Bureau du Roi

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Et voila c'est fait de notre coté.
Un grand jour pour nos deux économies !

Parmentier demanda qu'on apporte du champagne.
Il profitait beaucoup du luxe du palais. 

Jean Peyranne : Attendez, il nous faut encore discuter de l'échange de devises ! Je vous propose 20,000 R$ contre 20,000 M$, qu'en dites-vous ?

Mais nous pourrions échanger plus, si toutefois vous étiez intéressé par la savonite mézène.

Et ensuite, nous pourrons enfin célébrer ce grand jour !

Faisons 30 000 je pense que ce sera un bon départ. 20 000 me parait peu.

A nouveau, Peyranne sortit son téléphone et ses doigts pianotèrent sur le clavier.


Jean Peyranne : Voilà qui est fait !

Jean Peyranne : Alors, Monsieur Parmentier, seriez-vous intéressé par de la savonite mézène ?

Il y a des chances oui.
Tout dépendra de la production du mois prochain.
Il s'agit la dune prérogative du gouvernement.

En Tout cas si vous nous proposez a un prix intéressant les entreprises francovares en achèteront et peut etre même aussi les centrales de produproduction étatiques!

Jean Peyranne : Je comprends tout à fait. Je pensais que nous pourrions signer dès aujourd'hui un contrat de vente entre nos deux micronations, mais si vous souhaitez patienter, nous ferons comme vous voudrez.

Bien, je crois que ma visite touche à sa fin.

Oui il faudrait attendre le début du mois prochain.
Peut être pourrons nous en reparler lors du sommet de la LEM qui devrait se dérouler au début du mois prochain.

Ce serz l'occasion de signer des contrats économiques majeurs.

Jean Peyranne : Je crains de ne plus être Chancelier lors du prochain sommet de la LEM, la sénatoriale aura lieu la semaine prochaine et même si j'essaye de rester optimiste, je ne crois pas trop à une victoire de mon parti.


"En fait, je n'y crois pas du tout", songea-t-il, "Je suis foutu, le PGO va se prendre une branlée mémorable, mais il faudra me payer cher pour que je le reconnaisse publiquement et encore plus devant un Francovar".

Ah je vois.
Dans ce cas il faudra que j'en parle avec vous lors de votre possible réélection ou avec votre successeur.

Jean Peyranne : Bien, en attendant, j'étais heureux de cette visite et je regrette de ne pas l'avoir faite plus tôt.

Je vais à présent prendre congé, si vous le permettez.

Bien sur bien sur.
Je vous raccompagne à votre voiture.

La réunion s'etait très bien passée. Nul doute cependant que l'affaire Poluchi fera encore du bruit diplomatique.

Le Roi reçut rapidement Parmentier dans son bureau. Il accueillit chaleureusement le Premier Gouverneur.

Paul Mezzanines : Monsieur le Premier Gouverneur, quel plaisir de vous revoir ! J'attendais avec impatience votre venue.

C'était la première rencontre entre les deux hommes depuis plusieurs semaines.
Parmentier salua chaleureusement et un peu hypocritement le Roi :

- Je suis très heureux de votre rétablissement votre majesté.

A l'invitation du Roi, il s'assit dans les bureaux.



- Votre majesté, l'actualité diplomatique est marquée par plusieurs événements.
La LEM organise son sommet au Valdisky mais celui-ci a du mal à démarrer, vous pouvez m'y accompagner si vous voulez.
Edoran organise une cérémonie de couronnement pour la succession de l'Empereur Philippe Ier d'Edoran.
Plusieurs tensions avec Mezenas qui réclame l'extradiction de Poluchi.
Enfin pour mettre fin au litige avec Pirée j'ai décidé de ... comment dire ...

Parmentier avait un peu honte.

- ... J'ai envoyé Mariani.

Parmentier vit une lueur dans les yeux du Roi.

- Je sais que c'est risqué mais Mariani est je crois apprécié du Duc de Pirée et il pourrait nous permettre de mettre fin à notre litige avec ce pays. Je lui ai demandé d'obtenir un accord avec lui où le Duc s'excuserait pour vous avoir insulté et en échange nous nous ferions une cérémonie en l'honneur d'Armara et des syldaves après leur tragédies yssoises.
Néanmoins je n'ai pas de nouvelle pour l'instant de leur réunion, c'était peut etre une erreur de l'envoyer.

Mezzanines accompagnerait Parmentier au Valdisky. Les Affaires étrangères étaient l'une de ses seules prérogatives, et cela lui permettrait de symboliser son retour. Le Roi avait eu peu l'occasion d'exercer ses pouvoirs de chef de la diplomatie depuis l'incident franco-piréen, et il tenait à rappeler que le temps du "lemoscepticisme" francovar était révolu.

- Je surveillerai avec attention les événements en Edoran. Il me semble qu'un rapprochement avec cet Empire historique ne serait pas mauvais pour la Francovie.
Quant à Mézénas, j'estime que le Gouvernement a eu la bonne réaction. Mon cousin n'oubliera pas, mais nous ne pouvions faire autrement. J'espère que les opportunités économiques feront rapidement passer ce sujet au second plan pour le gouvernement des Etats Fédérés.

Enfin, pour Mariani, vous l'appréciez autant que moi, et je vous fait donc confiance à ce sujet. Il nous faudra le surveiller également, Mariani est assez rancunier et fourbe pour tenter de conspirer contre la Monarchie, peut-être avec le soutien du Duc.

Archimède Parmentier :

Théoriquement le sommet a commencé ici : http://valdisky.forumactif.org/t587-12e-sommet-de-la-ligue-des-etats-modernes

Paul Mezzanines : Très bien, je vais m'y rendre le plus possible. Merci pour cette visite, monsieur le Premier Gouverneur.

Archimède Parmentier a écrit:Archimède Parmentier attendait l'ambassadeur Valdisk dans le bureau royal. 

Je suis honoré de pouvoir vous rencontrer votre excellence. J'aimerai vous présenter mes lettres de créances et vous transmettre les sincères salutations du Président du Conseil des Commissaires du Peuple de la République Populaire du Valdisky.

Archimède Parmentier :

Retournez lui mes remerciements.
Il est possible que le Roi nous rejoigne mais il sort de maladie donc rien n'est certain donc ne vous vexez surtout pas. 

Je peux valider vos lettres de créance si vous voulez. Je ne me souviens plus si on a un traité de reconnaissance par contre.

J'ai une copie du traité signé par nos deux pays : http://valdisky.forumactif.org/t380-traite-de-reconnaissance-mutuelle-valdisko-francovar
Je suis à votre service votre excellence.

Archimède Parmentier :

Ah excellent !
Je peux donc valider vos lettres de créance facilement.
C'est un plaisir de relancer nos relations.

Je me réjouis également du rétablissement de nos relations et je peux vous garantir la présence permanente d'une délégation valdiske en Francovie.