Bureau du Premier Ministre

Robert Aubey

Bernard, je recoit ce matin une lettre etonnante. Vous souhaitez demissionner? Pourquoi?

Bernard Mol:

Monsieur le Premier Ministre,

Je tiens à dire que cette démission n'engage que moi. Je désapprouve, en vérité, une situation dans laquelle mes collègues semblent se complaire.

Monsieur le Premier Ministre, votre gouvernement n'en est pas un. Il n'y a ni feuille de route, ni cap. J'estime que vous naviguez à vue et sur le court-terme. Vous ne menez pas de politique avec conviction, autrement que dans vos discours.

Où sont les grands projets? Où sont nos chefs, vous et le Président? Nous ne faisons que ce que nous souhaitons faire... Au mieux, on mêne une politique, dans notre coin, au pire, c'est l'endormissement.

Je ne souhaite plus être lié à ce type de gouvernement dont je n'approuve ni la latence, ni la ligne politique qui est inexistante... Un jour, vous me soutenez pour la loi bancaire, quand viens l'heure des difficultés, ce soutien s'effrite. Concernant les droits de douanes avec le Krassland, la proposition est sur votre bureau depuis 2 semaines. J'en attend toujours la réponse.

Voilà pourquoi, je vous remet ma démission.

Robert Auberly

J'essai de conduire la politique du President du mieux que je peux avec ce que j'ai vous savez....

C'est regretable mais cela vous regarde. J'accepte votre demission mais vous continurez d'assurer votre fonction jusqu'a ce que le President au nommer un nouveau Ministre.

Mathieu Conta :

Oui, Monsieur ?

Robert Auberly:

Entrez Mathieu.

Voilà je voulais vous dire qu'il faudra certainement renforcer la sécurité a Almara et vous rendre sur place pour annoncer des mesures fortes! Je pense notamment a l'organisation d'un grand plan de lutte contre les mafias organisés.

Mathieu Conta :

C'est en effet important, et une bonne idée. Je me rendrai demain à Almara !

Auberly

Parfait!

Je vous fait confiance! Vous avez l’expérience de ce Ministère de l'Intérieur et je sait que vous ferez au mieux!

Mr Kold

Merci de me recevoir Monsieur le Premier Ministre.


Je viens vous voir car Kold.Industrie a fait une offre pour racheter les Actions de Lagonda detenu par l'Etat. Mme Debre avait promis de nous dire si elle acceptait la vente mais on a jamais eue de nouvelles. C'est pourquoi j'aimerais connaitre votre position.

Je rappelle que l'offre etait de 11 000 R$

Raymond Pointacle :

Mon avis est favorable. Votre pourra être conclue prochainement, le temps que le gouvernement se mette en place.

Kold

Bien entendu.

Je vous remercie Monsieur le Premier Ministre.

François Peillon:




_Eudes, je comprend que l'annonce de notre plan de sauvetage d'Energetis et de la Croissance soit urgente mais pourquoi avoir fait cette annonce a votre Ministère sens m'en référer et sens attendre la fin des arbitrages qui devaient avoir lieu au Conseil des Ministres?

Eudes Berthelot:

Je n'ai dévoilé que la ligne qui sera conduite par le ministère. Je n'ai, en aucun cas, arrêté les termes concrets de ces solutions qui eux seront soumis aux arbitrages.

Peillon:


D'accord mais je préférerais a l'avenir qu'avant de faire des annonces même minimales on attende la fin des arbitrages et surtout que l'on ce concerte. Jouons collectif et nous réussirons notre tâche, si on commence a partir dans tous les sens on va se planter, comprenez-vous? Je ne me permettrait pas de vous faire la leçon mais essayons de nous concerté a l'avenir d'accord?