Re: Dans les rues de Micropolia ...

**Tommen II Delfrous** Dim 9 Déc - 11:01

Fort de son électorat, la liste Delfrous mobilisa l'entièreté des personnes ayant voter Delfrous aux elections, ainsi, ce fut une gigantesque manifestation qui débuta dans la capitale pour le retour de la république, un peut partout dans les pays, l'électorat delfrousien fut également mobilisé entre grève et manifestation pacifique pour immobiliser le pays en attendant l'abdication du roi en faveur du Parlement,

**Ludovic Le Cam** Dim 9 Déc - 14:13

Une contre manifestation s'organisa.
Si Delfrous avait eu 30% des votes, près de 70% des votes soutenaient encore la monarchie, Delfrous restait donc en minorité sur le sujet.

UNE autre manifestation des gilets jaunes et masques noirs avaient également eu lieu pour dénoncer les actions du Président Renlow.

**Représentant Mézène** Dim 9 Déc - 14:44

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Alors qu'il se rendait en ville pour affaires, Émile fut soudain aperçu par des Delfrousiens, qui aussitôt crièrent "Bogendorfer avec nous ! Vive Bogendorfer !" Mais le Mézénien ne souhaita pas rejoindre la manifestation, il avait toujours voulu rester en-dehors des débats publics.

Plus loin, il se retrouva au milieu de monarchistes, qui à leur tour crièrent "Bogendorfer avec nous ! Mézénas avec nous !" Là encore, Émile expliqua qu'il avait d'autre chose à faire de bien plus important.

Un peu plus tard, il aperçut des gilets jaunes et noirs et pressa le pas. Il poursuivit son chemin en prenant cette fois les petites rues plutôt que les grandes artères de la capitale.

**Ludovic Le Cam** Mar 11 Déc - 13:29

Voir ici pour comprendre très légèrement ...
https://francovie.1fr1.net/t582-dans-les-rues-de-micropolia

Le banganais et le Blond s'était réunis dans un hotel discret de la capitale pour parler de l'actualité.
Les ténors du Nouvel Ordre Micromondial faisaient le bilan :

Le Blond : Je pense que le sommet de la LEM se profile bien, la paix s'ecarte de plus en plus.
Le Banganais : Parfait, parfait ! De mon coté l'impératrice casse les couilles ! Je vais faire en sorte qu'elle se soumette sur le point que nous privilégions.
Le Blond : Cela devient très urgent, la succession se rapproche j'ai besoin que la situation empire mais qu'elle nous profite à l'avenir.
Le Banganais : Pas d'inquiétude je m'en occupe de mon coté par contre pour la LEM je n'ai pas d'influence.
Le Blond : Dans le pire des cas nous aurons un joker pour agir mais de toute façon Ludonnier semble échouer.
Le Banganais : Dommage que le Roi l’envoi en première ligne sur ce sujet, on a besoin au contraire d'un LEMosceptique.
Le Blond : Oui mais c'est impossible le Clan de Picabie étant dirigé par des pro-LEM quelque soit le remplaçant de Ludonnier il sera défavorable à nos plans.
Le Banganais : Je sais je sais. Je retourne au Bangana, j'espère que l'autre cruche aura changé d'avis. Elle me force à me montrer en public.

Les deux hommes se saluèrent avant de se séparer en tout discretion.

**Ludovic Le Cam** Mar 18 Déc - 21:12

Pendant une pause lors de la Conférence de Paix, le Banganais contacta Le Blond :

- "Je fou un peu la merde lors du sommet cela devrait te rendre service.
- C'est bien c'est bien le gouvernement va faire des commandes militaires c'est une très bonne nouvelle mais j'ai entendu parler que le Roi hésitait à mettre en place une Ligne de Défense sur toute la frontière de la Syldavie du sud.
- Et alors ?
- Et alors cela serait une catastrophe, à ton avis qui remporterait l'appel d'offre ?
- Je vois, cela ne rendrait pas service pour la succession.
- Pas du tout non !
- Bon bon et je dois faire quoi ?
- Faire en sorte que la paix s'éloigne sauf avec Pirée où au contraire tu dois calmer le jeu.
- Tu me demandes de calmer le jeu avec Pirée mais pas avec les autres ? Faire le contraire pas de problème mais là je ne vois pas comment faire ! Comment convaincre un Piréen, ils sont têtus comme des mules.
- Ne le convainc pas mais fait en sorte de ne pas l'attaquer. Contente toi de pays plutot éloigné de la Francovie de préférence.
- Donc pas Mézènas non plus alors ?
- Oui ni Prya.
- Génial ... tu as interet à me rendre la pareille.
- Fait le pour le NOM !
- C'est ça ... bon j'y retourne."

**Tommen II Delfrous** Mar 15 Jan - 23:40

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Vue de la Place Paul Ier en face du Palais

Profitant de la fin des hommages en l'honneur de Parmentier les différentes manifestations reprirent dans le pays, la liste delfrous ayant ordonné la reprise du mouvement de contestation a la différence que les manifestations demander maintenant le départ du Roi, juger comme le seul responsable de la guerre au Bangana (n'ayant pas proposé de vote à l'assemblée pour la guerre) et des différentes crises internationales entachant le prestige de la Francovie, le scandale sur l'exploitation ainsi que sur la prétendue création d'arme de destruction massive déclencha quelques affrontements avec la Garde Royale stationner dans la capitale.

**Ludovic Le Cam** Mer 5 Aoû - 0:12

Très rapidement après le dépôt de la proposition de loi, des centaines de tracteurs venant de toute la Francovie s'était rassemblés dans la soirée pour bloquer quelques rues de la capitale.

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Ils répondaient à l'appel de la présidente de la fédération agricole du FISDEPUTE Christiane Berland.

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Le but était de forcer le gouvernement à prioriser le débat sur cette loi.
La présidente Berland expliqua qu'elle était capable d'appeler à un blocage de la production de la centrale de production PA pour le mois d'Aout si la loi n'était pas débattue et qu'un programme pour le développement de l'agriculture n'était pas votée avant la fin du mandat.

Cela en était trop visiblement pour ces agriculteurs indépendants membres du FISDEPUTE qui avaient vu leurs revenus s'effondrer avec la mise en place du Vikettysme.
En effet si le Vikettysme permettait une production forte et régulière dans le secteur primaire, ce qui avait profité par exemple aux ouvriers agricoles, il avait totalement détruit les entreprises privées et le secteur des indépendants qui étaient obligés de vendre leur production à la centrale à un prix plus que modique, largement inférieur à ce qu'ils pourraient obtenir des entreprises privées.

Normalement, comme dans le secteur secondaire, ils étaient autorisés à former des entreprises pour vendre au secteur privé mais cela faisait des mois, pour ne pas dire des années, que la totalité des PA étaient utilisés par le consortium des entreprises publiques pour la production des autres secteurs ne laissant rien aux indépendants.

C'était aussi le cas dans les autres secteurs primaires (MP et PE) mais cela posait (pour l'instant) moins de problème.
Les agriculteurs souhaitaient mettre fin à cette injustice.

Explications du RP:

**Jonas d'Agrolia** Mer 5 Aoû - 0:22

Apprenant la manifestation, Antoine de Forlincourt alla à leur rencontre. Cette petite crise arrivait uniquement parce qu'il avait déposé sa loi. Et depuis quelques heures, les choses s'emballaient.

Antoine de Forlincourt :

Mes chers amis, cette loi que je propose avec vous est aujourd'hui nécessaire. Il est inacceptable que nos agriculteurs soient condamnés à la survie.

Sachez que je me battrais pour défendre notre ruralité. Comme vous le savez, face aux pressions des grandes multinationales, j'ai annoncé ma démission du PDL pour créer un mouvement de défense de la ruralité. La politique d'incapable fait par des urbains coupé de tout à Micropolia, cela suffit !

J'irais jusqu'au bout de ce combat, avec vous !

**Ludovic Le Cam** Mer 5 Aoû - 0:24

L'homme était ovationné par les agriculteurs.
Sa démission, légèrement avant le début de la manifestation la rendait parfaitement légitime.
De Forlincourt était parvenu à gagner le respect et la popularité des participants.

**Émile Bogendorfer** Jeu 13 Aoû - 17:05

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Depuis le début des mouvements de protestation, Bernard Futon était resté très discret. Comme il le disait avec son vocabulaire fleuri, il avait "le cul entre deux chaises", car il était à la fois agriculteur et aussi député et soutien de la majorité. Sa propre fille faisait partie du gouvernement ! Il était donc volontairement resté en retrait.

Mais la fin de la législature approchait et bientôt, il y aurait des élections. Les agriculteurs constituaient une part non négligeable de l'électorat de Força Mezenas, il fallait donc les rassurer et leur dire qu'il pensait à eux.

« La Francovie n'est rien sans ses agriculteurs et le gouvernement ne doit surtout pas l'oublier ! », déclara-t-il à un journaliste venu l'interroger.

Il était satisfait de sa formule, il caressait son électorat dans le sens du poil mais sans taper trop fort sur le gouvernement et Blairot...

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