Bureau du Roi

Le Premier Ministre s'avança :

- "Oui majesté ?"

Romain VIII :

- " Je vous laisse lire, Juste vous, convainquez-moi de ne pas la publier ou bien abandonner, je vous laisse une chance ainsi que le choix."

Le Roi détestant les ambitieux décida par cela de montrer qui dirige ici.

Hito était horrifié.

- "C'est votre droit."

Fils de pute pensa t-il.


- "Je laisserai monsieur de Chambre s'occuper de cette affaire tranquillement ..."

Je me vengerai pensa t-il de nouveau.

- "Il aura tout le soutien de mon gouvernement dans sa tache."

Romain VIII :

- " Bien parfait , je vous souhaite bien le bonsoir a tous. "

Le Roi reposa la lettre sur le bureau avant de faire partir les visiteurs a l’exception de Picaban.

Romain VIII :

- " Mon bon Picaban , j'ai besoin de vous pour faire preuve de force ... "

Rayal Picaban était très suspicieux :

- "C'est à propos de Georges ?"

Romain VIII :

- " Le Moff Jerjerod s'occupe déjà du cas Waters, mon ami, j'ai besoin de vous pour mener nos troupes dans la région du Bourg-Mézénas, une révolte ouverte contre la couronne et actuellement en cours dans la région voilà pourquoi je vous désigne pour vous occuper conjointement avec le préfet local pour anéantir la rébellion des mezs. "

Rayal Picaban était décu :

- "Ce sont des pecnots, nous devrions etre beaucoup plus sévère avec eux. J'irai voir le préfet pour lui en parler."

Romain VIII :

- " Bien, bonne chance Picaban. "

Le Roi salua le Consul de Francovie avant de répondre aimablement.

Romain VIII :

- " Ah de Chambre , bien le bonjour , bien je vous écoute. "

Albert De Chambre présenta le traité :

- "Majesté, le ministre des affaires etrangères a négocié le traité de reconnaissance avec Livadia.
Il y a un petit territoire sur l'ancienne Ostaria. Vous avez été ouvert sur la question mais le ministre m'a dit qu'il avait obtenu l'engagement que ce pays n'irait pas conquérir des territoires à l'est.

Traité de reconnaissance mutuelle entre le Grand Royaume de Livadia et la Monarchie de Francovie

Titre I - De la reconnaissance.

1.1. La Monarchie de Francovie reconnaît les frontières et la souveraineté du Grand Royaume de Livadia, comme celles d'une micronation virtuelle libre, partie intégrante du micromonde francophone.
1.2. Le Grand Royaume de Livadia reconnaît les frontières et la souveraineté de la Monarchie de Francovie comme celles d'une micronation virtuelle libre, partie intégrante du micromonde francophone.
1.3. Il est établi une Ambassade de la Monarchie de Francovie sur le territoire du Grand Royaume de Livadia.
1.4. Il est établi une Ambassade du Grand Royaume de Livadia sur le territoire de la Monarchie de Francovie.
1.5. Les Hautes Parties reconnaissent le droit à l'immunité de leurs ambassadeurs ainsi que la législation du pays dans lequel leur ambassade réside. Dans l'application du droit à l'immunité, les autorités des deux Nations s'engagent mutuellement à ce que la Justice puisse s'exercer dans le cas de délits ou de crimes commis par le personnel d'ambassade.

Titre II - Des engagements réciproques.

2.1. Les Hautes Parties contractantes proclament leur attachement commun à la stabilité. Chacune des Hautes Parties contractantes s'engage à ne pas déstabiliser le système politique et économique en vigueur chez la tierce partie.
2.2. Les Hautes Parties contractantes proclament la paix et l'amitié entre elles.
2.3. Les hautes parties contractantes s’engagent à développer entre elles, dans les domaines où elles le jugeront utile, des coopérations basées sur le respect et la confiance réciproques. Elles favorisent l’amitié entre leurs peuples ainsi que la paix dans le Micromonde.
2.4. Les hautes parties contractantes s’engagent à assurer la sécurité des biens et des personnels diplomatiques et à mettre à leur disposition un bâtiment convenable.

Titre III - Du présent Traité.

3.1. Dès qu'une des Hautes Parties contractantes aura ratifié le présent Traité conformément à ses règles institutionnelles, elle le signifiera à l'autre partie.
3.2. Le présent Traité entrera en vigueur, et liera les Hautes Parties contractantes, à compter de sa ratification par les deux parties conformément à leurs règles institutionnelles respectives.
3.3. Entre sa signature et sa ratification, le présent Traité sera appliqué par les Hautes Parties contractantes à titre d'anticipation.
3.4. Si les Hautes-Parties souhaitent rompre ce traité, un préavis de 15 jours sera en vigueur.

Romain VIII :

- " Je suis d'accord pour participer à votre sommet pour l'ouverture, mais j'attends de vos équipes la rédaction d'un discours en accord avec les objectifs de notre gouvernement, concernant le traité avec Livadia, j'ai imposé ma signature le voici. "

Le Roi redonna le traité au consul.

Albert De Chambre rangea le traité.

- "Je demanderais à l'ambassadrice de vous préparer un discours d'ouverture et de vous faire un petit bilan de toutes les personnes participant au sommet. 
Vous pouvez accueillir les invités lors de l'arrivée au Palais si vous le désirez. Les photographes apprécient cela."

Romain VIII :

- " Bien parfait , j'espère être digne de la tâche que vous me confié de Chambre , j'attend donc le discours pour partir pour Peterhofen , Bonne fin de soirée monsieur le Consul. "

La Palais convoqua le Ministre en charge de l'intérieur.

Romain VIII :

- " Ah Empaleur vous voici, je souhaite connaître les modalités d'organisation d'un sondage d'opinion sur ma personne ainsi que sur le gouvernement , je souhaite également connaître votre avis concernant la crise des mezs qui réclame l'indépendance. "

Jonathan Empaleur :

- "Heu... pour le sondage je dirais qu'il faudrait demander à l'Institut des Sondages du Pican (ISP).
Pour Mézénas, je pense que nous devons faire confiance au préfet, il a semble-il la légitimité pour négocier de façon constructif avec tous.

Néanmoins j'ai mobilisé les services secrets sur les actions des Etats-Fédérés de Mézénas dans notre pays. Malheureusement il est évident que ce pays s'active pour faire en sorte d'obtenir l'indépendance de Bourg-Mézénas. Il suffit de voir l'intervention de Lefesbure et le fait que le dirigeant de la contestation est le frère du Président du Sénat mézéne..."

Romain VIII :

- " Bien je m'engage donc à ne pas intervenir pour le moment , prévenez moi en cas de nouvelles découvertes sur une ingérence étrangère, concernant la ISP , je vous charge de prendre les mesures nécessaires pour l'organisation ainsi que pour la publication des sondages. "

[EL : Erreur de ma part c'est Abigaelle Bouniou qui aurait du venir je me suis trompé de ministre. Pas grave  ]

Rayal Picaban demanda de diriger le gouvernement en tant que Premier Gouverneur.
De Chambre n'avait pas à le diriger il était déja Consul de Francovie.

On annonça au premier Gouverneur que la décision de nomination par intérim émaner du haut conseil de la chancellerie et que donc, pour espérer avoir le titre, il lui faudra rencontrer le conseil.

Picaban n'avait cure de ce Conseil et demandait au Roi d'agir. Il en avait le pouvoir.

Le Palais convoque l'ensemble de l'état-major pour discuter du cas Waters.