouette, commandeur de l'Ordre de Saint-François était diplômé en histoire moderne de l'Université d'Alliancia. Après un service militaire dans la Garde impériale édoranaise, puis une brève carrière d'enseignant comme assistant de littérature étrangère au Hilzbury College, il rejoint l'armée du Saint-Empire d'Avaricum afin de se battre contre les Turcoses. Successivement colonel-propriétaire du régiment à son nom puis commandeur de la Maison de Sa Majesté, il rejoint, à l'issue de sa carrière militaire, l'Ordre de Saint François comme frère-chevalier, fondant la commanderie de cet ordre en Yrusalem. Ses états de service le font nommé au chapitre général de l'Ordre. Il y a deux ans, sur proposition de l'Empereur Philippe III, le patriarche éthériste Basile III, le nomme Grand-maître de l'Ordre, en remplacement de Jules de Cambronne devenu Grand-maître émérite.
Durant sa grand-maîtrise, Georges-Alexandre de Fricard, a ouvert l'Ordre au micromonde en soutenant notamment la création par son frère François-Alexandre de l'Oeuvre hospitalière banganaise de l'Ordre de Saint François, particulièrement active dans le secteur médical dans le pays. Ce dernier a également permis le développement d'un réseau d'écoles (5), de maisons de retraite (1) d'orphelinat (2), d'hospices (3) et de dispensaires (5) affilié à l'Ordre en faisant une puissance politique non-négligeable.
Le colonel Ngwenyama n'avait jamais dévié de sa ligne politique : pragmatisme, patriotisme et souverainisme. Sa politique était celle de la grandeur du Bangana et du respect de la Souveraineté nationale. En pragmatique, il s'avait qu'une certaine idée du Bangana le contraignait d'accepter le concours de puissances protectrices. Celui-ci avait été politiquement efficient : il avait permis au pays de s'émanciper de la tutelle francovare, de rattacher la province sécessioniste des Deux-Fleuves au royaume et de poursuivre la politique de développement du pays.
Pour ces 4e élections générales, le colonel Ngwenyama, protégé par le suffrage populaire avait choisi de franchir le Rubicon et d'affirmer son objectif de substitution dynastique. En effet, les Mountbatto ne lui évoquait que la compromission avec le merksisme, le républicanisme et la honteuse alliance francovare. Il fallait pour le Bangana une dynastie nouvelle qui réhausse l'éclat du trône. Ces lieutenants lui avait proposé de ceindre la Couronne. Il se refusait à cela, sachant que tout l'avantage que le Bangana pouvait tirer d'une dynastie étrangère adopté par le pays qui la représenterait et la défendrait dans les Cours étrangères et particulièrement auprès de la Grande Alliance. Le choix du colonel s'était porté sur un prince du septentrion, Georges-Alexandre de Fricard. Son choix était d'abord celui d'un pédigrée : notre homme de soixante-et-un an était le fils du général prince Loïc-Alexandre de Fricard et de son épouse la princesse Sybille de Moldavia. Par son père, il descendait donc d'une race royale celle des rois de Chiron en Edoran - aspect capitale dans un pays où la majorité de la population croyait encore que le mérite se chariat par le sang -, par sa mère, il descendait de la Maison de Klausbourg et était apparenté aux maisons impériales d'Edoran, de Russlavie et aux Grands-ducs de Zollernberg, Georges-Alexandre était le cousin de Philippe III d'Edoran, le petit-neveu de Mikhaïl II de Russlavie et le cousin issu de germain du Grand-duc de Zollernberg. Ce choix avait enfin le mérite d'être approuvé par les deux puissances protectrices et de n'en froisser aucune, la Maison de Fricard n'ayant aucun trône à revendiquer.
Georges-Alexandre de Fricard, marquis de Chante-Allouette, commandeur de l'Ordre de Saint-François était diplômé en histoire moderne de l'Université d'Alliancia. Après un service militaire dans la Garde impériale édoranaise, puis une brève carrière d'enseignant comme assistant de littérature étrangère au Hilzbury College, il rejoint l'armée du Saint-Empire d'Avaricum afin de se battre contre les Turcoses. Successivement colonel-propriétaire du régiment à son nom puis commandeur de la Maison de Sa Majesté, il rejoint, à l'issue de sa carrière militaire, l'Ordre de Saint François comme frère-chevalier, fondant la commanderie de cet ordre en Yrusalem. Ses états de service le font nommé au chapitre général de l'Ordre. Il y a deux ans, sur proposition de l'Empereur Philippe III, le patriarche éthériste Basile III, le nomme Grand-maître de l'Ordre, en remplacement de Jules de Cambronne devenu Grand-maître émérite.
Durant sa grand-maîtrise, Georges-Alexandre de Fricard, a ouvert l'Ordre au micromonde en soutenant notamment la création par son frère François-Alexandre de l'Oeuvre hospitalière banganaise de l'Ordre de Saint François, particulièrement active dans le secteur médical dans le pays. Ce dernier a également permis le développement d'un réseau d'écoles (5), de maisons de retraite (1) d'orphelinat (2), d'hospices (3) et de dispensaires (5) affilié à l'Ordre en faisant une puissance politique non-négligeable.
François-A. de Fricard- Messages : 2
Date d'inscription : 20/06/2019
Re: 4e élection générale
Le colonel Ngwenyama vota dans le Kivala Occidental où il était tête de liste.
Hannibal Ngwenyama- Messages : 104
Date d'inscription : 25/02/2020
Sujets similaires
» XXe élection générale
» XVIIIe élection générale
» XXIe élection générale
» XVIIe élection générale
» XXIIIe élection générale
» XVIIIe élection générale
» XXIe élection générale
» XVIIe élection générale
» XXIIIe élection générale
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum